Bonjour à vous qui pénétrez sur mon blog Mi-ange/Mi-démon. Tout d’abord, pour les personnes âgées de moins de 18 ans, merci de cliquer sur la petite croix rouge en haut à droite et BYE.

Bon maintenant que nous sommes entre adultes, je vous laisse découvrir ce blog. J’ai la chance de jouer dans le monde de la fessée, avec deux hommes, un que j’appelle « mon chenapan » et un autre qui est mon Educateur. Si j’ai fait ce blog, c’est pour vous faire partager la complicité que je vis avec l’un comme avec l’autre.

Vous trouverez donc des récits de l’éducation de mon chenapan, de mon éducation par mon Educateur, de fessées que j’ai reçues ou données avec d’autres personnes. Il y a aussi des récits tirés de mon imagination comme un long récit sur la vie au pensionnat, Aline et Thierry et d’autres.

J’ai essayé de classer cela par sujet et que j’alimenterai régulièrement. J’espère que vous vous y retrouverez et aurez plaisir à y revenir. Merci pour votre visite et n’oubliez pas les commentaires, cela fait toujours plaisir.

mercredi 2 mai 2018

Un chenapan qui s'est bien fait avoir ... avril 2018

Le visage que j’arbore n’est pas vraiment possible à décrire, je n’ai pas de mots qui sortent, je regarde mes pieds sous le regard et le sourire moqueur de ma gouvernante et de Madame Mary. Et elles ont bien raison de rire car je me suis fait rouler dans la farine et de bien belle manière. Et oui le chenapan que je suis, a été attrapé et bien ficelé dans la toile tissée par les deux diablesses. Je vais recevoir une correction mémorable qui n’était pas prévue, j’en ai reçu une la veille sur ma demande pour rien, nous avons acheté et offert avec ma gouvernante en cadeau pour Madame  Mary, un instrument qui va servir pour mes propres fesses. Mais pour comprendre il faut remonter 24 heures en arrière.
Acte 1 : une punition pour rien

Nous sommes en route pour un hôtel proche de Paris avec ma gouvernante. Le lendemain est chargé avec courses dans paris et surtout nous sommes invités le soir à manger chez Madame Mary. Ce rendez-vous pourrait être très dangereux pour mes fesses vu le nombre de fois où j’ai osé la provoquer mais je ne risque rien. Sa fille ne travaillant pas, il n’y aura pas de jeu. Oufffff.

Aussitôt arrivé à l’hôtel nous filons manger et dès le repas fini Mademoiselle Lylye semble pressée de remonter, on se demande bien pourquoi. Dès le retour en chambre, ma gouvernante m’intime d’aller de suite au coin. J’y suis depuis à peine 5 minutes, que Madame  Mary  appelle ma gouvernante. Au vu de mon comportement envers elle et vu que demain elle ne pourra pas me punir, je demande à lui parler et lui propose, si elle est d’accord, une punition punitive donnée par ma gouvernante, proposition qu’elle accepte de suite. Je me sens soulagé car mes actes vont être punis et hop on en parlera plus. Mademoiselle Lylye se met de suite au travail avec une fessée sur le slip, slip vite enlevé pour continuer à chauffer les fesses.  Cet intermède passé, nous passons dans un premier temps à la fessée préventive à la brosse à cheveux. Mademoiselle est maitre dans cet instrument (ce n’est pas le seul hein) et je dois compter les coups sniff. Puis après Mademoiselle, pour la punition de Madame Mary, me fait choisir un instrument et 3 fois de suite je tombe sur le paddle en bois qui fait très mal. Nous terminons par le martinet et c’est avec les fesses brulantes que je me couche.


