Punitions de Mardi et Mercredi
Aussitôt arrivé, j’ai dû me mettre en tenue : liquette et culotte. Ma gouvernante m’a donné trois minutes pour m’habiller. Quand je suis revenu, elle m’a fait comparaître devant elle. Elle dans un fauteuil et moi à genoux à ses pieds. Elle m’a fait la liste des bêtises de la veille et du matin et a annoncé la couleur : « Copier 2O fois « je ne serai plus insolent avec Madame. Pardon Madame, je ne recommencerai plus »
Aussitôt arrivé, j’ai dû me mettre en tenue : liquette et culotte. Ma gouvernante m’a donné trois minutes pour m’habiller. Quand je suis revenu, elle m’a fait comparaître devant elle. Elle dans un fauteuil et moi à genoux à ses pieds. Elle m’a fait la liste des bêtises de la veille et du matin et a annoncé la couleur : « Copier 2O fois « je ne serai plus insolent avec Madame. Pardon Madame, je ne recommencerai plus »
Mais attention : un mot sur deux en bleu, un
mot sur deux en rouge, avec obligation d’inverser à chaque phrase. (Selon
certaines indiscrétions, Madame, qui a été autrefois une vraie chipie à
l’école, récoltait des centaines de lignes à faire ainsi de la part d’une
institutrice sévère). Elle a exigé que j’écrive mes lignes debout devant une
table avec les fesses à l’air et toutes rouges.
« Ta brosse » elle a commandé. Je suis allé dans la salle de bains chercher la fameuse brosse, celle avec laquelle elle aime me rougir les fesses. J’ai dû la lui remettre à genoux. Puis elle m’a relevé la chemise derrière qu’elle a fixé avec une pince à linge.
« Retire ta culotte ». S’il y a une chose qui me fait honte, c’est bien de devoir me déculotter devant ma Gouvernante. Si je vais trop vite, elle me donne des claques sur les cuisses et je dois recommencer. Là elle a pris un malin plaisir à me faire remonter et baisser cinq fois ma culotte. Et à chaque fois, clac ! Sur les cuisses. Ca fait très mal. Mais je n’étais pas au bout de mes peines : une fois déculotté, elle a exigé une « inspection de culotte ». J’ai dû lui présenter mon slip sous toutes les coutures pour qu’elle vérifie si je n’étais pas un « gamin crasseux ». C’est horrible.
Mais tout a une fin et ma Gouvernante n’ayant rien trouvé à redire sur ma propreté intime, elle m’a fait mettre en position : penché, les mains aux genoux, les fesses bien présentées. Elle a commencé par cinq coups sur la fesse droite. Puis cinq coups sur le gauche. Je trépignais, me crispais, sautillais. Mais elle claquait sans pitié. Parfois c’était trop fort et je ne pouvais m’empêcher de pousser un cri. Elle m’a demandé de poser les mains sur mes fesses pour les tâter comme elles étaient chaudes. Elle a dit qu’elles étaient toutes rouges et qu’elle allait prendre des photos pour son forum afin que toutes ses amies puissent voir comment elle était sévère.
Puis elle a repris la série
: cinq de chaque coté. Puis cinq sur chaque cuisse. Je me mordais les doigts
pour ne pas crier. Je trépignais en silence car elle m’avait menacé de doubler
la punition si j’ouvrais la bouche. J’avais les fesses en feu. Elle me les a
fait regarder dans la glace : c’était rouge vif et quand j’ai passé la main
dessus c’était brûlant. Ma gouvernante m’a dit en me tâtant le derrière que
j’étais fiévreux. J’en ai profité pour rajouter que j’étais un peu malade et
qu’il serait préférable de repousser la suite de ma punition au lendemain. Elle
a dit « parfait. Si tu es malade, c’est normal que tu ne sois plus puni…. Mais
pour m’en assurer je vais prendre ta température. Je l’ai suppliée, lui disant
que j’allais beaucoup mieux et que cette fessée en faisant circuler le sang
m’avait redonné la pêche. Rien à faire.
Elle m’a dit de commencer mes lignes.
Mes fesses étaient tellement en feu que j’avais très envie de passer mes mains
dessus pour les calmer. Mais ma gouvernante me l’a interdit sous peine de
rajouter une dose de cinq. Quelques minutes plus tard, j’ai senti qu’elle était
dans mon dos à me surveiller. Elle m’a écarté les fesses. J’ai voulu me
retourner mais elle m’a claqué plusieurs fois les fesses douloureuses. Alors je
me suis abandonné. J’ai senti quelque chose de froid et pointu appuyer sur mon
petit trou. C’était le thermomètre. J’ai continué mes lignes avec ça entre les
fesses. Comme je n’avais pas de température, Madame m’a puni pour le lendemain
pour avoir osé me faire passer pour malade afin d’échapper à mes punitions.
Je suis certaine que ce traitement a dû sérieusement calmer Chenapan....jusqu 'à la prochaine.
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