Bonjour à vous qui pénétrez sur mon blog Mi-ange/Mi-démon. Tout d’abord, pour les personnes âgées de moins de 18 ans, merci de cliquer sur la petite croix rouge en haut à droite et BYE.

Bon maintenant que nous sommes entre adultes, je vous laisse découvrir ce blog. J’ai la chance de jouer dans le monde de la fessée, avec deux hommes, un que j’appelle « mon chenapan » et un autre qui est mon Educateur. Si j’ai fait ce blog, c’est pour vous faire partager la complicité que je vis avec l’un comme avec l’autre.

Vous trouverez donc des récits de l’éducation de mon chenapan, de mon éducation par mon Educateur, de fessées que j’ai reçues ou données avec d’autres personnes. Il y a aussi des récits tirés de mon imagination comme un long récit sur la vie au pensionnat, Aline et Thierry et d’autres.

J’ai essayé de classer cela par sujet et que j’alimenterai régulièrement. J’espère que vous vous y retrouverez et aurez plaisir à y revenir. Merci pour votre visite et n’oubliez pas les commentaires, cela fait toujours plaisir.

jeudi 10 mars 2016

Semaine de rencontre... 4ème épisode


Mon chenapan a par moment, le sentiment qu’il a le droit de se caresser quand il en a envie, quand il l’a décidé ! Mais car évidemment il y a un mais, il n’en a pas le droit, c’est écrit dans nos règles, ces orgasmes et ses jouissances, il me les doit et ne peut se permettre ce genre de privautés sans mon autorisation ! Je suis maitresse de son plaisir.

Mais de temps en temps, il m’avoue lors de ses confessions, s’être caressé. Il connait le prix à payer, la punition qu’il devra subir ! Il devra mettre sa cage de chasteté pendant un certain nombre de jours.
Et là j’ai décidé que ce sera 2 jours mais lors de notre séjour ensemble. Je pense que c’est bien plus marquant car je peux accéder à son sexe quand je le veux. Je peux le caresser à tout moment sans évidemment qu’il puisse s’y soustraire sinon c’est une punition immédiatement, cela va des claques à l’intérieur des cuisses à la gymnastique annale, et là il déteste. Mais c’est une punition, ce n’est pas fait pour être aimé.

Donc pendant notre séjour, il a eu le droit à 2 jours dont un quand il était en jupe, et là ce fut l’extase pour moi. Je comprends bien mieux pourquoi les fesseurs adorent les jupes pour les chipies, ils ont ainsi accès à leurs fesses et sexe comme ils en ont envie.


D’après mon chenapan, car je suis bien obligée de lui faire confiance de ce coté là, il parait que la cage est un châtiment très intense, il serait excité en permanence par cette frustration imposée par la cage. Cette cage rend le pénis trop étroit dans sa prison en silicone. Cela provoque des coulées de son pénis qui mouillent sa culotte, il est donc obligé de mettre un protège-slip si je suis de bonne humeur ou une serviette hygiénique si je suis de moins bonne humeur. J’adore quand il râle, il se retient bien sur car il sait que je ne l’accepte pas et qu’il reçoit immédiatement sur fesses nues, une bonne dizaine de claques bien fortes sur les fesses. Vous allez vous dire : qu’une dizaine, oui bien sur, mais cela répété une bonne dizaine de fois dans une journée et voir plus, je peux vous garantir que mon chenapan tourne 7 fois sa langue dans sa bouche avant de dire quoique ce soit.


Un soir lors de notre séjour, cela fait 2 jours qu’il est encagé, je convoque mon chenapan, et j’ai tout préparé ma mise en scène, pour que lorsqu’il arrive dans le salon, il voit tout et se doute de ce qu’il va lui arriver. Cela lui met une envolée de papillons, et lui provoque une érection ! Mais celle-ci est brimée ! Il est convoqué en chemise de nuit, et j’ai mis sur la table basse un bocal rempli d’eau et de glaçons. Je vois à son regard qu’il a compris ce qu’il allait lui arriver. C'est un supplice que je lui inflige assez souvent quand il est puni de la cage de chasteté.


