Bonjour à vous qui pénétrez sur mon blog Mi-ange/Mi-démon. Tout d’abord, pour les personnes âgées de moins de 18 ans, merci de cliquer sur la petite croix rouge en haut à droite et BYE.

Bon maintenant que nous sommes entre adultes, je vous laisse découvrir ce blog. J’ai la chance de jouer dans le monde de la fessée, avec deux hommes, un que j’appelle « mon chenapan » et un autre qui est mon Educateur. Si j’ai fait ce blog, c’est pour vous faire partager la complicité que je vis avec l’un comme avec l’autre.

Vous trouverez donc des récits de l’éducation de mon chenapan, de mon éducation par mon Educateur, de fessées que j’ai reçues ou données avec d’autres personnes. Il y a aussi des récits tirés de mon imagination comme un long récit sur la vie au pensionnat, Aline et Thierry et d’autres.

J’ai essayé de classer cela par sujet et que j’alimenterai régulièrement. J’espère que vous vous y retrouverez et aurez plaisir à y revenir. Merci pour votre visite et n’oubliez pas les commentaires, cela fait toujours plaisir.

mercredi 29 mai 2013

La première fessée d'Italo en mars 2011


Une fenêtre s’ouvre, j’ai reçu un MP (message privé) sur le forum. Mais qui peut bien m’écrire, j’ouvre et là je découvre que l’expéditeur est Italo Bacardi, oupssss que veut-il?? Il faut dire que je l’ai tellement cherché, il ne doit pas être content. Mon cœur bat plus vite quand j’ouvre le MP. Je lis le message, ah oui, il n’est pas content. Il me dit qu’il monte sur Paris dans une semaine et qu’il veut me voir pour me rencontrer. Je lui ai répondu que j’allais une semaine chez mon fesseur dans le sud et que tout dépendait quand il venait, on pourrait boire un verre ensemble quelque part. Sa réponse ne se fait pas attendre, il vient mais quelques jours qui précèdent mon départ donc on pourra se voir.


Echanges sms puis téléphoniques et on convient de se voir la veille de mon départ. Je ne pourrais pas rester très tard, mon train est tôt le lendemain.

Je quitte mon travail et je me dépêche de me rendre sur Paris pour aller à sa rencontre, je le retrouve dans une brasserie, place Quinet. On discute et d’un coup il me dit :
  • alors tu es prête pour ta fessée ?
  • euhh ben non, ce n’était pas prévu. Je suis juste venue boire un verre avec toi
  • oui bien sur, mais je te l’ai dit que je te mettrai une fessée aussi, tu m’as tellement cherché sur le forum et le blog, tu dois maintenant assumer
  • mais je croyais que tu plaisantais
  • je ne plaisante jamais avec l’insolence des chipies comme toi et là tu as fait fort
  • mais non, ce n’est pas possible, en plus j’ai mes règles
  • c’est vrai ce mensonge que tu me dis là ? je les connais les chipies de ton espère, elles font tout pour échapper à la sentence
  • non ce n’est pas un mensonge, c’est vrai, j’ai mes règles
  • ce n’est pas grave, je ne te baisserai pas ta culotte jusqu’aux pieds mais en dessous de tes cuisses
  • non mais Italo, c’est bon là, tu ne vas pas me fesser, tu me taquines
  • non, pas du tout, de toute façon tu pars chez ton fesseur demain, si je ne te fesse pas, c’est lui qui te donnera une fessée et très sévère de ma part alors que si tu acceptes, il déduira cette fessée de ton compte
  • mais tu ne vas pas le contacter là ?
  • si bien sur, dès ce soir, après ton départ, de toute façon il est au courant.
Je ne fais pas la maligne, je débutais dans le monde de la fessée et je ne connaissais pas toutes les règles donc on n’arrête pas de me parler. Je suis perdue, que dois-je faire ? De plus, c’est la première fois que je pars demain chez mon fesseur, on ne se connait pas en vrai et si en plus je dois régler mes comptes de Italo avec l’autre, cela va être dur pour moi.
  • mais si tu m’en mets une, tu ne seras pas trop sévère ? lui dis-je
  • tu auras ce que tu mérites, alors on y va ?
  • mais tu n’es pas sympa avec moi là, je ne te connais pas.
  • Ben on vient de boire un verre ensemble, on a discuté, tu me connais
  • Mais tu ne vas pas me la donner là dans le café
  • on va aller chez un ami à quelques pas d’ici, il n’est pas là, ne t’inquiète pas.
Je ne sais plus quoi faire, j’hésite, j’ai envie mais j’ai très peur. Je n’ai reçu qu’une seule fessée 5 mois plus tôt, et elle était très gentille et là je sens qu’elle ne va pas être aussi gentille. Il est très sévère. Et puis j’accepte, on verra bien.

