La première fessée passée, mon
compteur est remis à zéro et je peux recommencer mes bêtises, c’est vrai, il
serait dommage que Georges se culpabilise de me fesser car je suis trop sage.
Je discutais avec Ours sur skype quand il me demande comment va Georges, et moi en chipie que je suis, je lui réponds « il est au coin car il n’est pas sage », une petite phrase rigolote et tout à fait innocente. Ni une ni deux, Ours écrit un MP à Georges pour lui faire part de ce que je dis dans son dos et il lui propose de me punir quand je descends à la caverne en mai. Mais là il l’invite à se joindre à lui quand je descends, ainsi il y aura 2 fesseurs pour deux chipies. Aie ça sent le roussi pour ma coupine Mira et moi. Mais Ours essaie de nous faire peur, Georges ne pourra surement pas venir, donc je suis sereine.
Ours m’ayant transféré le MP
envoyé à Georges, je me suis empressée de dire à Georges ne surtout pas lire le
MP d’Ours !! Un sms arrive et il me demande pourquoi ? Évidemment je
refuse de lui dire quelle bêtise j’ai faite. Je peux être très entêtée quand je
m’y mets. Il m’annonce une punition sévère puisque je n’avoue pas mes fautes.
Et il me dit qu’il est très en colère après moi. Et toujours par sms je lui dis
que c’était une petite taquinerie, et pas de quoi se fâcher ainsi. Mais lui ne
le voit pas de cet œil là.
Entre le lundi matin et le
mercredi après-midi où nous nous voyons, il m’envoie un décompte de jours puis
d’heures pour me faire monter la pression. Et la veille, il me dit qu’il allait
me donner des consignes de ce que je devrais faire avant son arrivée. La
pression est à son maximum. De plus il parle très sévèrement.
Le téléphone sonne, il me dit
être devant le portail, je lui ouvre et il me dit d’aller au coin les mains sur
la tête en l’attendant. Je râle évidemment sinon je ne serais pas Chipinette.
Mais il élève un peu le ton et me dit d’obéir. Mes neurones sont en activité
maximum. Comment je vais désobéir tout en le roulant dans la farine. Je me mets
donc dans un coin de mon salon, les mains sur la tête mais pas tournée vers le
mur, mais vers le salon. Il arrive, oh il n’est pas content du tout. Il
s’approche de moi et me dit :
- C’est cela le coin pour toi ?? tourne-toi de suite.
- Ben tu ne m’as pas dit comment il fallait que je me mette, et puis je n’aime pas le coin
- Tu te moques de moi là, je ne suis pas content du tout par ton comportement, oser dire que tu me mets au coin ? ben maintenant c’est toi qui y es.
- Pfffff t’es pas gentil, lui dis je en boudant et en me retournant
- Ah tu fais moins la maline, me dit-il en me claquant les fesses sur la robe
- Et tu ne m’as même pas fait un bisou, lui dis-je pour avoir le dernier mot
- Non, tu en auras quand tu auras eu ta fessée que tu mérites
- Oh mais non, stp, pas cela
- Tais-toi, bon maintenant tu montes dans ta chambre et tu m’attends allongée sur ton lit
Je ravale ma réplique et je monte
dans la chambre et m’allonge sur mon lit, et comme il est derrière moi, je
m’exécute car il me claque les fesses et cuisses en montant.
J’attrape un oreiller pour mon
confort, et je m’allonge en travers du lit, Georges s’installe aussi et
commence à claquer !! Comme il me l’avait demandé, j’étais en robe et il
avait accepté que je mette un leggings car je n’aime pas être en robe trop
courte !
La fessée commence, vu
l’épaisseur que j’ai, pas de souci, je ne ressens pas grand-chose. Mais je ne
lui dis rien, je profite un peu de la situation et il s’en rendra bien assez
vite.
Puis quand il relève la robe, il se
rend compte de son épaisseur, et me le dit !! Je ris un peu ! Il
comprend que je l’ai fait exprès car avec le leggings et la culotte et ben
je ne sens rien. Mais une fois la robe relevée, je commence à sentir une peu
plus les claques, et puis d’un coup, assumant un peu plus cette fessée, Georges
m’empêchant de me réfugier dans ma bulle, il me parle, me demande de répondre,
m’impose de voir mon visage et de le regarder, tout se mélange dans ma
tête ! Je sens une angoisse montée, et là des larmes surgissent, je me
cache dans mon oreiller, je ne veux pas qu’il me voit ainsi pleurer, je suis
tellement stupide de pleurer ainsi, on est dans un jeu, mais voilà, je n’arrive
pas à contrôler ces larmes, et j’ai peur qu’il s’en rende compte. J’essuie mes
larmes dans l’oreiller mais là trop tard, il se doute qu’il y a un problème, il
me demande de le regarder, ce que je refuse bien sur. Je ne veux pas qu’il me
voit ainsi, surtout qu’en plus j’étais maquillée, donc le rimmel coulait. Il se
met à coté de moi, et me tourne la tête et me prend le menton, et me demande ce
qu’il se passe :
- Ben ma Chipinette, que se passe t-il ?
