Punitions du dimanche et du lundi.
Ma gouvernante est arrivée à l’appartement avec une demi-heure de retard a cause des embouteillages. Dès son arrivée, elle m’a envoyé dans la chambre où étaient mes deux tenues. Elle a refusé de me faire un bisou parce qu’elle était en colère. J’avais été très espiègle au téléphone, et aussi pas mal insolent.
Ma gouvernante est arrivée à l’appartement avec une demi-heure de retard a cause des embouteillages. Dès son arrivée, elle m’a envoyé dans la chambre où étaient mes deux tenues. Elle a refusé de me faire un bisou parce qu’elle était en colère. J’avais été très espiègle au téléphone, et aussi pas mal insolent.
Elle m’a juste dit « tenue N°2 » C’est ma tenue de sport et de garnement :
short et polo blanc. L’autre tenue (la N°2) c’est la « tenue de pénitence » :
une liquette à mi-cuisses et une culotte de coton blanc. Cette fois elle m’a
prévenu qu’il « y allait y avoir du sport». Elle avait l’air encore plus
sévère que d’habitude. Je me suis vite habillé. Elle m’attendait dans la salle de
gymnastique. Elle m’a montré le tabouret sur lequel je devais appuyer mes mains
et me pencher. Elle a baissé mon short puis mon slip jusqu’aux pieds. J’avais
très honte d’être les fesses à l’air. « Donne bien tes fesses sinon je double
la dose»
J’avais très honte de tendre mes fesses, de creuser mes reins. C’est
dans cette position qu’elle m’a donné une des plus cuisantes fessées de ma vie.
Ca fait très mal. Elle claque fort. J’en avais les larmes aux yeux et devais
compter à haute voix les coups. Après la fessée, elle m’a fait monter sur le
vélo elliptique et j’ai dû pédaler pendant dix minutes montre en main. J’étais
en slip, ce qui lui laissait tout le loisir de me claquer les cuisses au
moindre ralentissement. Au bout de dix minutes, comme j’étais en sueur, elle
m’a obligé à faire ma toilette devant elle dans une cuvette avec du savon et un
gant de toilette, comme un tout petit garçon. Elle surveillait de près, sévère.
J’avais très honte de me montrer ainsi devant elle qui était restée habillée et
qui me faisait des commentaires humiliants.
Une fois lavé et séché, j'ai dû mettre ma tenue de pénitence (la liquette mais sans la culotte) et aller au coin, exposant mes fesses toutes rouges. pour m'empêcher de bouger, elle a mis une gomme entre mon nez et le mur et une autre coincée entre mes fesses. M'avertissant que si l'une des deux gommes tombait, elle doublerait le temps de piquet. Mais ne voulant pas aggraver mon cas je suis resté bien droit dans mon coin sans bouger.
Une fois lavé et séché, j'ai dû mettre ma tenue de pénitence (la liquette mais sans la culotte) et aller au coin, exposant mes fesses toutes rouges. pour m'empêcher de bouger, elle a mis une gomme entre mon nez et le mur et une autre coincée entre mes fesses. M'avertissant que si l'une des deux gommes tombait, elle doublerait le temps de piquet. Mais ne voulant pas aggraver mon cas je suis resté bien droit dans mon coin sans bouger.
La pire des punitions a surtout été que Madame me refuse mon bisou en arrivant j'ai été très vexê.
RépondreSupprimerChenapan, le bisou on le donne quand la fessée est terminée. Là oui on fait un gros bisou à Chenapan en lui disant qu'il est pardonné et surtout de ne pas recommencer.....et pour ça il y a toujours de l' espoir !!!
RépondreSupprimertout à fait Annonciate, le bisous c'est quand on est pardonné! mais quant à ne pas recommencer, là c'est une autre histoire!! il ne recommence pas quand il est à portée de mains!! :D
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