Je le fais venir à moi  et le fais retrousser sa chemise de nuit. Je prends la petite clef et ouvre le cadenas. La pression se relâche sur son sexe qui aussitôt se redresse et s'étire. Mon regard sur son sexe gêne mon chenapan qui malgré lui met les mains mais une claque comme rappel à l’ordre et il met de suite ses mains dans le dos. Son sexe retrouve sa liberté et en profite pour s'installer dans  une belle érection. Je lui fais passer sa chemise par dessus la tête. Et le voici tout nu. Je prends mon bocal et le place au niveau de mon bas ventre. Je m'empare de son sexe que je contrains à s'incliner vers le bas de sorte que le gland trempe dans l'eau glacée. Au début il reste en érection, mais assez vite l'effet du froid se fait sentir et il débande. Son sexe se ramollissant, il est plus facile de le tremper entièrement dans le bocal. Je n'ai plus besoin de le tordre vers le bas pour qu'il ne sorte pas du bain. L'eau froide calme les ardeurs et son pénis ramollit et perd toute arrogance. Au bout de quelques minutes, le voici avec un zizi de garçonnet. C'est une expérience qui force à la modestie! Je ne me prive pas de me moquer de son " petit robinet" de chenapan. Le bocal sitôt reposé sur la table, je m'essuie avec un mouchoir en papier et je vois aussitôt une regonfler son sexe qui retrouve sa vigueur en se réchauffant. Ma réaction ne se fait pas attendre: retour au bain! L'eau froide fait son effet. Après plusieurs passages dans son "bocal à zizi" et dans ma grande clémence, je l'autorise finalement à jouir.





Après deux jours d'abstinence punitive avec la cage, c'est une vraie récompense. Je sais qu’il va enfin pouvoir soulager cette tension du plaisir bridé depuis deux jours. Je le fais s’installer dans un fauteuil, en face du mien, les jambes passées sur les accoudoirs. C'est moi qui dirige les opérations. Je veux qu’il se caresse devant moi et sous mon contrôle, avec l’interdiction de jouir sans mon autorisation. Je sais que c'est terriblement humiliant de se masturber comme ça, tout nu devant moi, cuisses très ouvertes. Je le regarde, commente, ordonne... Avec sa main gauche, il doit exciter le bout de ses tétons, les pincer, les allonger à en avoir mal. Quand je sens que l'orgasme va arriver, je le fais arrêter, le laissant gémissant de frustration, le gland à vif, dilaté.

Je me lève à ce moment là, et je m’approche de lui, je passe derrière lui et je prends la corde que j’avais cachée sous le fauteuil. J’attrape ses mains et lui attache aux pieds arrière du fauteuil. Une autre corde me sert à lui attacher les cuisses bien ouvertes et les jambes serrées contre la cuisse. Il ne peut plus déplier les jambes. Je lui chuchote à l’oreille "tu vas jouir dans cette position là ou rien du tout, donc attention à toi". Je lui pince les tétons, tire un peu dessus, il grimace, souffle. Je passe devant lui, le caresse sur le ventre, entre le pubis et la cuisse, puis descend vers l’anus où je mets un doigt  puis deux, le décalotte avec mon autre main. Je le caresse en le décalottant et en recalottant, et cela plusieurs fois de suite, il respire bruyamment. Je dirige tout, veillant à ce qu’il n'éjacule pas. Je m'applique à faire obéir scrupuleusement ce pénis comme je le désire, et mon chenapan souffle, grimace mais pas un son ne s’échappe de sa bouche, de crainte que je ne lui impose un retour dans l'eau glacée, suivi peut être d'une mise en cage! Mes deux mains sont partout sur son corps, je le fais exprès pour le déstabiliser. Je sais qu’il a très envie de jouir mais je sais aussi qu’il fera tout pour s’en empêcher et j’aime cette crainte qu’il peut avoir. Puis j’arrête tout, je ne bouge plus, il ouvre les yeux et j’attends. Mon regard est explicite, il doit me demander l’autorisation de jouir, je sais que c’est dur de demander ce genre d’autorisation. Il me le demande enfin et je l'autorise à jouir sous mes yeux et par mes mains dans un kleenex. Son orgasme est intense puissant, interminable, libérateur. Son plaisir apaisé, je le détache et le prend dans mes bras. La tête au creux de mon épaule, il reste un long moment, silencieux. Il m'embrasse et me remercie de lui avoir fait vivre ce moment intense.

7 commentaires:

  1. Je ne connaissais pas cette forme de balnéothérapie... Tu devrais éditer une brochure!

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  2. C'est donc ça la thalassothérapie ?

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  3. Sevérités et tendresse...plaisir et douleurs sont les ingrédients d'une complicité aussi forte que celle entre Madame et moi. Elle souffle le froid et le chaud et mêle frustration et plaisir pour pimenter nos jeux et rendre ainsi plus intense la jouissance partagée.

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    1. voui, une belle complicité des plus admirables. bravo à vous deux

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    2. Merci mon chenapan et Insolent!!! j'aime beaucoup ta définition de notre jeu mon chenapan!!!

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  4. Je ne vois pas où se trouve l'humiliation de se caresser devant sa chipinette, mais je vois bien tout le plaisir qu'il peut y avoir à vivre des petits jeux ! Si j'avais été Monsieur Chenapan, je ne suis pas certain que j'aurais me préserver d'une jouissance intempestive !
    Merci pour ce récit.

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