Bonjour à vous qui pénétrez sur mon blog Mi-ange/Mi-démon. Tout d’abord, pour les personnes âgées de moins de 18 ans, merci de cliquer sur la petite croix rouge en haut à droite et BYE.

Bon maintenant que nous sommes entre adultes, je vous laisse découvrir ce blog. J’ai la chance de jouer dans le monde de la fessée, avec deux hommes, un que j’appelle « mon chenapan » et un autre qui est mon Educateur. Si j’ai fait ce blog, c’est pour vous faire partager la complicité que je vis avec l’un comme avec l’autre.

Vous trouverez donc des récits de l’éducation de mon chenapan, de mon éducation par mon Educateur, de fessées que j’ai reçues ou données avec d’autres personnes. Il y a aussi des récits tirés de mon imagination comme un long récit sur la vie au pensionnat, Aline et Thierry et d’autres.

J’ai essayé de classer cela par sujet et que j’alimenterai régulièrement. J’espère que vous vous y retrouverez et aurez plaisir à y revenir. Merci pour votre visite et n’oubliez pas les commentaires, cela fait toujours plaisir.

samedi 2 décembre 2017

Un pas vers la soumission ... mardi ... novembre 2017


Pour avoir mal répondu à Madame, notamment lors d'une inspection de la cuisine après avoir fait la vaisselle et rangé, j'ai été puni du martinet sur les fesses nues. Pour avoir eu une conduite déplacée lors des courses au supermarché (elle déteste que j'aille trop vite dans les rayons), elle a décidé que je serai corrigé avec cet affreux martinet qui fait si mal et qu'elle appelle le « prototype » cadeau d'un chenapan de sa connaissance (qui ne perd rien pour attendre).

Ce prototype est atrocement douloureux avec ses lanières en plastique. Mes fesses ayant été souvent sollicitées ces derniers jours, Madame a tout de même eu la main légère avec cet instrument de torture. Avant le diner j'ai été convoqué avec mon cahier de punitions. A genoux sur le canapé, déculotté, j'ai reçu l'ordre de tendre les fesses, d'offrir avec humilité mon derrière à la morsure des lanières et de compter les coups à haute voix comme Madame l'exige toujours. C'était avec un martinet classique, par séries de dix.
Entre chaque série, Madame me pétrissait les fesses à pleines mains pour me faire honte. Elle les écartait, les caressait avant de reprendre une nouvelle série de dix coups mordants. Puis retour des caresses et des humiliantes (mais très agréables) palpations. Elle exigea des cuisses très écartées pour pouvoir passer sa main et me saisir le sexe par dessous et tirer vers elle m'obligeant à une cambrure exagérée des reins. Elle recommença plusieurs fois, alternant martinet et palpations impudiques. Puis le prototype entra en action. Madame avait promis quatre coups pour ma conduite au supermarché. Elle a, je le reconnais ménagée ma peine, et je l'en suis reconnaissant. Il faut dire que je crains beaucoup le prototype et que je suis prêt à toutes les concessions pour lui échapper. C'est pourquoi, quand elle a exigé avant de quitter la pièce que je garde ma posture la plus humiliante de toutes : penché, fesses ouvertes et cuisses écartées, je n'ai pas bronché. Elle est revenue très vite. Elle avait enfilé un gant de latex. J'ai compris quand elle m'a huilé l'anus de la pointe de son index, que j'allais avoir droit à cette affreuse mortification qu’elle adore : le toucher anal. Bien lubrifié, mon anus dilaté par soumission a subi la pénétration de son doigt qu'elle ressortait avant de l'enfourner à nouveau, tout en se moquant de moi et disant que ce "petit trou" lui aussi lui appartenait, et qu'elle avait tous les droits, absolument "tous les droits". Je devais confirmer à voix haute, tout en sentant son doigt coulisser en moi, sortir, entrer, et faire de petits mouvement circulaires comme pour l'élargir davantage que "mon anus lui appartenait et qu'elle pouvait jouer avec selon ses désirs...." La situation ayant provoqué une érection bien normale, Madame a pris une décision implacable :"en voilà une réaction indigne d'un soumis. Cela mérite une bonne mise en cage pour t'apprendre à te contrôler. Et elle a alors employé un mot terriblement humiliant :

-       tu vas chercher du sopalin et t'installer sur ce fauteuil face à moi, cuisses écartées et je te donne cinq minutes,  pas une de plus pour te VIDER, avant ta mise en cage. Passé ce délai, si tu ne t'es pas VIDE, tu mettras ta cage et garderas toutes tes tensions jusqu'à ce que je décide ta sortie de cage. 

C'était affreusement humiliant surtout que ma maitresse feignait de ne pas s'intéresser à ce que je faisais. A un moment elle a regardé sa montre et ajouté avec nonchalance "alors ce n'est pas encore fini? Tu n'as plus que deux minutes"

La pression était intense et m'aidant de ma main gauche pour me titiller les tétons, j'ai enfin joui dans ce morceau de sopalin. Un mouchoir en papier aurait été plus agréable, mais ma Maitresse voulait de toute évidence mettre un comble à mon humiliation. Une fois "vidé" mon sexe s'est ramolli et j'ai pu mettre sous les yeux de Madame ma cage de chasteté et lui remettre à genoux les clefs qu'elle porte encore ce matin autour de son cou.

2 commentaires:

  1. une nouvelle fois bien beau recit et de jolies photo , c'est quand meme la super honte pour toi la chenapan

    vg

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    1. merci VG, oh que oui il a eu très honte!! mais il le méritait!!

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