Acte 2 : le cadeau

Il est 15 h et d’un coup avant de partir passer la soirée chez Madame Mary, ma gouvernante me propose de lui acheter un petit cadeau chez domina. Elle ajoute que ce sera un beau jouet qu’elle pourra utiliser sur ses chenapans. Je trouve l’idée excellente, surtout quand c’est pour les fesses des autres. Aussitôt arrivé nous nous rendons dans le rayons fessée, rayon où sont alignés tout ce qui fait le bonheur des gouvernantes : paddle, martinet et badine sont fièrement exhibés et n’attendent que de rougir les fesses des vilains garçons ou filles lol. Le choix de ma gouvernante se porte sur un paddle en cuir épais, instrument qui me semble redoutable. Effectivement après l’avoir essayé sur la paume de ma main aie aie aie. Je plains de tout cœur les chenapans de Madame Mary, ça va claquer dur sur leurs pauvres fesses. Je ne peux m’empêcher de sourire en coin et les imaginant danser sous les coups.  Nous payons et partons chez Madame Mary.

Acte 3 : le piège et la surprise

Nous arrivons chez Madame Mary qui nous attend à la porte en compagnie de sa fille. Je suis soulagé de voir que ma sauveuse est là héhé. Les bonjours et la discussion commence et Madame Mary annonce que nous allons prendre l’apéro dehors mais la table est sale. En bon chenapan je me dévoue et une fois la tache effectuée je rejoins ses dames au salon. En entrant je vois une assiette sur la table et je demande pour qui c’est et là, la fille de Madame Mary me dit avec un grand sourire que c’est pour elle car après elle va travailler. Houla, un truc pas du tout prévu, je regarde ma gouvernante et Madame Mary et comprends de suite que je viens de me faire avoir. Et oui je me pensais tranquille et ben le programme va être tout autre : ça va barder. Et c’est peu dire car aussitôt la fille de Madame Mary partie, le jeu démarre. Madame Mary devient le temps d’un soir la gouvernante en chef et Mademoiselle Lylye m’amène pour une sérieuse remise au point. Mais avant tout, je donne le cadeau à Madame Mary qui de suite adore et le fait claquer dans sa main en me regardant avec un sourire pleins de promesses «houla ca claque bien mon grand, tu vas te régaler tout à l’heure ….. » 

Mademoiselle Lylye commence par faire le bilan de mon attitude, bilan très très très très surestimé et pas du tout véridique. Je tente de me défendre mais Madame Mary me tire fort l’oreille en m’intiment de me taire. Face à cette sévérité et au regard noir de ma gouvernante j’opte pour le silence. Les deux gouvernantes me demandent de quitter mon pantalon et mon slip et d’enfiler un tablier. En effet ce soir c’est les fesses à l’air que je vais faire le service et gare en cas de bêtises. Je m’exécute et file au coin en attendant la suite des évènements.

J’entends Madame Mary mettre la table et annoncer bien fort que je vais recevoir une mise en bouche avant le repas. J’attends de longues minutes, de très longues minutes, les deux gouvernantes discutent sur le canapé, Madame Maryappelle au tel son soumis et le temps passe. C’est presque pire que d’être puni, je suis dans l’ignorance, je perçois juste des phrases, le temps me semble interminable. Enfin Madame raccroche et je l’entends monter à l’étage et revenir. Ma gouvernante elle sort dehors et revient quelques minutes après. Bruit de frottement, de bois qui s’entrechoque, de claquement de cuir puis on m’annonce que finalement on va manger et que je serais puni après.

Je jette un œil sur la table du salon et vois qu’un large panel d’instruments s’y trouvent, large panel est un euphémisme puisqu’il y a tout : 3 martinets, paddle en cuir et en bois, brosse à cheveux, brosse de bain, cravache, stappe aie aie aie aie.

Le repas se déroule sans accros car je fais très attention à ne pas faire de bêtises et dès la fin du repas les fessestivités commencent. Madame Mary s’installe sur le canapé et m’invite à venir me positionner en travers ses cuisses. Je me positionne et les premières claques tombent sur mes fesses nues. D’entrée de jeu ça ne rigole pas, Madame Mary claque très fort, la punition promet d’être magistrale. La fessée se poursuit 5 minutes et hop direction le coin pour méditer.

Cela fait du bien cette pause mais malheureusement de courte durée puisque c’est maintenant ma gouvernante qui est installée et qui reprends les choses en mains, enfin plutôt en claques, et pim et pam ça tombe dru et cela me brule de plus en plus et ce n’est que le début. En effet, maintenant que les fesses sont à bonnes températures on va passer aux choses sérieuses.

