Une fenêtre s’ouvre, j’ai reçu un MP (message privé) sur le forum.
Mais qui peut bien m’écrire, j’ouvre et là je découvre que l’expéditeur est
Italo Bacardi, oupssss que veut-il?? Il faut dire que je l’ai tellement
cherché, il ne doit pas être content. Mon cœur bat plus vite quand j’ouvre le
MP. Je lis le message, ah oui, il n’est pas content. Il me dit qu’il monte sur
Paris dans une semaine et qu’il veut me voir pour me rencontrer. Je lui ai
répondu que j’allais une semaine chez mon fesseur dans le sud et que tout
dépendait quand il venait, on pourrait boire un verre ensemble quelque part. Sa
réponse ne se fait pas attendre, il vient mais quelques jours qui précèdent mon
départ donc on pourra se voir.
Echanges sms puis téléphoniques et on convient de se voir la veille de mon départ. Je ne pourrais pas rester très tard, mon train est tôt le lendemain.
Je quitte mon travail et je me dépêche de me rendre sur Paris pour
aller à sa rencontre, je le retrouve dans une brasserie, place Quinet. On
discute et d’un coup il me dit :
- alors
tu es prête pour ta fessée ?
- euhh
ben non, ce n’était pas prévu. Je suis juste venue boire un verre avec toi
- oui
bien sur, mais je te l’ai dit que je te mettrai une fessée aussi, tu m’as
tellement cherché sur le forum et le blog, tu dois maintenant assumer
- mais
je croyais que tu plaisantais
- je
ne plaisante jamais avec l’insolence des chipies comme toi et là tu as
fait fort
- mais
non, ce n’est pas possible, en plus j’ai mes règles
- c’est
vrai ce mensonge que tu me dis là ? je les connais les chipies de
ton espère, elles font tout pour échapper à la sentence
- non
ce n’est pas un mensonge, c’est vrai, j’ai mes règles
- ce
n’est pas grave, je ne te baisserai pas ta culotte jusqu’aux pieds mais en
dessous de tes cuisses
- non
mais Italo, c’est bon là, tu ne vas pas me fesser, tu me taquines
- non,
pas du tout, de toute façon tu pars chez ton fesseur demain, si je ne te
fesse pas, c’est lui qui te donnera une fessée et très sévère de ma part alors
que si tu acceptes, il déduira cette fessée de ton compte
- mais
tu ne vas pas le contacter là ?
- si
bien sur, dès ce soir, après ton départ, de toute façon il est au courant.
- mais
si tu m’en mets une, tu ne seras pas trop sévère ?
lui dis-je
- tu
auras ce que tu mérites, alors on y va ?
- mais
tu n’es pas sympa avec moi là, je ne te connais pas.
- Ben
on vient de boire un verre ensemble, on a discuté, tu me connais
- Mais
tu ne vas pas me la donner là dans le café
- on
va aller chez un ami à quelques pas d’ici, il n’est pas là, ne t’inquiète
pas.
Nous nous rendons chez son ami, il me parle pour me rassurer, me
montre certains de ses livres, me parle de son ami, je suis tétanisée de peur,
je ne sais pas si je vais pouvoir continuer. Il sent que la pression monte,
puis il me dit :
- alors
chipinette, on y va ?
- oui,
lui dis-je timidement
Il s’assoit sur le canapé, m’attrape par la main puis me tire et
je me retrouve allongée sur ses genoux, il me maintient bien avec son bras
gauche, et passe une jambe par dessus les miennes, je ne peux plus bouger. Il
pose sa main sur mes fesses et me rappelle le mot de passe, et qu’il allait
commencer la fessée. Je suis tendue, mes fesses sont contractées. La fessée
commence sur le pantalon, aie aie aie, la vache il claque fort, comment cela va
être sur les fesses nues directement. Je me contracte encore plus, on m’avait
dit qu’il ne fallait pas car cela faisait plus mal mais je ne peux pas
contrôler. Et voilà il s’arrête et il m’aide à me relever et me baisse le
pantalon et m’envoie au coin. Le traitre de pantalon tombe en bas des jambes,
pas pratique pour marcher ainsi, et il me met une claque sur la cuisse parce
que je ne vais pas assez vite, je le verrais bien lui à marcher ainsi.
Il commence à bouger par ci par là, il va au fond de
l’appartement, il revient, et moi je commence à regarder dans la cuisine, puis
je me penche dans le couloir pour voir où il va et je me remets de suite à ma
place quand je l’entends revenir. Il me dit que c’est bien car je reste sage au
coin, je ris intérieurement.
Puis il me dit de revenir, la fessée continue. Et ben ça promet.
Je me retrouve dans la même position, les claques recommencent à tomber, oh la
vache, qu’est ce qu’il claque fort. Ça fait drôlement mal. Il me dit que la
fessée se prend sur la culotte, tu parles, il n’arrête pas de la tirer entre
mes fesses, elle ne sert à rien ma culotte. Après un long moment de claques et
quelques caresses mais minime, il me relève et je me retrouve de nouveau au
coin. Il doit aimer, mais qu’est ce que c’est ennuyant le coin, il n’y a rien à
faire, mais bon comme il ne reste pas dans la pièce, je continue à visiter la
cuisine. Je me retourne pour voir le salon, il y a beaucoup de livres, j’en lis
les titres. Je ne connais pas du tout les auteurs. Ah le revoilà.