- C’est rien, là
- Si, si tu pleures c’est qu’il y a quelque chose
- Mais non, juste la pression qui retombe, je ne suis pas habituée, donc voilà
- Ok d’accord
Georges s’allonge sur le lit et
me dit de venir vers lui, et il me prend dans ses bras pour me consoler. Nous
parlons un peu de cette pression, qu’il faut que j’apprenne à lâcher prise et
surtout que j’arrête de réfléchir autant, ne pas tout vouloir contrôler. Une
fois les larmes taries et essuyées et le maquillage enlevé, il me dit :
- Allez ma belle, on reprend, ta fessée n’est pas finie, on en est même loin
Il a compris qu’il faut que l’on
revienne dans le jeu, pour que je puisse me décontracter. Les claques
reprennent de plus belles puis il décide que la culotte est de trop, et il la
baisse. Evidemment ma main essaie, je dis bien essaie, car il me tient la main,
et me baisse la culotte et décide de la retirer entièrement. Pas moyen de lui
faire croire qu’il ne devait pas comme la première fois, il se fait avoir une
fois mais pas deux. Je déteste ne plus avoir de culotte du tout, et j’ai eu le
malheur de lui dire.
Et les claques reprennent, tantôt
douces, tantôt plus sèches, des aie et des ouilles s’échappent de plus en plus
souvent de ma bouche. Mais il est déçu car mes fesses ne rougissent pas
aujourd’hui. Puis il me demande de me lever, il est debout devant moi et me dit
qu’il a un cadeau pour moi de son voyage. J’adore les cadeaux, je suis donc
contente, il me récompense de l’avoir taquiné, il est gentil je trouve. Il me
le donne et je découvre un teeshirt bleu marine super joli. Il me dit de le
mettre, oui mais là pour le mettre, je dois enlever ma robe et je serai en
soutien-gorge. Je lui demande de se retourner et là il se fâche. Il sait très
bien pourquoi je ne veux pas qu’il me voit, je déteste mon corps, et je ne veux
pas qu’il me regarde, la peur de le décevoir. Il me demande de le regarder, et
me dit que je ne dois pas avoir honte de mon corps, ce qui compte c’est ce que
je suis. Je me tourne quand même et retire ma robe et me dépêche de mettre le
tee-shirt. Puis il me dit que la fessée continue avec un 2ème cadeau
qu’il a emmené. Et là il sort son martinet, il sait que j’en ai peur mais il
m’avait expliqué qu’il allait m’apprendre à l’aimer. Il me le passe partout sur
les jambes et les fesses, sur le visage. C’est doux, agréable, et les lanières
sentent bon le cuir. Puis il me montre un autre instrument, un paddle avec du
velours d’un coté, j’aime beaucoup le coté velours, même quand il claque alors
que l’autre coté, aie les coups sont secs.
Il vient s’allonger à coté de moi
pour me faire un câlin et me frotter un peu les fesses et les caresser. La
fessée est terminée. Et là je lui dis une bêtise, il doit me croire
inconsciente, je suis là allongée sur le ventre, les fesses nues, qui me
piquent et chauffent et je ne sais pas me taire.
- Chipinette, je te donne le choix, tu vas recevoir soit 20 claques sur les fesses ou 5 coups de martinet et tu vas compter
Mon cerveau cogite à plein tube. Et
puis je me dis qu’il faut que j’avance donc je lui réponds le martinet. Je le
sens un peu surpris mais content.
Il commence, pas trop fort pour
me montrer qu’avec un martinet on peut claquer plus ou moins fort. Et je compte
1…2…3…4…5 et il m’en donne un 6ème pour être équitable avec les deux
fesses. Puis il m’en donne un coup bien plus fort pour que je comprenne que je
pouvais lui faire confiance, qu’il contrôlait les coups et ne cherchait pas à
me faire mal mais au contraire me donner du plaisir ! Il me demande de me
lever et me dit de venir devant lui, il m’attrape le bras et m’allonge en
travers ses genoux mais les pieds au sol, et il me fesse ainsi, mais mes fesses
sont très sensibles et là je bouge pas mal. Et la dernière claque tombe. Il me
redresse et me fait un câlin et un bisou.
Ah une petite chose, Georges
avait apporté son appareil photo mais il a oublié de s’en servir. Et il était
trop tard quand il y a pensé. Je n’allais quand même pas lui rappeler !!
Oh dommage on aurait bien aimé voir les résultats de cette super fessée ;)
RépondreSupprimerJe suis content que tu es trouvé un nouveau fesseur pour jouer et t'épanouir dans ce rôle de chipie qui te va si bien^^
Continue à nous relater tes aventures.
A+
Merci Ajenky, les photos un jour viendront quand mon fesseur n'oubliera pas de les prendre!! car moi la chipie, ce n'est pas à moi de dire quoique ce soit à mon fesseur!! mdrrrrr
Supprimergenial ^^ bon courage au fesseur mdr la chipie est de retour ^^
RépondreSupprimeril ne savait pas à quoi s'attendre quand il m'a envoyé son premier mail !! ah ah ah ah ah ah
Supprimerah ba maintenant il le sait et il doit aimer ca vu qu'il ne se declare pas battu lol
SupprimerMerci encore Chipinette de partager ces moments douloureux et délicieux!
RépondreSupprimermais de rien, et merci à vous de les lire! ;-)
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