Madame m'a demandé de faire cette rédaction pour que je raconte mon
week-end chez elle à Pâques. Ce n'est pas la première fois que je viens, mais
c'est à chaque fois un grand moment de plaisir. Celle qui est ma gouvernante et
que je dois appeler avec respect " Madame" est toujours très sévère
pour le chenapan que je suis.
Selon elle, mon éducation est à reprendre au début et elle a toujours une liste très longue de punitions à m'infliger, car elle note toute les bêtises et espiègleries dont je me montre coupable à son égard lors de nos jeux virtuels sur MSN. Moi de mon côté je dois tout noter sur mon Carnet de punitions. Des mon arrivée, elle referme la porte derrière moi et le jeu commence aussitôt. Elle me montre ma chambre et me donne cinq minutes pour comparaître au salon pour ma séance de confession. Je ne dois pas trainer. Toute minute de retard entraîne un nombre déterminé de claques sur les cuisses ou les fesses selon son bon vouloir. C'est en chemise de nuit que je dois comparaître devant Madame. Une liquette qui m'arrive à mi cuisses. Je dois apporter mon carnet et attendre au coin les mains sur la tête le bon vouloir de Madame.
C'est à genoux devant le fauteuil de Madame quelle me fait confesser mes
fautes. Elle vérifie sur le sien si j'en ai oublié. Puis les sanctions tombent.
La fessée, toujours. Des claques sur les cuisses. Des claques sur la culotte.
Puis enfin la fessée déculotté. Une pince à linge maintient ma chemise relevée.
Elle commence par une correction debout, mains sur la tête avec des claques
sévères sur les cuisses et sur les fesses heureusement recouvertes de la
culotte qui amortît. Puis c'est la fessée en position classique: allongé en
travers ses genoux, comme un gamin puni. Là elle prend son temps. Elle me
pétrit les fesses, pince un peu de chair à la lisière de la culotte. Elle passe
son doigt dans ma raie: juste pour que je sente bien que je suis puni et que
les fesses sont devenues sa propriété exclusive. Puis les claques tombent. Des
fortes, des légères, des qui frappent la peau nue à l'échancrure de la culotte,
des rapides qui surprennent, des sonores qui brûlent, des claques vicieuses
appliquées directement dans la raie des fesses, des surprenantes en forme de
frôlements, de caresses, suivies de cruelles mordantes qui vous font un cul
rouge. Madame a le don de me dérouter quand elle donne la fessée. Puis elle me
déculotte et la correction reprend, aussi déroutante. Elle cesse parfois pour
caresser mes fesses en feu. Elle affirme son pouvoir en m’ouvrant de force les
fesses pour me montrer qu'elle fait sa loi. J'ai beau me crisper, elle a de la
poigne et je finis toujours par me soumettre. Mort de honte. Elle termine
toujours la fessée par une période au coin. Elle aime regarder mes fesses
rouges. C'est nez au mur les mains sur la tête. Debout. Mais comme j'ai bougé,
je me suis retrouvé à genoux. Pas confortable et humiliant!
Dans la soirée, juste avant d'aller au lit, elle m'a imposé une "
visite de propreté" Ce n’est pas la première fois qu'elle me fait ce genre
de contrôle en sortant de la salle de bain. Culotte baissée pour quelle
inspecte la propreté de mon sous vêtement. C'est pour ça qu'elle exige que je
porte toujours des slips de coton blanc. Imaginez la scène avec Madame qui
scrute mon fond de culotte. Pire il me faut lui présenter mon sexe, gland
décalotté. Elle passe dans le repli un coton tige. Trop la honte! Puis c'est la
raie des fesses. Cambré, ouvert à deux mains, je dois m'offrir à la pénétration
d'un autre coton tige. Je ne fais pas le fier. Ayant découvert quelques traces
de pipi elle m'a fait mettre en couche! Jai refusé tout net, mais quelques
claques sur les fesses nues m'ont fait plier. En couche!