Nous nous rendons chez son ami, il me parle pour me rassurer, me montre certains de ses livres, me parle de son ami, je suis tétanisée de peur, je ne sais pas si je vais pouvoir continuer. Il sent que la pression monte, puis il me dit :
  • alors chipinette, on y va ?
  • oui, lui dis-je timidement
À peine dit cela, qu’il m’attrape par l’oreille et commence à me gronder, me dire que mon comportement est inacceptable, que je le provoque, que je suis insolente, effrontée et que je mérite une bonne fessée. Je ne dis pas un mot, je suis morte de peur.

Il s’assoit sur le canapé, m’attrape par la main puis me tire et je me retrouve allongée sur ses genoux, il me maintient bien avec son bras gauche, et passe une jambe par dessus les miennes, je ne peux plus bouger. Il pose sa main sur mes fesses et me rappelle le mot de passe, et qu’il allait commencer la fessée. Je suis tendue, mes fesses sont contractées. La fessée commence sur le pantalon, aie aie aie, la vache il claque fort, comment cela va être sur les fesses nues directement. Je me contracte encore plus, on m’avait dit qu’il ne fallait pas car cela faisait plus mal mais je ne peux pas contrôler. Et voilà il s’arrête et il m’aide à me relever et me baisse le pantalon et m’envoie au coin. Le traitre de pantalon tombe en bas des jambes, pas pratique pour marcher ainsi, et il me met une claque sur la cuisse parce que je ne vais pas assez vite, je le verrais bien lui à marcher ainsi.
 
 
Il commence à bouger par ci par là, il va au fond de l’appartement, il revient, et moi je commence à regarder dans la cuisine, puis je me penche dans le couloir pour voir où il va et je me remets de suite à ma place quand je l’entends revenir. Il me dit que c’est bien car je reste sage au coin, je ris intérieurement.

Puis il me dit de revenir, la fessée continue. Et ben ça promet. Je me retrouve dans la même position, les claques recommencent à tomber, oh la vache, qu’est ce qu’il claque fort. Ça fait drôlement mal. Il me dit que la fessée se prend sur la culotte, tu parles, il n’arrête pas de la tirer entre mes fesses, elle ne sert à rien ma culotte. Après un long moment de claques et quelques caresses mais minime, il me relève et je me retrouve de nouveau au coin. Il doit aimer, mais qu’est ce que c’est ennuyant le coin, il n’y a rien à faire, mais bon comme il ne reste pas dans la pièce, je continue à visiter la cuisine. Je me retourne pour voir le salon, il y a beaucoup de livres, j’en lis les titres. Je ne connais pas du tout les auteurs. Ah le revoilà.
  • alors Chipinette, tu réfléchis bien à ton comportement ? me dit-il en me claquant les fesses quand je suis au coin
  • euhhhh ben euhhh oui
  • bon allez on va poursuivre cette fessée mais sur tes fesses nues, on va donner des couleurs à ses fesses bien trop blanches à mon gout

Ah bon? Et ben je ne sais pas si je vais supporter encore la suite de cette fessée. Et puis il va voir mes fesses nues. Une angoisse monte dans mon ventre mais je reviens vers lui et hop de nouveau sur ses genoux, il a une technique infaillible pour vous allonger sur ses genoux, on sent l’expérience là dessous. Je me retrouve de nouveau coincée sous son bras et entre ses jambes. Il a vraiment peur que je bouge mais je ne fais pas un mouvement, je n’ose pas, j’ai tellement peur qu’il claque encore plus fort. Il me baisse ma culotte juste en dessous de mes fesses.


Et la fessée reprend, j’ai vraiment très mal, comment font les autres pour supporter cela. Je tente une main pour me protéger et Italo me la bloque dans le dos, j’essaie de tirer dessus et il la maintient bien. Mon angoisse monte, je ne sais plus quoi faire, j’ai trop mal et je veux qu’il arrête mais je n’ose pas lui dire, que va t-il me dire ? Mes yeux me piquent, j’ai une boule dans la gorge, j’essaie de retenir mes larmes, de les ravaler, car si je pleure, il ne va pas être content. Mais rien à faire, Je n’arrive pas à dire stop, je n’ose pas, je ne sais plus, mes larmes commencent à se répandre sur mes joues, et je ne peux plus retenir mes sanglots retenus dans ma gorge.
 
