Ce récit a été écrit par Chenapan
Le lendemain, en me
levant, j'avais encore les fesses sensibles. La veille, Mademoiselle Marie
Charlotte avait rivalisé de sévérité avec Madame. Sans faire mon jaloux, je
crois que Bruno avait bénéficié d'un régime de faveur. C’est en petit dandy
arrogant qu’il est rentré chez Madame, jetant un regard méprisant sur ma tenus
de chenapan. Contrairement à moi il s’était octroyé le privilège de ne pas
porter de culottes courtes. Madame lui a vite rappelé les règles vestimentaires
des chenapans. Ce sale gosse a vite compris qu’il fallait filer doux devant
Madame. Il est redescendu en bermuda avec des chaussettes noires.
Vous imaginez
le tableau, on aurait dit Jacques Chirac en vacances au fort de Brégançon. Il a
voulu jouer le chouchou de ces dames en faisant le fier. N’empêche que Madame l’a
bien puni parce qu’il avait été insolent envers Mademoiselle Marie-Charlotte,
il a reçu une bonne fessée au martinet aggravée par le fait qu’il ne portait
pas de slip règlementaire mais un shorty rouge. Madame ne l’a pas loupé et elle
l’a obligé à demander pardon à genoux à Mademoiselle. Un sale gosse turbulent
ce Bruno mais je l'aime bien quand même.
N'empêche qu'il n'avait pas sa tenue réglementaire et que quand Madame l'a
envoyé au coin, il a pu rester debout, tandis que moi c'était toujours à genoux
les mains sur la tête. Pareil pour le slip (les gouvernantes nous ont fait
mettre en slip pour terminer le repas), Bruno s’est moqué de mes dessous de
chenapan, trouvant que ça faisait très « culotte de filles ».
Il a la
mémoire courte et semble avoir oublié que sa gouvernante lui fait parfois
porter une de ses culottes de lingerie de couleur rouge, afin que sa couleur
serve de référence sur la couleur de ses fesses après la fessée. Un vrai
garnement mal élevé, ce Bruno. Mademoiselle Marie-Charlotte a du plain sur la
planche avec un sujet pareil. Mais elle a la main leste et je sais qu’elle va
finir par mater cette forte tête.
J'avais donc encore
les fesses bien chaudes le matin, quand je suis allé porter les oranges
pressées à Madame dans sa chambre. Comme le règlement l'exige, je dois d'abord
la réveiller en douceur: embrasser ses petits petons sous la couette. Je dépose
une multitude de bisous sur la plante des pieds, au bout des orteils. En
général ça réveille Madame tout de suite. Mais là elle ne bougeait pas. Alors
j'en ai profité. Comme elle n'avait pas les jambes serrées j'ai remonté sous
les draps le long de ses mollets pour lui embrasser les genoux. Des bisous
" pattes de mouche". Comme elle ne bougeait toujours pas, je suis
remonté avec lenteur le long de ses cuisses, couvrant la face interne de
minuscules bisous mouillés. Je savais que si cela la réveillait en sursaut je
risquais de payer très cher mon audace. Arrivé en haut des cuisses, je me suis
aperçu que Madame s'était endormie sans culotte sous sa chemise de nuit. En
général elle la garde pour la nuit. Les narines en éveil, je captais les arômes
intimes distillés pendant la nuit par ma Gouvernante. Sans doute échauffée par
la soirée de la veille, Madame était très parfumée. Avait t-elle rêvé pendant
la nuit des derrières des deux garnements se tortillant sur ses genoux et sur
ceux de Mademoiselle?
En catimini je me
suis approché au plus près de sa vulve charnue, reniflant à petites bouffées
pour ne pas être découvert. Madame a soudain bougé dans son sommeil.
Imperceptiblement. Je me suis figé, le souffle coupé. Madame a replié sa jambe
sur le côté, m'offrant son sexe entrouvert. J'ai attendu un moment. Puis m'enhardissant
j'ai progressé jusqu'à ce que mon nez s'insinue dans la fente, et que mes
lèvres soient au contact de son sexe. Quelques petits bisous dans le sillon
humide tandis que je la respirais à petites bouffées. L'excitation me faisait
durcir. Mon sexe tendu roulait sous mon ventre, mais je m'efforçais de rester
immobile. Le goût de l'interdit attisait mon désir et je déployais des efforts
incroyables pour maîtriser ma respiration que l'excitation rendait haletante.