Avec obligation de la garder toute la nuit! Il n'était que 20 heures,
mais Madame ma dit que les gamins vont au lit de bonne heure. Comme j'ai
demandé à aller aux toilettes, Madame a refuse tout net, disant que je n'avais
qu'à prendre mes précautions avant. Pour me punir de ma colère pendant quelle
m'a mis en couche culotte, je suis allé au piquet dans la chambre et Madame en
a profite pour prendre des photos. Mort de honte! Le mélange " fesses
chaudes et couche" créée une forte montée de la température. J'ai fini par
trouver le sommeil malgré une très forte envie de me caresser. Mais mon sexe était
inaccessible, en prison sous une épaisse couche de ouate. Je me suis réveillé
de bonne heure, mais Madame m'ayant interdit de me lever sans autorisation, j’ai
dû attendre qu’elle se réveille. Comme elle avait veille tard (elle n’avait pas
été privée de télévision, elle) j'ai dû patienter en crispant les cuisses car j’avais
trop envie de faire pipi. Ce qui devait se passer arriva et n’en pouvant plus,
je n'ai pas pu me retenir et j'ai fait pipi dans ma couche. C'est ce qu’attendait
Madame qui comme par hasard est apparue à ce moment là. Quand elle a découvert
ma couche mouillée, j'ai eu droit à une fessée au lit, fesses nues et humides
de pipi. Puis tout nu, tiré par l'oreille, j'ai été conduit au bain. Elle m'a
lavé des pieds à la tête, comme un vrai bambin. Puis debout dans la baignoire
j'ai reçu une fessée bien claquante.
Juste vêtu d'une culotte blanche et d'un teeshirt, je suis allé au salon
pour le petit déjeuner! Madame avait tout prévu: café au lait à boire ..... au
biberon et avec bavoir au cas où!......
Heureusement qu'il était la ce bavoir parce que depuis le temps que je
n'ai pas bu au biberon, je manquais de technique et ça débordait pas mal. Pour
la journée, Madame m'avait prévu une tenue de garnement : pendant que je
finissais tant bien que mal mon biberon, elle avait tout préparé sur mon lit :
un pull bleu marine avec col en V, polo blanc, et short bleu. Elle m'a pris en
photo en disant que j'étais mimi ainsi et que j'avais tout à fait un look de
boy scout! J'ai vite compris l’intérêt des jambes nues puisque à la moindre
bêtise, elle ne se gênait pas pour me donner des claques sonores sur les
cuisses, même dans l'après midi quand profitant d'un beau soleil nous sommes
allés faire une randonnée au bois.
Dans la soirée, Madame a
décrété que j'allais devenir sa soubrette et faire la cuisine. Avec juste un
tablier laissant les fesses nues, j'ai prépare le repas!
Madame, derrière moi, surveillait mes faits et gestes et plusieurs fois,
elle ne s’est pas gênée pour me claquer le derrière à la main et même avec une
palette en bois pour les crêpes! Là ça fait très mal! Comme ce n'était pas une
tenue de " jeune fille bien élevée" pour se présenter au dîner,
Madame m'avait prévu une jupe plissée! Comme j'étais privé de culotte, c'est
cul nu sous cette jupe sage que j'ai pris mon repas au salon tout en assurant
un service stylé.
Toute maladresse m’a valu des fessées. Facile, il n'y avait qu'à lever ma
jupe pour claquer mon derrière nu.
Madame ayant réclamé un bain, c'est toujours en jupette que je suis monté
lui remplir sa baignoire, mettre des sels de bains. "Tu vas être ma
servante" a décidé Madame. " Tu vas me laver" mais comme elle
est très pudique, j'avais interdiction de lever les yeux vers elle! À genoux je
l'ai savonnée des pieds à la tête, passant mes doigts dans sa vulve onctueuse
et épilée, sans avoir le droit de regarder. J'ai respecté son exigence (même si
je dois avouer que je n'ai pas toujours pu résister à l'envie de regarder) les
yeux fermés, les sensations sont encore plus fortes. J'ai écopé de quelques
claques sur les cuisses. Et puis il y avait mon sexe qui n'en pouvait plus et
qui sortait des plis de la jupe. Madame a pris un gant de toilette et ma presse
le gland. Elle m'a soufflé «déshabille-toi». Tout nu, tiré par le bout du sexe,
elle m'a fait la rejoindre dans la baignoire.
huuuuummmm bien beau récit Madame est sévére comme il le faut
RépondreSupprimertu à de la chance Chenapan de vivre ca
JC
Oui, j'ai de la chance d'avoir trouvé une Gouvernante en totale harmonie avec mes desirs les plus secrets. Madame est tres stricte et exige beaucoup de moi. Ses exigences sont de plus en plus fortes,m'obligeant a devenir plus obeissant chaque jour, un degit de plus a relever pour Elle et pour mo aussi
RépondreSupprimerEt encore un défi à relever la semaine prochaine!!! qui ne me fait pas du tout peur!!! j'espère que tu es prêt à le relever aussi car ta semaine va être difficile à vivre!!!
