Mon chenapan a par moment, le sentiment qu’il a le droit de se
caresser quand il en a envie, quand il l’a décidé ! Mais car évidemment il
y a un mais, il n’en a pas le droit, c’est écrit dans nos règles, ces orgasmes
et ses jouissances, il me les doit et ne peut se permettre ce genre de
privautés sans mon autorisation ! Je suis maitresse de son plaisir.
Mais de temps en temps, il m’avoue lors de ses confessions, s’être
caressé. Il connait le prix à payer, la punition qu’il devra subir ! Il
devra mettre sa cage de chasteté pendant un certain nombre de jours.
Et là j’ai décidé que ce sera 2 jours mais lors de notre séjour ensemble. Je pense que c’est bien plus marquant car je peux accéder à son sexe quand je le veux. Je peux le caresser à tout moment sans évidemment qu’il puisse s’y soustraire sinon c’est une punition immédiatement, cela va des claques à l’intérieur des cuisses à la gymnastique annale, et là il déteste. Mais c’est une punition, ce n’est pas fait pour être aimé.
Et là j’ai décidé que ce sera 2 jours mais lors de notre séjour ensemble. Je pense que c’est bien plus marquant car je peux accéder à son sexe quand je le veux. Je peux le caresser à tout moment sans évidemment qu’il puisse s’y soustraire sinon c’est une punition immédiatement, cela va des claques à l’intérieur des cuisses à la gymnastique annale, et là il déteste. Mais c’est une punition, ce n’est pas fait pour être aimé.
Donc pendant notre séjour, il a eu le droit à 2 jours dont un
quand il était en jupe, et là ce fut l’extase pour moi. Je comprends bien mieux
pourquoi les fesseurs adorent les jupes pour les chipies, ils ont ainsi accès à
leurs fesses et sexe comme ils en ont envie.
D’après mon chenapan, car je suis bien obligée de lui faire
confiance de ce coté là, il parait que la cage est un châtiment très intense,
il serait excité en permanence par cette frustration imposée par la cage. Cette
cage rend le pénis trop étroit dans sa prison en silicone. Cela provoque des
coulées de son pénis qui mouillent sa culotte, il est donc obligé de mettre un
protège-slip si je suis de bonne humeur ou une serviette hygiénique si je suis
de moins bonne humeur. J’adore quand il râle, il se retient bien sur car il sait
que je ne l’accepte pas et qu’il reçoit immédiatement sur fesses nues, une
bonne dizaine de claques bien fortes sur les fesses. Vous allez vous
dire : qu’une dizaine, oui bien sur, mais cela répété une bonne dizaine de
fois dans une journée et voir plus, je peux vous garantir que mon chenapan
tourne 7 fois sa langue dans sa bouche avant de dire quoique ce soit.
Un soir lors de notre séjour, cela fait 2 jours qu’il est encagé,
je convoque mon chenapan, et j’ai tout préparé ma mise en scène, pour que lorsqu’il
arrive dans le salon, il voit tout et se doute de ce qu’il va lui arriver. Cela
lui met une envolée de papillons, et lui provoque une érection ! Mais
celle-ci est brimée ! Il est convoqué en chemise de nuit, et j’ai mis sur
la table basse un bocal rempli d’eau et de glaçons. Je vois à son regard qu’il
a compris ce qu’il allait lui arriver. C'est un supplice que je lui inflige
assez souvent quand il est puni de la cage de chasteté.
Je le fais venir à moi et
le fais retrousser sa chemise de nuit. Je prends la petite clef et ouvre le
cadenas. La pression se relâche sur son sexe qui aussitôt se redresse et
s'étire. Mon regard sur son sexe gêne mon chenapan qui malgré lui met les mains
mais une claque comme rappel à l’ordre et il met de suite ses mains dans le
dos. Son sexe retrouve sa liberté et en profite pour s'installer dans une belle érection. Je lui fais passer sa
chemise par dessus la tête. Et le voici tout nu. Je prends mon bocal et le
place au niveau de mon bas ventre. Je m'empare de son sexe que je contrains à
s'incliner vers le bas de sorte que le gland trempe dans l'eau glacée. Au début
il reste en érection, mais assez vite l'effet du froid se fait sentir et il
débande. Son sexe se ramollissant, il est plus facile de le tremper entièrement
dans le bocal. Je n'ai plus besoin de le tordre vers le bas pour qu'il ne sorte
pas du bain. L'eau froide calme les ardeurs et son pénis ramollit et perd toute
arrogance. Au bout de quelques minutes, le voici avec un zizi de garçonnet.