- alors
Chipinette, tu réfléchis bien à ton comportement ? me dit-il en me
claquant les fesses quand je suis au coin
- euhhhh
ben euhhh oui
- bon
allez on va poursuivre cette fessée mais sur tes fesses nues, on va donner
des couleurs à ses fesses bien trop blanches à mon gout
Ah bon? Et ben je ne sais pas si je vais supporter encore la suite
de cette fessée. Et puis il va voir mes fesses nues. Une angoisse monte dans
mon ventre mais je reviens vers lui et hop de nouveau sur ses genoux, il a une
technique infaillible pour vous allonger sur ses genoux, on sent l’expérience
là dessous. Je me retrouve de nouveau coincée sous son bras et entre ses
jambes. Il a vraiment peur que je bouge mais je ne fais pas un mouvement, je
n’ose pas, j’ai tellement peur qu’il claque encore plus fort. Il me baisse ma
culotte juste en dessous de mes fesses.
Et la fessée reprend, j’ai vraiment très mal, comment font les
autres pour supporter cela. Je tente une main pour me protéger et Italo me la
bloque dans le dos, j’essaie de tirer dessus et il la maintient bien. Mon
angoisse monte, je ne sais plus quoi faire, j’ai trop mal et je veux qu’il
arrête mais je n’ose pas lui dire, que va t-il me dire ? Mes yeux me
piquent, j’ai une boule dans la gorge, j’essaie de retenir mes larmes, de les
ravaler, car si je pleure, il ne va pas être content. Mais rien à faire, Je
n’arrive pas à dire stop, je n’ose pas, je ne sais plus, mes larmes commencent
à se répandre sur mes joues, et je ne peux plus retenir mes sanglots retenus
dans ma gorge.
Italo s’en rend compte et pense que je ris, mais un quelque
chose lui dit que peut-être non, il m’oblige à tourner le visage pour qu’il me
voit et il découvre mes larmes qui lui mouillent la main. Il se dépêche de me
redresser et de m’assoir et me demande ce qu’il se passe. Je ne peux pas lui
répondre, j’ai tellement honte de pleurer. Il insiste et me demande pourquoi je
n’ai pas dit le mot de passe, qu’il aurait compris, et qu’il aurait arrêté aussitôt,
il me l’avait dit au début. Mais je ne sais pas dire stop, je ne sais pas dire
le mot de passe. Il est désolé et de le voir ainsi, me culpabilise encore plus.
Il me prend dans ses bras pour me consoler et m’embrasse les cheveux. Il essaie
de me faire rire, me taquine, me rassure, me parle pour que mes larmes
tarissent.
Puis il me dit qu’il va me masser les fesses pour calmer le feu. Je
le regarde avec méfiance, il me rassure, il me promet qu’il ne me fessera plus
mais juste un massage. Je me rallonge sur ces genoux, il prend une crème à
l’arnica et commence à me masser délicatement et de plus en plus fermement car
il me dit que j’ai un hématome. Il fait bien pénétrer la crème. Puis il me dit
qu’il va prendre une photo, je refuse et mets ma main sur mes fesses, et d’un
coup, son iphone vole à travers la pièce. Oupsss je ne lui épargne rien le
pauvre.
Nous discutons et il me propose d’aller boire un verre dans un bar. On sort
de chez son ami, et il s’arrête dans un magasin à coté et me dit de l’attendre,
il revient. Puis il sort avec un petit cadeau, c’est un titi, car mon avatar
sur MSN, était un titi qui disait : « interdit de me priver de bisous ».
Puis nous nous somme dirigés vers le bar « l’ami » rue de la Gaité.
Italo a commandé une boisson qui s’appelle « string », nous avions ri
de cela. Nous avons longuement discuté de tout et de rien, de mon futur séjour
chez mon fesseur, des bêtises que je vais devoir assumer. Je me détends mais je
me pose beaucoup de questions sur mon avenir dans ce monde de la fessée, je ne
sais pas si cela me plait vraiment. Je dois être douillette surement. Puis il
me raccompagne au RER pour que je puisse rentrer chez moi. Demain est un autre
jour, une autre aventure…
J'ai beaucoup aimé ton récit Chipinette!
RépondreSupprimerTu sais , je suis un peu comme ça moi aussi, je pense que personne n'osera ma donner la fessée!
C'est pour celà que je me permets d'être insolente et irrespecteuse envers ses Monsieurs.
je vois, je vois, et un jour il faut assumer!! et c'est dur pour nos fesses!!!
RépondreSupprimerOuh là là ben oui dur d'asumer mais tu l'a fait comme une grande Des bleus pas glop mais il faut savoir dire stop sais tu merci de ton récit
Supprimermais de rien, Ours. mais les bleus m'ont permis d'avoir des massages de mes fesses par tes petites pattes d'Ours!! bien agréable!! ;-)
SupprimerMerci à vous pour ce récit cirse
RépondreSupprimermais de rien Cirse, j'espère qu'il vous a plu!
SupprimerEh be Mr italo ne rigole pas :( pauvre Chipinette g bisous ton récit est merveilleux, merci. :)
RépondreSupprimeret non il ne rigole pas, tu as vu!!! et encore je n'ai pas de photo mais mes fesses étaient cramoisies!!
RépondreSupprimerEn fait il n'était pas dans mes intentions de fesser Chipinette ce jour là. Je suis partisan de faire plus connaissance avant. Mais elle s'est montrée tellement espiègle, chipie, effrontée, moqueuse dès les premieres minutes que j'ai même failli lui flanquer sa déculottée là dans cette brasserie parisienne... Heureusement je n'habitais pas loin.
RépondreSupprimerah lalala c'est même pas vrai, j'étais toute intimidée par le grand Italo Baccardi moi, et d'abord je ne suis jamais comme tu dis, je suis sage, réservée, toute mimi, on me prendrait presque pour un ange!! si si Monsieur, pour un ange!! :-p
RépondreSupprimerPour une première, c'était réussi. Dis-donc, c'est un pro, ce Monsieur...
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