Bonjour à vous qui pénétrez sur mon blog Mi-ange/Mi-démon. Tout d’abord, pour les personnes âgées de moins de 18 ans, merci de cliquer sur la petite croix rouge en haut à droite et BYE.

Bon maintenant que nous sommes entre adultes, je vous laisse découvrir ce blog. J’ai la chance de jouer dans le monde de la fessée, avec deux hommes, un que j’appelle « mon chenapan » et un autre qui est mon Educateur. Si j’ai fait ce blog, c’est pour vous faire partager la complicité que je vis avec l’un comme avec l’autre.

Vous trouverez donc des récits de l’éducation de mon chenapan, de mon éducation par mon Educateur, de fessées que j’ai reçues ou données avec d’autres personnes. Il y a aussi des récits tirés de mon imagination comme un long récit sur la vie au pensionnat, Aline et Thierry et d’autres.

J’ai essayé de classer cela par sujet et que j’alimenterai régulièrement. J’espère que vous vous y retrouverez et aurez plaisir à y revenir. Merci pour votre visite et n’oubliez pas les commentaires, cela fait toujours plaisir.

mercredi 22 août 2018

Punition

Bonjour soumis,
Pour ta punition, tu feras une heure de coin lors d'une convocation avec les pinces, le rosebud et la bague. tu seras à genou les cuisses écartées, les mains sur les cuisses, la tête baissée. tu te connecteras quand je te le dirai, tu te mettras en position sans dire un mot, il en sera de même pour moi et au bout d'une heure, je couperai skype sans un mot. 
Au moindre mouvement, soufflements, etc... j'augmenterai le temps. tu sais de quoi je suis capable. 

Maîtresse Adorée,
Vous me demandez mes réflexions suite à la convocation d'hier soir. Les voici: C'était d'une intensité très forte. C'était la première fois que vous m'infligiez une punition aussi sévère. Le passage du rôle de chenapan à celui de soumis a été pour la première fois bien marquée.
 Une fois, dans la petite maison, vous m'avez mis au coin pendant une bonne heure. Dans le piquet, il y a l'isolement, la mise à l'écart, le bannissement, nez au mur, immobile. Puis la position agenouillée qui à la longue devient inconfortable, puis douloureuse. Hier ce n'était plus le sale gosse mis au coin pour avoir fait des bêtises. 
On est monté d'un cran avec la totale nudité exigée maintenant pour toute comparution devant vous. Il y avait surtout le rosebud (trop petit semble t-il pour rester en place dans des positions très "ouvertes"), la bague de soumis qui décalotte le gland et donne ainsi une sensation d'extrême nudité. Il y avait surtout les pinces, un supplice déjà douloureux pendant une demie heure et qui m'a fait souffrir une heure entière. La position exigée était à genoux, cuisses très ouvertes, assis sur les talons. C'est une posture de grande soumission qui expose le sexe puni de la bague, et l'anus maintenu écarquillé par l'ouverture des chevilles.
La position est vite devenue douloureuse à cause du "coup de pied" écrasé par le poids du corps sur un carrelage irrégulier. J'ai senti que je ne tiendrai pas une heure dans cette position. Vous m'avez alors dans un élan de compassion autorisé à la posture "du lotus" cuisses ouvertes, en grenouille, beaucoup moins douloureuse. Le vrai supplice fut alors la douleur exponentielle des pinces. J'étais condamné à cette immobilité forcée, tête baissée en signe de soumission, avec rien d'autre à penser qu'à cette souffrance dans ma chair et mon ego que je vous offrais pour obtenir ma rédemption. Les minutes s'égrainaient avec une affreuse lenteur. Je vous savais joyeuse devant votre écran de télé (comme le jour où vous m'aviez mis au piquet dans la petite maison pendant toute la durée d'un film, vous confortablement installée dans le canapé). 
Moi j'étais réduit à un objet d'une souffrance que je devais vous offrir. Plusieurs fois, malgré la douleur, mon sexe s'est dressé entre mes cuisses ouvertes. Peut être l'avez vous aperçu? Puis les aiguillons au bout de mes tétons devenaient les plus forts et mon sexe soumis ramollissait, laissant des coulées de mouille sur mes cuisses. 
Cette première séance-choc m'a été profitable, me permettant de méditer sur ma faute et la déception que je vous avais procurée par ma conduite de petit coq égoïste et fier. Elle a été comme une cérémonie initiatique me faisant passer du statut de chenapan à celui de soumis. Je crois que cela m'a été profitable. 
Vous avez raison, il est important pour nous deux que je reste le soumis. Qu'il ne puisse y avoir de confusion possible comme ce sms envoyé lundi et qui vous a agacée. Pendant un certain temps, comme vous l’avez décidé, il est préférable de s'en tenir au contrat et rien qu'au règlement que nous avons signé tous les deux. Plus de familiarités de ma part. Chaque comparution devant vous se fera en "tenue et position" de soumis. Vouvoiement obligatoire. Obéissance absolue. Confession écrite hebdomadaire. C'est en respectant le règlement à la lettre que je me mettrai à l'abri d'un supplice comme celui d'hier soir. Je me prosterne à vos pieds Maîtresse, pour vous remercier d'avoir bien voulu consacrer du temps pour votre soumis.

5 commentaires:

  1. J'ai payé très cher ma conduite inexcusable. C'est vrai que j'ai failli craquer à cause des pinces à seins. J'ai tenu le coup et j'en suis fier pour offrir ma douleur et ma honte à ma Maîtresse. Elle m'a pardonné. Je sais maintenant qu'elle ne laissera rien passer.

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. tu peux en être sur que je ne te laisserai rien passer, absolument rien!

      Supprimer
  2. Une maîtresse exigeante, certes... mais qui sait faire preuve de compassion!

    RépondreSupprimer