RépondreSupprimerOui Chenapan c'est dur à trouver les Gouvernantes sévére perverse sachan bien humilier les chenapans
RépondreSupprimerJC
et tu vois mon chenapan profite d'un moment de calme pour faire pleins de bétises. il sera donc chatier à la hauteur de ses provocations!!
RépondreSupprimerOui Madame la Gouvernante mais je suis sur qu'il le fait exprés pour bien etre puni et humilier il à avoué aimer ca comme beaucoup de Cnenapan quand ont à une Gouvernant sévére et qui de l'imagination ont peu s'attendre au pire pour le plaisir de tous
RépondreSupprimerJC
ous n'utilisons pas de couches ni des biberons (à part sur nos bébés...). Par contre, je me reconnais dans la visite de propreté (fond de culotte, papier toilette qui doit ressortir propre après frottage de la raie des fesses..), la toilette "comme un vrai bambin", et la mise au lit tôt après la fessée (et avec bien sûr interdiction de me toucher: madame viendra au besoin se charger de cela).
RépondreSupprimermon chenapan adore mettre des couches!!! lol!!! je plaisante, il n'aime pas mais il en met quand je retrouve des traces de pipi dans sa culotte, puisqu'il ne sait pas se retenir, il a droit à une couche toute la nuit après une bonne fessée!! ensuite il dort comme un bébé!
RépondreSupprimerLe truc que je trouve personnellement le plus embarrassant ce sont les traces... comment dire, marron. D'où la toilette "derrière" et "devant" infligée ensuite par madame.
SupprimerQuant à madame, il m'arrive de la taquiner sur des traces sous le "devant", et pas du pipi...
Je n'y avais pas pensé tout de suite mais une chose que la couche peut éviter, avec quelques précautions, c'est que votre chenapan se touche au lit.
RépondreSupprimerSanctionnez-vous cette mauvaise habitude, prenez-vous des mesures contre?
bien sur, il a l'interdiction de se caresser sans mon autorisation et s'il le fait, il sait qu'il portera sa cage de chasteté, car avec une couche, en se frottant il peut se procurer du plaisir quand même!! alors qu'avec la cage, c'est impossible!!
RépondreSupprimerAh pardon je n'avais pas vu la cage de chasteté. Je n'en ai jamais vu et encore moins porté. Par contre madame avait un moment envisagé de se faire punir (pour une masturbation abusive) par le port d'une ceinture de chasteté pendant une semaine, quand je serais en déplacement. Nous n'avons pas donné suite car nous ne trouvions pas d'équipement que l'on puisse porter sur une telle durée (donc aller aux toilettes, par exemple), sans risques de blessures ou d'irritations, etc.
Supprimerla sienne étant en silicone, elle ne blesse pas et il peut la porter de jour comme de nuit, mais cela l'oblige à aller aux toilettes comme les filles, et impossible d'avoir des érections!!
SupprimerMais ça se monte comment?! Vous avez une photo quelque part?
Supprimer(Le pipi assis ne me gênerait pas, c'est ce que je fais sur les toilettes assises, notamment à la maison. Ça évite d'en mettre à côté.)
Pour les femmes c'est sans doute assez compliqué: il faut quelque chose qui bloque l'accès au sexe, qui soit maintenu dessus mais qui permet de faire pipi et (pardon) caca et qui permette de se laver, au moins en prenant un bain de siège. J'ai vu des trucs en métal qui semblaient nécessiter de prendre plein de mesures exactement, très cher...
D'ailleurs... comment fait-il pour se laver?
pour la cage il suffit d'aller voir sur le net et vous trouverez sans problème mais pour les femmes, je ne trouve rien d'autres que des vilains trucs en métal, je ne trouve pas cela très pratique dans la vie de tous les jours!
SupprimerSinon il y a des aérations sans soucis pour se nettoyer, je dirai à mon chenapan de venir vous en parler lui même !
D'accord. Effectivement, bien que le cliché pseudo-historique soit la ceinture de chasteté pour filles ou femmes, il semble que cet engin de nos jours soit bien plus répandu pour les hommes!
RépondreSupprimerMon épouse m'a puni une fois sévérement suite à des abus manuels. En plus de la fessée, elle m'a imposé une punition "par là où j'avais péché": le matin elle m'a décalotté puis oint le gland d'huile pimentée.
Quelques années plus tard c'était au tour de madame d'avouer de sérieux abus. Je lui ai passé du gingembre pelé sur et dans les parties fautives.
Je vous rassure, c'étaient là des épisodes exceptionnels.