Ma première fessée avec Georges

Tiens j’ai encore reçu un mail sur ce site de rencontre fessées. Je vais, comme je fais depuis un certain temps, cliquer sur le carré et supprimer sans même l’ouvrir. Les mails sont tous les mêmes, des plans « cul » et des fantasmeurs. Où sont passés les vrais fesseurs ?

Mais là le titre m’interpelle, « complicité », tiens j’aime bien ce titre, je vais quand même l’ouvrir et que lis-je ? Des phrases qui me plaisent, que j’attends depuis un certain temps et que je désespérais de lire un jour. Et en plus il dit adorer les chipies provocatrices, mmmm. On échange quelques mails, puis on tchatte, envoie de photos, on se parle par Cam sur skype, on se téléphone, on se parle beaucoup et on est sur la même longueur d’ondes, nos recherches sont identiques. Je le taquine, le provoque, il joue le jeu, il ose me dire qu’il a un carnet et note tout dessus, je le charrie. Et une semaine jour pour jour après notre premier échange de mail, on se rencontre.

On se décide de se retrouver chez moi, et oui je sais, ce n’est pas dans le protocole de rencontre mais on s’est déjà vus plusieurs fois par Cam et discuter des heures au téléphone.

Il arrive, je suis très stressée, ben oui c’est notre première rencontre, que va-t-il penser de moi, de mon gabarit, je me suis si souvent faire jeter à cause de cela ! Je l’accueille sur le pas de ma porte, il est comme sur la Cam, on se sourit, et on se fait la bise. Il rentre chez moi. Et voilà, on s’installe, on papote, longtemps, mais quel bavard alors… il boit un café, et il continue à parler. Et moi très sagement je l’écoute.

Et puis d’un coup, je commence à me sentir à l’aise, je le taquine légèrement, et il se lève et me dit que l’on a des comptes à régler qui sont inscrits sur son carnet. Ah zut, il n’a pas oublié les petites taquineries de la semaine mais bon on apprenait à se connaitre là, ce n’est pas jute, je n’étais pas prévenue. Mais la fessée aura lieu quand même, une fessée très soft, des éléments extérieurs de notre volonté nous obligent à être très prudents lors de cette fessée.

Il s’assoit sur le canapé et je m’allonge sur ses genoux, je m’installe confortablement et prend un oreiller dans mes bras, j’ai besoin de cela pour fondre dans ma bulle de protection. Il commence à me fesser tranquillement sur le pantalon, ça va, je ne sens rien du tout, cela est parfait, je ne vais pas lui dire. Il commence à me parler de nouveau, difficile de se concentrer là. Puis il me dit de me relever pour enlever mon pantalon. Je le détache moi-même car pas envie de le regarder le faire. Et hop je me rallonge.

Et bien évidemment il le baisse. Et là, j’ai ma culotte mais non, il la tire et claque directement sur mes fesses, non mais je rêve, il abuse là, ce n’est pas juste. Je lui en fais la remarque et me répond que c’est lui le fesseur et qu’il fait ce qu’il veut. Et les claques que je ne sentais pas sur le pantalon, et ben sur les fesses direct et ben là je les sens et en plus, il parle tout le temps, me pose pleins de questions. Il ne pouvait pas le faire tout à l’heure ?? Mais non pas du tout, il a compris ce que je faisais et veut que je profite à fond de cette fessée. Et comme je ne réagis pas, il se décide de s’attaquer à mes cuisses, alors là, plus moyen de rester dans la bulle, je commence à gigoter des jambes. Je lui dis qu’une fessée, c’est sur les fesses et non les cuisses, mais il s’en moque royalement et comme il a vu que je réagissais et m’exprimais quand il les claquait, il ne s’en prive pas.

Puis il revient sur les fesses et croit qu’il va pouvoir baisser ma culotte. Alors là c’est dans ses rêves. On ne baisse pas ainsi ma culotte. Je sens passer ses doigts dans l’élastique de ma culotte, et je la sens glisser doucement et là hop une main arrive et l’empêche de la descendre et je la remonte de suite. Il me dit qu’il comprend que je ne veuille pas. Alors là je suis surprise, c’est bien la première fois qu’un fesseur accepte cela. Je suis tellement surprise, que j’éclate de rire en lui disant que j’aime bien quand un fesseur m’obéit ainsi. Ah là, j’aurais du tourner ma langue 7 fois dans ma bouche avant de parler. Car immédiatement, elle redescend, même pas eu le temps de la rattraper et je reçois des claques d’une intensité bien plus élevée que jusqu’à maintenant. Des aie et des ouille sortent de ma bouche, et même si j’éclate de rire, je n’en mène pas large.

Puis Georges décide un truc trop space, que je devais compter les claques, non mais là hors de question, je ne sais pas compter, lui dis je. Il insiste, et me dit que je vais recevoir 20 claques et que je devais donc compter. Et si je ne le fais pas, et ben il recommencera tant que je ne compterai pas. Je compte dans ma tête et quand on en est à 20 je lui dis 20. Il rit et me dit que cela ne se passe pas ainsi, donc il dit que l’on recommence, et je fais pareil, je compte dans ma tête et hop 20 mais les claques augmentent d’intensité mais je ne lâche pas, j’ai horreur de compter ainsi. Mais nous arrêterons la fessée car elle doit rester soft. Il est vrai que je profite un peu de ma condition.

Mais il est gentil car il me fait des caresses entre les claques, même des frôlements du bout des doigts sur les fesses un peu rosées et chaudes. Mmmmm c’est bien agréable. Normal après l’effort le réconfort ! Il me précise bien que cette fessée est très soft et que les prochaines seront plus sévères. Bon moi je les aime bien celles-ci, pas besoin d’être plus sévère car je suis très sage.

Et voilà je me redresse, remets mes vêtements en ordre et nous discutons, du moins je l’écoute. Car dire ce que je ressens, ben c’est encore bien trop difficile pour moi.