Tout d’abord, ma gouvernante me demande d’avouer à Madame Mary ma bêtise du matin. Sous son regard sévère je suis obligé de lui avouer que j’ai fait une comédie pour ne pas mettre mon slip blanc en coton. Madame Mary saisie la brosse de bain et me dit que l’on va arranger cela. La punition commence par des coups de brosses très fort avec en prime les recommandations de Madame Mary : le slip blanc en coton est obligatoire et elle va se charger de me le faire comprendre.

Au bout de 15 coups j’ai très bien compris mais ma gouvernante veut en être bien sûr : elle se saisie à son tour de la brosse pour bien marquer son pouvoir et son territoire, c’est-à-dire mes fesses.

Là je commence sérieusement à regretter mon comportement et Madame Mary annonce qu’il est temps de gouter au cadeau. Moi qui me réjouissais de ce qui allait se passer pour les fesses des chenapans de Madame, et bien ce n’est pas la même musique. J’ai beau tenter de bouger les fesses, l’instrument tombe toujours au bon endroit et ça brule de plus en plus. Le pire est que je dois compter les coups pfffff.


Puis viens le martinet, 20 coups que je compte avec plus de difficultés. Au bout des 20 coups j’entends un chuchotement et vlan vlan un coup de martinet sur chaque fesse. Madame Mary et Mademoiselle Lylye ont pris chacun un martinet et montre à un vilain garnement qui commande et qui va avoir les fesses cramoisies.


Le paddle en bois, paddle qui fait très mal prends le relais et Madame Mary termine  par son prototype de martinet. Un dernier coup et c’est la fin des fessestivites.


Je tenais à remercier Mademoiselle Lylye ma gouvernante et Madame Mary pour cette surprise marquante. J’ai été sévèrement puni et recadré mais au vu de mes provocation c’était amplement mérité. Mille mercis pour ce super moment qui m’a fait comprendre bien des choses.

31 commentaires:

  1. Quel super.recit Vg ! Bravo j ai ete pour ma part super.heureuse de te.faire vivre ce moment et de le partager avec ma.biche 😘

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    1. oui très bon récit et de belles photos de fesses bien rouges! un excellent moment passé ensemble et surtout réussi à piéger ce chenapan, surtout quand je pense à la fessée qu'il a réclamée la veille, ne sachant pas qu'il en aurait une le lendemain soir!! mouahahahahaha nous sommes vraiment diaboliques!!

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    2. Oh purée. Le pauvre. mais vous êtes des vraies méchantes vous deux !

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    3. Je confirme Helea je confirme mais Mary est bien plus pire lolll

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    4. oui elles sont très méchantes avec un ange comme moi

      vg

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    5. Un ange.mais oui.on.y croit ahahhaha

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    6. oh oui Héléa, nous sommes deux zorribs et le pire est qu'on adore!! et merci Lylye pour ton soutien!!! elle est belle la solidarité !!

      VG à d'autres pour l'ange!! on ne te croit pas!!

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    7. La solidarite est une evidence mabiche;)

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  2. "les chenapans de Madame Mary, ça va claquer dur sur leurs pauvres fesses. Je ne peux m’empêcher de sourire en coin et les imaginant danser sous les coups"

    MAIS MAIS MAIS !!!! CA VA PAS NON ??? on est censés être solidaires ! traître !

    Bonne éducation

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    1. tu as vu comme il est gentil avec les chenapans de Madame Mary, dont tu fais partie!!! et il est génial cet instrument!! tu vas le connaître!!! mmmmm

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  3. J'ai déjà connu moi aussi une séance disciplinaire sous la coupe de deux Gouvernantes. Je compatis avec ce chenpan puni par Madame Mary et Mademoiselle Lyllye. En général elle font preuve d'une surrenchère dans la sévérité, surtout avec Mary qui est la meneuse. Les fesses de ce pauvre garçon témoignent de cette association impitoyable. Il a connu un grand moment de honte et de souffrance, surtout avec ce terrible martinet dont la simple vue me fait rougir les fesses. Merci pour c s belles photos et ce images qui resteront gravées dans la memoire du puni.

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    1. Exactement chenapan cela te montrera que nous avons venge les chenapans dont toi meme dont Vg se moquait .

