Cage et frustration... février 2015

Une fois par semaine, je dois confesser toutes mes fautes à Madame.

L'autre jour, parmi une liste de petites bêtises et indisciplinés, j'ai avoué que je n'avais pas pu résister au plaisir de me caresser. Prendre du plaisir sans demander l'autorisation est considéré par ma Gouvernante comme une faute grave punie en général d'une mise en cage de chasteté pour une durée qui peut aller jusqu'à une semaine.

Dès le matin j'ai dû mettre l'anneau qui enserre les testicules et le pénis. C'est sur cet anneau que se fixe la cage. Comment ne pas penser à ce qui m'attendait? L'anneau tire sur le sexe et l'oblige à rester décalotté. 

Le frottement de mon gland dans ma culotte de chenapan en épais coton côtelé me procure une excitation qui me fait mouiller. Madame m'a menacé de me faire mettre un protège-slip, mais elle n'a pas donné suite à cette humiliante brimade. Le soir, pour ma convocation j'ai dû comparaître en chemise de nuit. Madame m'a ordonne d'aller chercher un bocal rempli d'eau froide et de glaçons. 

Pour commencer j'ai eu une visite de propreté. Il a fallu que je montre à Madame mon gland décalotté, mais aussi mon anus qu'elle a inspecté avec un coton tige pour vérifier si ma toilette avait été méticuleuse. Elle a vérifié la pose de l'anneau.  Puis elle m'a demandé de me masturber. J'avais très honte, malgré que ma gouvernante  connaisse par cœur mon anatomie, c'est un grand moment de solitude que de se donner du plaisir comme ça devant Madame.

Au moment où j'ai commencé à me laisser aller, Madame m'a ordonné de stopper net. J'ai compris le pourquoi de mon bocal à glaçons car elle m'a forcé à tremper mon sexe dedans.

Pas facile comme exercice quand il est en érection. Il faut le  tordre vers le bas pour tremper la tête dans l'eau glacée. C'est une loi physique: tout membre actif  trempé dans l'eau froide rétrécit à vue d'œil. Glaglagla.. On se les gèle. La honte quand on sort de l'eau un zizi qui a perdu toute son arrogance. Une belle leçon de modestie. 

Regard moqueur de Madame sur le chenapan penaud la queue entre les jambes. Puis reprise des caresses. Zizi retrouve vite sa superbe. Il s'étire fièrement, se dresse comme un coq. Mais Madame après avoir soufflé le chaud souffle le froid. Et hop un petit bain dans l'eau glacée...

Frustration totale. Et zizi baisse la tête, humblement. Madame se moque de mon zizi de garçonnet (faut pas exagérer quand même). Qui est enfin autorisé à sortir la tête de l'eau. Quelques caresses et le voici à nouveau prêt à l'emploi. Au moment où le plaisir qui monte va me faire jouir: retour sur la banquise!!! Zizi froissé, frustré, dépité, miniaturisé. Fin du bain. Mais contrairement aux fois précédentes, plus de caresses. Je suis puni. Madame profite du rétrécissement pour me boucler la cage sur l'anneau. Zizi réchauffé veut s'étirer au grand air, mais il reste muselé. Zizi puni, déjà trop a l'étroit dans sa gangue de silicone. Gland retroussé qui gonfle et rempli sa prison étriquée.

Je passe la journée muselé. Obligé de faire pipi comme les filles. Une érection bridée qui me fait mouiller. La cage ça calme les chenapans les plus dévergondés. Ça rend humble et modeste, Ce n'est que le soir que Madame m'a enfin libéré. J'ai comparu tout nu avec les pinces aux tétons et le gros rosebud en place. A nouveau le bocal d'eau froide fut de la partie. Quand mon pénis a été libéré, il s'est étiré et dressé fièrement. Mais Madame lui a rabattu le caquet dans les glaçons. Nouveau plongeon. Puis masturbation. Zizi en bavait de plaisir. Je ne savais pas si Madame n'allait pas encore m'imposer une mise en cage. Alors je m'appliquais. Je ne rechignais pas quand en pleine montée du plaisir elle me tirait sur les pinces, me faisant gémir de plaisir et de douleur mélangés. C'était complètement déroutant. Madame décidait de tout : du retour dans l'eau glacée pour me calmer. Puis caresses. Le tout agrémenté de quelques claques bien sèches sur les cuisses. Je devais lui dire quand le plaisir devenait trop fort et que j'étais à deux doigts d'éjaculer. Hop un bain glacé! 

Ça a duré comme ça un long moment. Je ne savais pas si j'étais parti pour une nouvelle journée encagé. Si Madame n'allait pas décider juste avant de jouir: " bon stop! Retour en cage". Mais elle a eu la bonté de me laisser jouir. Tant de frustrations accumulées m'ont procuré un orgasme très fort. Merci Madame de m'avoir autorisé cet intense moment de plaisir. Votre autorité est chaque jour plus ferme. Vous avez tous les droits sur votre chenapan : punir et récompenser.