Semaine de rencontre ... 3ème épisode

La journée de la jupe

Madame passe la main sous ma jupe pendant que je me penche pour poser la théière sur la table. Elle me pelote les fesses à travers ma culotte. Aujourd'hui Madame me veut en fille. Je suis sa poupée docile. C'est une punition. 

Non pas que Madame veut me travestir et me féminiser. Je reste un garçon en jupe. Pas de maquillage ni perruque. Elle veut simplement me faire passer une journée entière en jupe pour avoir osé répliquer que faire le ménage ce n'était pas pour les garçons. J'aurais du tourner sept fois ma langue dans ma bouche avant de dire une telle ânerie. Je découvre les sensations nouvelles: s'asseoir en prenant garde de ne pas froisser sa jupe, sentir le doux contact de la lingerie fine, fermer les jambes pour ne pas montrer sa culotte, faire pipi assis ou accroupi.

Beaucoup de garçons rêvent en secret de ressentir ce que ressentent les filles. Ne serait ce qu'une journée. Par curiosité. Ainsi dès le matin après la douche et le contrôle de propreté, Madame m'a montré ma tenue du jour: une jupe un peu ample et courte genre " patineuse" et une culotte de dentelle rouge. Afin d'éviter tout relief disgracieux dans ma tenue, Madame m'a fait mettre ma cage de chasteté. Elle a bien fait car aussitôt en tenue, je n'ai pu réprimer une vive érection. 

Avec mon sexe muselé "en fille" ma lingerie fine et ma jupette, j'ai commencé ma journée de soumission par faire la chambre de Madame. Pendant que je faisais le lit, Madame n'arrêtait pas de passer sa main sous ma jupe pour me peloter les fesses. Si j'avais le malheur de serrer les cuisses pour l'en empêcher, elle me donnait des claques sur les cuisses. En jupe, je comprenais combien une fille est vulnérable et accessible. Madame troussait sa soubrette. 

Remontait ma jupe pour regarder ma culotte. J'étais sur des charbons ardents et mon érection bridée par la cage, me procurait un plaisir étrange, comme une lourdeur excitante en profondeur. C'est certainement ce que les filles appellent "avoir des papillons au fond du ventre". Cela avait comme effet de me faire mouiller. Quand Madame s'est aperçue qu'il y avait une tâche humide sur le devant de ma lingerie, elle m'a placé elle même un protège-slip. J'ai découvert ainsi une autre sensation, celle que connaissent les filles et qu'ignorent totalement les garçons. Madame m'a menacé d'une épaisse serviette hygiénique si le protège-slip s'avérait une protection insuffisante.. Je mouille comme une fille dit Madame en me traitant de " petite mouilleuse".

En jupe découvre une autre sensation: celle d'être facilement accessible pour recevoir la fessée. A la moindre incartade, Madame n'a qu'un geste a faire pour relever ma jupe, baisser ma culotte et me courber pour me claquer les fesses. Un chenapan, même en culottes courtes est plus difficile à corriger cul nu. Je comprends les fesseurs qui privilégient la jupe pour leur chipie.

Madame me trousse comme une soubrette à corriger. Elle manie le chaud et le froid, me corrige et me caresse. Il y a longtemps qu'elle connait la sensibilité de mes pointes de seins. Mais comme je suis en jupe, elle en profite pour me tâter les seins comme à une fille. Elle me fait signe de me mettre à genoux. Je suis à bonne hauteur pour qu'elle joue avec la pointe de mes seins. Sa main glisse sous le polo blanc et trouve les petites pointes qui se hérissent dès qu'elle les touche. Elle me les pince à me faire mal, les tire douloureusement puis les caresse. Mes bouts sont durs. Je coule dans mon protège slip.

Le matin il est prévu d'aller faire les courses au supermarché. Madame,prend un malin plaisir à me faire attendre. Et si elle m'obligeait à y aller comme ça? Elle a bien dit " une journée entière en fille..." Je ne sais pas si je pousserai l'obéissance jusqu'à aller au supermarché en jupe. L'année dernière, je me souviens d'une sortie au Carrefour en culottes courtes en plein mois d'octobre. Je n'étais pas passé inaperçu en bermuda! Je me souviens de quelques regards sur mes jambes nues, mais je pouvais passer pour un sportif qui revient de son jogging... Madame attend le dernier moment pour m'autoriser à mettre mon pantalon. Heureusement il fait trop froid pour le bermuda... Oufff.

Je pousse le caddie dans les rayons. J'ai conservé sur ordre de Madame sous mon jean ma culotte à froufrous et ma cage de chasteté dont je sens le cadenas tinter à chaque pas. Impossible d'oublier mon statut de soumis. Je ne fais pas le malin et obéis à tout ce que dit Madame. Elle est parfaitement capable de me mettre la honte en me conduisant au rayon lingerie pour me faire choisir une petite culotte, où pour mettre dans le caddie, bien en évidence, un gros paquet de protections périodiques. J'échappe à tout ça en me tenant à carreau. Madame se lâche tout de même à là caisse où elle me laisse tout décharger et  tout remettre sans lever le petit doigt en me parlant d'une voix autoritaire. Elle se permet même un clin d'œil complice à la caissière intriguée. Je me prends une bouffée de honte. 

Sitôt de retour, je retrouve les sensations ambigües de la mise en jupe. Avec mon petit tablier blanc je redeviens sa soubrette attentive et obéissante. Je reste en jupe jusqu'au soir pour la mise au lit. C'est une expérience insolite que Madame m'a fait vivre avec cette journée en jupe. Nos jeux nous font connaitre chaque fois des sensations nouvelles.