C'est une expérience qui force à la modestie! Je ne me prive pas de me moquer
de son " petit robinet" de chenapan. Le bocal sitôt reposé sur la
table, je m'essuie avec un mouchoir en papier et je vois aussitôt une regonfler
son sexe qui retrouve sa vigueur en se réchauffant. Ma réaction ne se fait pas
attendre: retour au bain! L'eau froide fait son effet. Après plusieurs passages
dans son "bocal à zizi" et dans ma grande clémence, je l'autorise
finalement à jouir.
Après deux jours d'abstinence punitive avec la cage, c'est une vraie
récompense. Je sais qu’il va enfin pouvoir soulager cette tension du plaisir
bridé depuis deux jours. Je le fais s’installer dans un fauteuil, en face du mien,
les jambes passées sur les accoudoirs. C'est moi qui dirige les opérations. Je
veux qu’il se caresse devant moi et sous mon contrôle, avec l’interdiction de
jouir sans mon autorisation. Je sais que c'est terriblement humiliant de se
masturber comme ça, tout nu devant moi, cuisses très ouvertes. Je le regarde,
commente, ordonne... Avec sa main gauche, il doit exciter le bout de ses
tétons, les pincer, les allonger à en avoir mal. Quand je sens que l'orgasme va
arriver, je le fais arrêter, le laissant gémissant de frustration, le gland à
vif, dilaté.
Je me lève à ce moment là, et je m’approche de lui, je passe
derrière lui et je prends la corde que j’avais cachée sous le fauteuil.
J’attrape ses mains et lui attache aux pieds arrière du fauteuil. Une autre
corde me sert à lui attacher les cuisses bien ouvertes et les jambes serrées
contre la cuisse. Il ne peut plus déplier les jambes. Je lui chuchote à
l’oreille "tu vas jouir dans cette position là ou rien du tout, donc
attention à toi". Je lui pince les tétons, tire un peu dessus, il grimace,
souffle. Je passe devant lui, le caresse sur le ventre, entre le pubis et la
cuisse, puis descend vers l’anus où je mets un doigt puis deux, le décalotte avec mon autre main.
Je le caresse en le décalottant et en recalottant, et cela plusieurs fois de
suite, il respire bruyamment. Je dirige tout, veillant à ce qu’il n'éjacule
pas. Je m'applique à faire obéir scrupuleusement ce pénis comme je le désire,
et mon chenapan souffle, grimace mais pas un son ne s’échappe de sa bouche, de
crainte que je ne lui impose un retour dans l'eau glacée, suivi peut être d'une
mise en cage! Mes deux mains sont partout sur son corps, je le fais exprès pour
le déstabiliser. Je sais qu’il a très envie de jouir mais je sais aussi qu’il
fera tout pour s’en empêcher et j’aime cette crainte qu’il peut avoir. Puis j’arrête
tout, je ne bouge plus, il ouvre les yeux et j’attends. Mon regard est
explicite, il doit me demander l’autorisation de jouir, je sais que c’est dur
de demander ce genre d’autorisation. Il me le demande enfin et je l'autorise
à jouir sous mes yeux et par mes mains dans un kleenex. Son orgasme est
intense puissant, interminable, libérateur. Son plaisir apaisé, je le détache
et le prend dans mes bras. La tête au creux de mon épaule, il reste un long
moment, silencieux. Il m'embrasse et me remercie de lui avoir fait vivre ce
moment intense.
Je ne connaissais pas cette forme de balnéothérapie... Tu devrais éditer une brochure!
RépondreSupprimerEh bé....
RépondreSupprimerC'est donc ça la thalassothérapie ?
RépondreSupprimerSevérités et tendresse...plaisir et douleurs sont les ingrédients d'une complicité aussi forte que celle entre Madame et moi. Elle souffle le froid et le chaud et mêle frustration et plaisir pour pimenter nos jeux et rendre ainsi plus intense la jouissance partagée.
RépondreSupprimervoui, une belle complicité des plus admirables. bravo à vous deux
SupprimerMerci mon chenapan et Insolent!!! j'aime beaucoup ta définition de notre jeu mon chenapan!!!
SupprimerJe ne vois pas où se trouve l'humiliation de se caresser devant sa chipinette, mais je vois bien tout le plaisir qu'il peut y avoir à vivre des petits jeux ! Si j'avais été Monsieur Chenapan, je ne suis pas certain que j'aurais me préserver d'une jouissance intempestive !
RépondreSupprimerMerci pour ce récit.