Au risque de me faire surprendre, j'ai pointé le bout de ma langue dans
l'entaille salée. Madame, dans son sommeil, mouillait. Le plaisir me rendit
imprudent. Je léchais Madame, m'enivrant de son goût, de son parfum. Je
suçotais son clitoris, l'aspirant entre mes lèvres voraces, dégustant sa sève.
C'est à ce moment là
que les cuisses de Madame se serrèrent avec force autour de ma tête. Très fort.
Impossible de sortir de cette emprise. J'étais pris au piège.
-
Petit
vicieux. Tu n'as pas honte de profiter de la situation? Ton audace va te coûter
cher, chenapan.
Ma tête prisonnière de son carcan, je ne pouvais
faire le moindre mouvement. J'ai senti le drap remonter, ainsi que ma chemise
de nuit et l'air frais caresser mes fesses nues. Puis très vite, les morsures
du martinet. Madame me corrigeait tout en m'immobilisant entre ses cuisses. Mon
derrière, déjà bien échauffé par la correction de la veille administrée par
Madame et Mademoiselle, s'embrasa tout de suite. Elle frappait de toutes ses
forces en me traitant de " gamin vicieux". Mon visage, collé contre
son sexe frottait contre son intimité chaude et onctueuse à chaque claquement
du cuir sur mon derrière tendu. Ma bouche trempée de salive et de mouille
battait la mesure de mon châtiment sur son sexe à vif.
Madame a joui tout en me donnant du martinet. Apaisée,
elle a enfin desserré l'étau de ses cuisses, me libérant.
-
debout
les mains sur la tête, ordonna t-elle.
S'asseyant dans le
lit pour boire son jus d'oranges, elle a pointé son pied sur mon sexe encore
dressé d'un plaisir insatisfait. Du bout des orteils, elle a joué à décalotter
mon sexe. J'ai cru qu'elle allait me faire jouir ainsi, mais elle a juste
menacé:
-
Cet
écart de conduite ne restera pas impuni, petit vicieux. Nous réglerons cela cet
après midi, après le déjeuner au restaurant avec Bruno et Mademoiselle Marie
Charlotte. En attendant tu vas mettre ta cage de chasteté, ça va te calmer et
te remettre à ta place.
Fort heureusement
Madame m'a libéré de ma cage au moment de partir déjeuner au restaurant. Il
était convenu que ce repas se ferait hors jeu. Marie Charlotte et Bruno nous
avaient invités dans une auberge. Un endroit très chic et gastronomique. Cela
nous a permis de faire vraiment connaissance. C'est un couple absolument très
sympathique et au fil de la conversation, nous nous sommes découvert beaucoup
d'intérêts communs même en dehors de nos jeux de fessée.
A la fin du repas, je
ne sais plus ce qui m'a pris mais j'ai sorti à Madame une réflexion insolente.
Je savais que je ne risquais rien dans ce restaurant. Mais Madame qui ne se
laisse jamais faire quelque soient les circonstances, m'ordonna de me rendre
dans les toilettes. Je savais ce que cela signifiait : j'allais devoir
décalotter mon sexe et revenir à table. C'est une punition bien bénigne et
discrète me direz vous, mais j'ai eu envie de refuser. Bruno et Mademoiselle
Marie Charlotte me toisaient d'un air ironique, même s’ils ignoraient de quoi
il s'agissait. J’étais sûr que si j'étais allé aux toilettes pour obtempérer,
Madame leur aurait expliqué de quoi il s'agissait. Nos deux amis se seraient
amusés de ma gêne en revenant à table. Le gland à vif frottant dans la culotte
sous le pantalon et l'érection mouillée que ce frottement provoquerait
immanquablement. J'ai donc tenu tête à Madame qui n'a pas voulu insister mais
m'a menacé de représailles sévères dès notre retour. Mademoiselle Marie
Charlotte a froncé les sourcils d'un air sévère, mais n'a rien ajouté. J'ai
compris qu'elle n'appréciait pas mon comportement. Il a fallu prendre congé de
nos amis. On se reverra heureusement. Plus longtemps cette fois.
