Ma Maîtresse ! Je n'en crois
pas mes yeux ! J'aurais voulu la serrer dans mes bras pour lui exprimer ma joie
de la retrouver. Mais son air altier, autoritaire, me fait retrouver, comme une
seconde nature, mes anciens réflexes. Ainsi sans la moindre hésitation je fais
comme elle l'exige et glisse à genoux à ses pieds.
- Maîtresse... Vous....
- Silence ! Te voici de
retour à ta vraie place soumis. Alors tu as oublié les bonnes manières.
- …
Elle se déchausse et me tend
son pied droit. Aussitôt incliné, je commence à déposer de petits baisers sur
le dessus. Je sais que Maîtresse adore cela. Quand j'étais sous sa coupe,
c'était même la première chose que je devais faire juste après lui avoir pressé
les oranges du petit déjeuner. J'entrais dans sa chambre à pas de loup et
soulevant le drap au bout du lit, je devais lui embrasser les orteils, lui
lécher les pieds et parfois plus quand elle était d'humeur coquine.
Malgré le temps Maîtresse aime
toujours l'hommage de ma bouche à ses adorables petons. Elle me tend l'autre et
s'abandonne ainsi un bon moment à mes caresses.
D'une petite secousse elle
m'indique que cela suffit. Délicatement je remets ses pieds dans les escarpins.
Je peux enfin me relever. Dans le salon, je lui propose le fauteuil et une
petite coupe de champagne pour fêter nos retrouvailles. De retour avec le
plateau, elle m'indique l'espace devant le fauteuil :
- A genoux. Nous avons à
parler tous les deux.
Pas question de boire ma
coupette de champagne. Je prends place à ses pieds en prenant bien soin de
rester bien droit sur mes genoux pliés et de croiser les bars dans le dos.
Posture que Maîtresse exige toujours en sa présence.
- Je constate avec plaisir que
tu as gardé les bonnes habitudes, dit-elle en me toisant des pieds à la tête.
Tu portes toujours des culottes courtes comme au début de ton éducation sous ma
tutelle.
- Oui Maîtresse, jambes nues
et avec des dessous de sale gosse.
Les traditions perdurent,
s'enthousiasme Maîtresse en trempant ses lèvres dans le pétillant nectar. J'ai
envie de te voir tout nu.
Comme j'hésitais, Maîtresse
s'empare d'un geste vif d'un de mes tétons qu'elle pince cruellement à travers
mon polo. Je veux me dérober, mais d'une gifle, plus humiliante que
douloureuse, elle me remet à ma place et en profite pour pincer l'autre téton. Elle
tire comme pour m'allonger les petites pointes et les fait rouler scrutant avec
amusement les grimaces douloureuses qui se dessinent sur mon visage.
la suite m 'enfin !!!! deja rien que ca ca meriterait une punition lol :)
RépondreSupprimerj 'ai hate de lire la suite :p
Hate de lie la suite
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