La vie dans le pensionnat ... 4ème épisode

Toutes les élèves rentrent en silence en se demandant ce qu’il va se passer dans cette pièce très spéciale. Elles s’assoient sur les chaises, les religieuses s’assoient au bout de chaque rang. On dirait qu’elles sont habituées à ce genre de spectacle et tout est très bien réglé. Les yeux des élèves sont très intrigués. Mais que font Aline et Chipinette au centre près de ces grandes croix. La Mère supérieure n’a pas l’air d’être très contente mais bon elle n’est jamais très souriante sauf pour annoncer une punition à quelqu’un ! Elle a ce petit sourire un rien sadique, pervers, jubilant de ce qui attend la pauvre malheureuse.

 

La Mère lève les mains et fait signe de se taire et avec ce sourire, elle explique qu’elles vont assister à la punition de deux élèves. Elles annoncent la sentence et un brouhaha monte dans le donjon.

• Encore un bruit et certaines viendront rejoindre les deux punies, suis-je claire ? commande Mère supérieure
• Oui ma Mère, répondent les élèves en cœur.
• Mesdemoiselles, dit la Mère en se tournant vers les deux filles, approchez vous des croix et Sœur Germaine et Sœur Madeleine vont vous attacher. Puis je commencerai par vous chauffer les fesses avec 20 claques que vous compterez haut et fort. Si vous vous trompez, je recommencerai à zéro. Ensuite je lèverai votre jupe et 20 claques de nouveau et pour finir je vous baisserai votre culotte et vous recevrez les 20 dernières claques. Puis vos camarades viendront admirer mon œuvre et toucher leur chaleur. Vous resterez exposées ainsi le temps que vos camarades sortent du donjon et resterez ensuite sans jupe et sans culotte tout l’après-midi pour que l’on puisse voir vos fesses retrouver leurs couleurs rosées naturelles.
   

Les deux demoiselles se décomposent au fur et à mesure qu’elles écoutent la Mère supérieure énoncer ce qui les attende ! Mais elles n’osent pas contester de peur d’augmenter leurs sentences.

 

Les deux religieuses attrapent chaque fille par un bras et les approchent des croix, les font monter sur la petite estrade. Aline résiste un peu mais reçoit une claque sèche par la Mère arrivée derrière elle. On leur attache les bras en premier, puis les pieds. Ensuite on passe une ceinture au niveau de la taille pour les plaquer contre la croix et qu’elle ne puisse pas bouger dans tous les sens.

 

Les papillons dans le ventre des deux punies se sont envolés, elles n’apprécient pas du tout leur position. Elles commencent à regretter leur geste. Elles trouvent drôles de taquiner mais sans se faire prendre. Mais là devoir montrer leurs fesses à toutes les religieuses et élèves, c’est très humiliant. Prendre une fessée, Chipinette connait, ça fait un peu mal mais bon on s’en remet, mais montrer ses fesses ainsi et que les filles les touchent, elle ne pourra plus jamais les regarder dans les yeux. Elle regarde Aline qui a déjà les yeux bien brillants, elle semble se demander ce qu’elle fait ici, elle n’a jamais reçu de fessée de sa vie et semble avoir peur. Chipinette lui fait un clin d’œil et un sourire pour la soutenir et lui dit avec ses lèvres : « tiens bon, on l’aura ». Aline lui rend son sourire timidement.

La Mère supérieure s’approche de Chipinette et lui dit qu’elle commencera par elle, elle sent qu’elle est le leader des deux filles. Elle leur annonce qu’elle les fessera chacune leur tour sur leur jupe, puis sur la culotte puis sur les fesses.

Chipinette rentre la tête dans les épaules en attendant la 1^ère claque qui va tomber, elle avait discrètement regardé les mains de la Mère supérieure, elles sont immenses, de vrais battoirs. Elle est sure qu’elle doit s’éclater à toucher les fesses des élèves ou des jeunes religieuses. Mais Chipinette élabore en pensée sa vengeance. Elle lui fera payer cette humiliation.

Mère supérieure lève la main, et celle-ci s’abat sur la fesse droite de Chipinette, un aieee sort de la bouche de la fessée. Une 2^ème puis une 3^ème, la mère supérieure rappelle à Chipinette que le décompte ne se fera que lorsqu’elle comptera, et oui Chipinette a oublié de compter et donc les 3 premières claques ne comptent pas, elle proteste et la mère frappe deux fois sur les cuisses en dessous de la jupe. Et celles-ci non plus ne comptent pas, lui dit-elle d’un ton sadique.

A chaque claque, Chipinette compte 5…10…15…20, la Mère a été méthodique, une fois une fesse, une fois l’autre, elle cherche la rougeur uniforme. La mère fait un signe à Sœur Madeleine de soulever la jupe pour que toutes puissent admirer le début de cette belle couleur que la Mère affectionne tant. Une fois la jupe soulevée, un ohhhh s’élève dans la salle, effectivement Chipinette ne le voit pas mais ses fesses, à travers la culotte blanche réglementaire, semble déjà bien rouges.

La Mère passe à coté chez la voisine Aline, elle passe les mains sur ses fesses et lui dit qu’elle espère qu’elle arrêtera de suivre Chipinette dans ses bêtises et qu’elle réfléchisse aux conséquences de ses actes. La main se lève et à la vitesse à laquelle retombe la main et le son qu’elle produit en percutant les fesses, on sent qu’elle est puissante. Aline n’oublie pas de compter. Au bout de 10, elle se trompe, elle a mal mais ressent des petites bulles au niveau de son sexe, cela se mélange dans sa tête et ne sait plus où elle en est. La Mère l’avait prévenue, elle reprend à 0, Aline râle et elle reçoit sur les cuisses, 2 claques sur la peau non protégée. On entend un sanglot dans sa voix quand elle reprend le comptage. Aline fait son maximum pour se concentrer … 5… 10… 15… 20. Et voilà les 20 premières, elle va pouvoir se reposer un peu. Avec ses mains attachées, elle ne peut pas se frotter les fesses, cela lui aurait fait du bien.