De retour à la
maison, les représailles n'ont pas tardé. Tout d'abord, retour au statut de
chenapan en quittant veste et pantalon pour retrouver illico culottes courtes
et polo. Puis longue méditation au coin sur le respect et l'obéissance que doit
un chenapan à sa Gouvernante, en toutes circonstances, même hors jeu. J'ai dû
rester ainsi au coin une bonne demie heure, à genoux comme il se doit pendant
que Madame lisait. Au bout d'un moment la position devenant inconfortable, je
me suis mis à bouger, mais Madame veillait, martinet à portée de main. Clic
clac sur les cuisses! Et deux minutes supplémentaires de coin à chaque
mouvement. Ça rend sage le plus agité des punis!
Mais Madame n'allait
pas se satisfaire d'une simple mise au piquet. La suite n'allait pas tarder.
D'un claquement de doigts, elle me donna l'ordre de me relever. Je n'en menais
pas large. La mise au coin m'avait calmé. Plus question de faire la forte tête.
Ainsi quand elle me demanda de me mettre tout nu, je n'ai pas moufté. J'ai même
plié soigneusement mes vêtements pour ne pas aggraver mon cas. J'ai alors vu
sur la table les instruments qui m'attendaient.
Tout d'abord le martinet. Mes
cuisses étaient encore marquées du claquement de ses lanières. Puis la cravache
dont je redoute la morsure. Il y avait aussi une badine en noisetier (cadeau de
son ami Ours) et enfin les trois baguettes flexibles que Bruno avait offert la
veille à Madame. Des badines en tamaris, vernies. Une très fine, une moyenne et
enfin une plus grosse. Encore une fois je dois noter qu'il y a toujours du
favoritisme puisque c'est moi qui vais les étrenner alors que tout
naturellement, elles étaient destinées à ses fesses. Sans être jaloux, je dois
dire que Bruno est son petit chouchou, en voici une nouvelle preuve. C'est la
même chose pour la cane de Ours plus redoutable encore par son format, n'était
t-elle pas destinée aux fesses de Madame?
Mais sur le moment,
tout nu, en présentant le martinet à genoux à Madame, je n'avais pas l'audace
de le dire. Disons que j'ai eu la prudence de me taire. Le martinet m'a été
administré debout. Tantôt sur les fesses tantôt sur les cuisses. Ca me faisait
sautiller et Madame aime ça. Dans ces conditions, impossible de se dérober à la
correction, surtout qu'il faut garder les mains sur la tête sous peine de
prolonger le supplice. Sans être trop marqué, j'ai eu des zébrures rouges sur
les cuisses et sur le derrière. Interdiction de se frotter. Garder les mains
sur la tête.
Madame m'a tendu ma
cage de chasteté. Comme mon sexe était trop enflé pour rentrer dans sa prison,
Madame est venue avec un verre d'eau glacée dans laquelle flottaient des
glaçons. J'ai dû tremper le bout de mon gland décalotté dedans. Jusqu'à ce que
le froid le ramollisse et que mon sexe rapetisse tel un pénis de garçonnet.
Madame m'a bouclé le cadenas et mon sexe muselé s'est vite retrouvé bien a
l'étroit dans sa prison. Me contournant, Madame m'a lié les mains dans le dos.
Puis elle m'a mis des boules Quiès dans les oreilles et un bandeau sur les
yeux. Je suis resté un moment ainsi, en isolation sensorielle. Je n'entendais
plus rien, ne voyais plus rien. Je m'attendais à tout moment à la morsure de la
cravache, mais au bout d'un moment la main de Madame m'agrippa et me conduisit
avec précautions. J'ai senti le rebord du lit et elle me fit basculer à plat
ventre dessus, les jambes dans le vide. Elle me releva la tête et me glissa un
petit coussin sous le menton. Un moment de silence puis je sentis que Madame
s'installait sur le lit. Presque aussitôt j'ai senti sur mes joues le frôlement
de ses cuisses nues. Puis le contact humide de son sexe sur ma bouche et mon
nez. J'ai compris que Madame s'était mise toute nue, assise en tailleur devant
mon visage. Mon érection est devenue plus muselée.
Malgré les boules
Quiès je l'entendis dire dans un lointain cotonneux: interdiction de bouger. Interdiction
de lécher. Tu as juste le droit de sentir l'odeur de ta Gouvernante pendant que
la cravache va corriger ton insolence de ce midi.
Les narines dilatées,
je captais les effluves épicées de son sexe tandis que la cravache commença à
me fouetter les fesses et les reins. A chaque claquement, je sursautais et
suffoquais, dégustant les arômes de ma Gouvernante. C'était excitant et très
humiliant de se faire corriger ainsi. Supplice de la cravache et supplice de
tantale puisqu'il m'était impossible d'accéder au plaisir ni d'en donner.
