Bonjour soumis,
Pour ta punition, tu feras une heure de coin lors d'une convocation avec les pinces, le rosebud et la bague. tu seras à genou les cuisses écartées, les mains sur les cuisses, la tête baissée. tu te connecteras quand je te le dirai, tu te mettras en position sans dire un mot, il en sera de même pour moi et au bout d'une heure, je couperai skype sans un mot.
Au moindre mouvement, soufflements, etc... j'augmenterai le temps. tu sais de quoi je suis capable.
Maîtresse Adorée,
Vous me demandez mes
réflexions suite à la convocation d'hier soir. Les voici: C'était d'une
intensité très forte. C'était la première fois que vous m'infligiez une punition
aussi sévère. Le passage du rôle de chenapan à celui de soumis a été pour la
première fois bien marquée.
Une fois, dans la petite maison, vous m'avez mis au
coin pendant une bonne heure. Dans le piquet, il y a l'isolement, la mise à
l'écart, le bannissement, nez au mur, immobile. Puis la position agenouillée
qui à la longue devient inconfortable, puis douloureuse. Hier ce n'était plus
le sale gosse mis au coin pour avoir fait des bêtises.
On est monté d'un cran
avec la totale nudité exigée maintenant pour toute comparution devant vous. Il
y avait surtout le rosebud (trop petit semble t-il pour rester en place dans
des positions très "ouvertes"), la bague de soumis qui décalotte le
gland et donne ainsi une sensation d'extrême nudité. Il y avait surtout les
pinces, un supplice déjà douloureux pendant une demie heure et qui m'a fait
souffrir une heure entière. La position exigée était à genoux, cuisses très
ouvertes, assis sur les talons. C'est une posture de grande soumission qui
expose le sexe puni de la bague, et l'anus maintenu écarquillé par l'ouverture
des chevilles.
La position est vite devenue douloureuse à cause du "coup
de pied" écrasé par le poids du corps sur un carrelage irrégulier. J'ai
senti que je ne tiendrai pas une heure dans cette position. Vous m'avez alors
dans un élan de compassion autorisé à la posture "du lotus" cuisses
ouvertes, en grenouille, beaucoup moins douloureuse. Le vrai supplice fut alors
la douleur exponentielle des pinces. J'étais condamné à cette immobilité
forcée, tête baissée en signe de soumission, avec rien d'autre à penser qu'à cette
souffrance dans ma chair et mon ego que je vous offrais pour obtenir ma
rédemption. Les minutes s'égrainaient avec une affreuse lenteur. Je vous savais
joyeuse devant votre écran de télé (comme le jour où vous m'aviez mis au piquet
dans la petite maison pendant toute la durée d'un film, vous confortablement
installée dans le canapé).
Moi j'étais réduit à un objet d'une souffrance que
je devais vous offrir. Plusieurs fois, malgré la douleur, mon sexe s'est dressé
entre mes cuisses ouvertes. Peut être l'avez vous aperçu? Puis les aiguillons
au bout de mes tétons devenaient les plus forts et mon sexe soumis
ramollissait, laissant des coulées de mouille sur mes cuisses.
Cette première
séance-choc m'a été profitable, me permettant de méditer sur ma faute et la déception
que je vous avais procurée par ma conduite de petit coq égoïste et fier. Elle a
été comme une cérémonie initiatique me faisant passer du statut de chenapan à
celui de soumis. Je crois que cela m'a été profitable.
Vous avez raison, il est
important pour nous deux que je reste le soumis. Qu'il ne puisse y avoir de
confusion possible comme ce sms envoyé lundi et qui vous a agacée. Pendant un
certain temps, comme vous l’avez décidé, il est préférable de s'en tenir au
contrat et rien qu'au règlement que nous avons signé tous les deux. Plus de
familiarités de ma part. Chaque comparution devant vous se fera en "tenue
et position" de soumis. Vouvoiement obligatoire. Obéissance absolue.
Confession écrite hebdomadaire. C'est en respectant le règlement à la lettre
que je me mettrai à l'abri d'un supplice comme celui d'hier soir. Je me
prosterne à vos pieds Maîtresse, pour vous remercier d'avoir bien voulu
consacrer du temps pour votre soumis.
J'ai payé très cher ma conduite inexcusable. C'est vrai que j'ai failli craquer à cause des pinces à seins. J'ai tenu le coup et j'en suis fier pour offrir ma douleur et ma honte à ma Maîtresse. Elle m'a pardonné. Je sais maintenant qu'elle ne laissera rien passer.
RépondreSupprimertu peux en être sur que je ne te laisserai rien passer, absolument rien!
Supprimerj'ai bien compris Madame
RépondreSupprimerUne maîtresse exigeante, certes... mais qui sait faire preuve de compassion!
RépondreSupprimerabsolument Max et merci de ta visite!
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