Italo s’en rend compte et pense que je ris, mais un quelque chose lui dit que peut-être non, il m’oblige à tourner le visage pour qu’il me voit et il découvre mes larmes qui lui mouillent la main. Il se dépêche de me redresser et de m’assoir et me demande ce qu’il se passe. Je ne peux pas lui répondre, j’ai tellement honte de pleurer. Il insiste et me demande pourquoi je n’ai pas dit le mot de passe, qu’il aurait compris, et qu’il aurait arrêté aussitôt, il me l’avait dit au début. Mais je ne sais pas dire stop, je ne sais pas dire le mot de passe. Il est désolé et de le voir ainsi, me culpabilise encore plus. Il me prend dans ses bras pour me consoler et m’embrasse les cheveux. Il essaie de me faire rire, me taquine, me rassure, me parle pour que mes larmes tarissent.
 
Puis il me dit qu’il va me masser les fesses pour calmer le feu. Je le regarde avec méfiance, il me rassure, il me promet qu’il ne me fessera plus mais juste un massage. Je me rallonge sur ces genoux, il prend une crème à l’arnica et commence à me masser délicatement et de plus en plus fermement car il me dit que j’ai un hématome. Il fait bien pénétrer la crème. Puis il me dit qu’il va prendre une photo, je refuse et mets ma main sur mes fesses, et d’un coup, son iphone vole à travers la pièce. Oupsss je ne lui épargne rien le pauvre.
 
Nous discutons et il me propose d’aller boire un verre dans un bar. On sort de chez son ami, et il s’arrête dans un magasin à coté et me dit de l’attendre, il revient. Puis il sort avec un petit cadeau, c’est un titi, car mon avatar sur MSN, était un titi qui disait : « interdit de me priver de bisous ». Puis nous nous somme dirigés vers le bar « l’ami » rue de la Gaité. Italo a commandé une boisson qui s’appelle « string », nous avions ri de cela. Nous avons longuement discuté de tout et de rien, de mon futur séjour chez mon fesseur, des bêtises que je vais devoir assumer. Je me détends mais je me pose beaucoup de questions sur mon avenir dans ce monde de la fessée, je ne sais pas si cela me plait vraiment. Je dois être douillette surement. Puis il me raccompagne au RER pour que je puisse rentrer chez moi. Demain est un autre jour, une autre aventure…

 

 

 

11 commentaires:

  1. J'ai beaucoup aimé ton récit Chipinette!
    Tu sais , je suis un peu comme ça moi aussi, je pense que personne n'osera ma donner la fessée!
    C'est pour celà que je me permets d'être insolente et irrespecteuse envers ses Monsieurs.

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  2. je vois, je vois, et un jour il faut assumer!! et c'est dur pour nos fesses!!!

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    1. Ouh là là ben oui dur d'asumer mais tu l'a fait comme une grande Des bleus pas glop mais il faut savoir dire stop sais tu merci de ton récit

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    2. mais de rien, Ours. mais les bleus m'ont permis d'avoir des massages de mes fesses par tes petites pattes d'Ours!! bien agréable!! ;-)

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  3. Merci à vous pour ce récit cirse

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  4. Eh be Mr italo ne rigole pas :( pauvre Chipinette g bisous ton récit est merveilleux, merci. :)

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  5. et non il ne rigole pas, tu as vu!!! et encore je n'ai pas de photo mais mes fesses étaient cramoisies!!

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  6. En fait il n'était pas dans mes intentions de fesser Chipinette ce jour là. Je suis partisan de faire plus connaissance avant. Mais elle s'est montrée tellement espiègle, chipie, effrontée, moqueuse dès les premieres minutes que j'ai même failli lui flanquer sa déculottée là dans cette brasserie parisienne... Heureusement je n'habitais pas loin.

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  7. ah lalala c'est même pas vrai, j'étais toute intimidée par le grand Italo Baccardi moi, et d'abord je ne suis jamais comme tu dis, je suis sage, réservée, toute mimi, on me prendrait presque pour un ange!! si si Monsieur, pour un ange!! :-p

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  8. Pour une première, c'était réussi. Dis-donc, c'est un pro, ce Monsieur...

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