J'avais juste le droit de " respirer Madame".
J'ai reçu ainsi une
sévère correction. Madame manie la cravache avec art, marquant des temps de
repos, des tapotements pour exiger un meilleur écart des cuisses, des caresses
de la mèche de cuir dans la raie des
fesses, des pressions sur l'orifice anal, puis des claquements secs et
réguliers sur mon derrière tendu....
Mon châtiment a duré
un moment. Le sexe à vif dans sa cage, j'avais mouillé sous moi (heureusement
Madame avait eu la prudence de glisser deux Kleenex). Plus tard Madame m'a
"mené à la baguette". Chemise de nuit retroussée sur les reins
(Madame m'a trouvé dans une brocante des chemises de nuits à l'ancienne, en
lin, très "pensionnaire"). Appuyé à la table, j'ai reçu trente coups
des trois baguettes offertes la veille par Bruno et Mademoiselle Marie
Charlotte. Dix coups de chacune des badines flexibles. J'ai une pensée pour mon
petit camarade Bruno. (Dès que je peux, je me débrouille pour faire punir ce
petit chouchou de Madame. Il aurait pu lui apporter des bonbons à la place.
Elles sont redoutables ses baguettes...)
Avant le dîner j'ai
eu des lignes à copier. A la table de la cuisine. Cent fois "Je ne dois
jamais désobéir à Madame quand elle me donne un ordre". Assis fesses nues
sur "mon" paillasson. Un grand moment de honte et d'inconfort. Un
moment surtout très douloureux à cause de mes fesses en feu, meurtries pas ma
cuisante correction.
Pour diner je n'ai eu
droit qu'à de la soupe (ça tombait bien on avait trop bien mangé au restaurant
et je n'avais pas très faim). Madame m'avait privé de dessert (je m'en moque je
ne suis pas très "sucre"). Par contre j'ai été envoyé au lit de très
bonne heure (ça c'est plus vexant) et de fait "privé de télé" (ça
c'est une vraie punition infantilisante).
Je pensais que
j'allais échapper à la cane de son ami des Pyrénées, mais Madame est venue me
rejoindre dans ma chambre. Elle avait la baguette à la main. Après le rituel
humiliant qui précède toujours ma mise au lit : vérification du bon brossage
des dents, du lavage des mains et contrôle de propreté intime. J'ai compris
qu'il était inutile que je demande qu'elle me retire ma cage de chasteté.
J'allais la garder un bon moment. Je le pressentais. Madame m'a fait mettre à
genoux au pied de mon lit comme pour faire ma prière. Elle a relevé ma chemise
de nuit jusqu'aux épaules. Elle m'a fait promettre de ne plus jamais lui tenir
tête, surtout devant ses amis. Et là j'ai maudit un moment son ami des Pyrénées
car sa baguette fait un mal de chien. Elle siffle et aussitôt claque
douloureusement sur mes fesses déjà bien éprouvées. Cinq coups bien appliqués
que j'ai du compter à haute voix en remerciant à chaque fois Madame et lui
demander pardon. J'en avais les larmes aux yeux, mais j'ai serré les dents. Je
suis trop fier pour implorer la moindre clémence (d'ailleurs avec Madame ça ne
marcherait pas). Alors j'ai subi mes cinq coups de baguette et répète chaque
fois des sanglots dans la voix: "...quatre.
Merci Madame. Pardon... Cinq...aïe... merci Madame..."
C'est à plat ventre
et toujours troussé que je me suis mis au lit. Madame a rabattu le drap sur mes
fesses en feu. Elle a éteint la lumière après un baiser sur mon front. Enfin
seul j'ai pu frotter mes fesses pour en apaiser l'irritation. Dans le noir,
puni comme un vilain garnement, j'entendais dans la pièce voisine le son de la
télévision. J'étais vexé d'être privé de télé. Mais la correction m'avait
abattu et je n'ai pas tardé à m'endormir.
et ben Chenapan que lis je lol tu profites du sommeil de Chipinette lol
RépondreSupprimeret oui une bonne correction est un gage d'une bonne nuit ^^
mdrrrrrrr il était content d'avoir les cuisses bien marquées!! et moi j'étais en pleine forme!!
Supprimerune fessée au réveille est signe d'une bonne reprise en main lol et je suis sur qu'il etait en manque depuis la veille d'avoir sa gouvernante pour lui tout seul
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