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  4. Bravo les filles. On voit bien que vous avez de la poigne. Ce garçon le méritait. En plus il ne fait preuve d'aucune compassion pour les autres chenapans que vous éduquez.! De jolies couleurs! J'adore!

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    1. Oui ! Et pour ce manque de compassion, je trouve que la punition n'a pas été suffisante ! na !

      (bonne education)

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    2. vu la chaleur de son matricule, je pense qu 'il en a eu ... ;) ma biche est très sévère et diabolique.

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  5. Non mais sérieux, un peu de clémence quand même. je trouve que nous les femmes on peut grapiller des arrangements, on papillonne des yeux, on joue de notre regard, et zou, sont plus gentils les messieurs lol.

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    1. je confirme ! nous autres chenapans, on n'a rien pour faire fléchir la fureur vengeresse de Mme Mary dans ses œuvres... c'est vraiment trop injuste, je dis.

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  6. Réponses
    1. pffff... moi, j'essaie de flatter Mme Mary, mais ça marche même pas... limite je risque une punition en plus ! Papillonner des yeux, même pas la peine d'essayer... Une culotte rose à dentelles... je le sens pas trop. grrrrr... j'ai pas encore trouvé la faille, mais j'y arriverais ! Y a pas de raison que les chipies aient un avantage sur nous, c'est trop injuste ! La recherche continue... (toute suggestion est bienvenue)

      (bonne education)

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    2. Ha moi j'y arrive avec mon Monsieur (papillonne des yeux)

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    3. hé hé, je suis incorruptible!!! et la culotte rose à dentelles, tu devrais essayer la prochaine fois que l'on se voit, je suis sure que j'apprécierai beaucoup!!!

      Héléa, et oui les femmes ont aucun souci pour charmer les hommes, ce qui n'est pas vrai pour le contraire!!!

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  7. Me suis fait eu ! je devrais pas donner des idées à Mme Mary, à chaque fois elle les applique !!!! Et pourquoi pas une photo pour le blog aussi ?

    Bon, qu'est ce qui pourrait l'attendrir... la recherche continue...

    (bonne éducation)

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    1. tu me copieras 100 fois : Madame est incorruptible et insensible aux charmes des chenapans.

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    2. Bien Madame (pleurs pleurs).. ça sera fait...

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  8. Bravo Chipinette, bonne fessée.

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    1. merci Philem, une fessée bien méritée!!

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    2. bien meritée mouais c'est vite dit , moi je l'ai trouve quand meme un peu trop severe

      vg

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    3. C'est votre avis. Quand j'étais fessé au martinet durant mes années Collège, la question ne se posait pas, et on ne me demandait pas mon avis.

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    4. Vous étiez fessé à l'école ? le reve de ma vie... la chance !
      (bon d'accord, c'est du fantasme rétroactif d'adulte, je le concède)

      (bonne éducation)

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    5. Non je n'ai pas été fessé au sein même de mon Collège, entre 1978 et 1981, mais par mes parents à la maison. Je me suis dissipé dès mon entré en Sixième, et quand mes parents ont appris en Juin 1979 que je devais redoubler cette classe à cause de mon manque de travail, et surtout de mon indiscipline, ils ont décidé d'un commun accord de reprendre mon éducation en main, c'est à dire: encadrement plus strict à la maison, et corrections par la fessé.
      Mes parents ont décidé de sanctionner sans exception toutes les fautes que je commettais à la maison et/ou en classe, ils ont acquis un martinet à lanières fines pour me punir, et c'est ainsi qu'entre l'âge de 11 et 14 ans, j'ai été plusieurs fois obligé de présenter à ce martinet, mes jeunes fesses entièrement nues, afin d'être châtié. J'étais fessé dans ma chambre à coucher,une fois l'heure du dîner passé. Je devais me déculotter moi-même pour mettre mes fesses nues en position courbé au bord de mon lit, je recevais environ 20 coups de martinet, voire plus si je me plaignais trop de la sévérité et de la douleur de mon châtiment.
      Certes, la fessé au martinet est très douloureuse et brûle bien les fesses, mais cette punition recadre bien les personnes, sur le plan de la discipline.

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