Bonjour à vous qui pénétrez sur mon blog Mi-ange/Mi-démon. Tout d’abord, pour les personnes âgées de moins de 18 ans, merci de cliquer sur la petite croix rouge en haut à droite et BYE.

Bon maintenant que nous sommes entre adultes, je vous laisse découvrir ce blog. J’ai la chance de jouer dans le monde de la fessée, avec deux hommes, un que j’appelle « mon chenapan » et un autre qui est mon Educateur. Si j’ai fait ce blog, c’est pour vous faire partager la complicité que je vis avec l’un comme avec l’autre.

Vous trouverez donc des récits de l’éducation de mon chenapan, de mon éducation par mon Educateur, de fessées que j’ai reçues ou données avec d’autres personnes. Il y a aussi des récits tirés de mon imagination comme un long récit sur la vie au pensionnat, Aline et Thierry et d’autres.

J’ai essayé de classer cela par sujet et que j’alimenterai régulièrement. J’espère que vous vous y retrouverez et aurez plaisir à y revenir. Merci pour votre visite et n’oubliez pas les commentaires, cela fait toujours plaisir.

lundi 9 février 2015

Weekend avec mes deux chenapans et Marie-Charlotte ... janvier 2015... fin.



Ce récit a été écrit par Chenapan

Le lendemain, en me levant, j'avais encore les fesses sensibles. La veille, Mademoiselle Marie Charlotte avait rivalisé de sévérité avec Madame. Sans faire mon jaloux, je crois que Bruno avait bénéficié d'un régime de faveur. C’est en petit dandy arrogant qu’il est rentré chez Madame, jetant un regard méprisant sur ma tenus de chenapan. Contrairement à moi il s’était octroyé le privilège de ne pas porter de culottes courtes. Madame lui a vite rappelé les règles vestimentaires des chenapans. Ce sale gosse a vite compris qu’il fallait filer doux devant Madame. Il est redescendu en bermuda avec des chaussettes noires. 

Vous imaginez le tableau, on aurait dit Jacques Chirac en vacances au fort de Brégançon. Il a voulu jouer le chouchou de ces dames en faisant le fier. N’empêche que Madame l’a bien puni parce qu’il avait été insolent envers Mademoiselle Marie-Charlotte, il a reçu une bonne fessée au martinet aggravée par le fait qu’il ne portait pas de slip règlementaire mais un shorty rouge. Madame ne l’a pas loupé et elle l’a obligé à demander pardon à genoux à Mademoiselle. Un sale gosse turbulent ce Bruno mais je l'aime bien quand même. N'empêche qu'il n'avait pas sa tenue réglementaire et que quand Madame l'a envoyé au coin, il a pu rester debout, tandis que moi c'était toujours à genoux les mains sur la tête. Pareil pour le slip (les gouvernantes nous ont fait mettre en slip pour terminer le repas), Bruno s’est moqué de mes dessous de chenapan, trouvant que ça faisait très « culotte de filles ». 
Il a la mémoire courte et semble avoir oublié que sa gouvernante lui fait parfois porter une de ses culottes de lingerie de couleur rouge, afin que sa couleur serve de référence sur la couleur de ses fesses après la fessée. Un vrai garnement mal élevé, ce Bruno. Mademoiselle Marie-Charlotte a du plain sur la planche avec un sujet pareil. Mais elle a la main leste et je sais qu’elle va finir par mater cette forte tête. 

J'avais donc encore les fesses bien chaudes le matin, quand je suis allé porter les oranges pressées à Madame dans sa chambre. Comme le règlement l'exige, je dois d'abord la réveiller en douceur: embrasser ses petits petons sous la couette. Je dépose une multitude de bisous sur la plante des pieds, au bout des orteils. En général ça réveille Madame tout de suite. Mais là elle ne bougeait pas. Alors j'en ai profité. Comme elle n'avait pas les jambes serrées j'ai remonté sous les draps le long de ses mollets pour lui embrasser les genoux. Des bisous " pattes de mouche". Comme elle ne bougeait toujours pas, je suis remonté avec lenteur le long de ses cuisses, couvrant la face interne de minuscules bisous mouillés. Je savais que si cela la réveillait en sursaut je risquais de payer très cher mon audace. Arrivé en haut des cuisses, je me suis aperçu que Madame s'était endormie sans culotte sous sa chemise de nuit. En général elle la garde pour la nuit. Les narines en éveil, je captais les arômes intimes distillés pendant la nuit par ma Gouvernante. Sans doute échauffée par la soirée de la veille, Madame était très parfumée. Avait t-elle rêvé pendant la nuit des derrières des deux garnements se tortillant sur ses genoux et sur ceux de Mademoiselle?
En catimini je me suis approché au plus près de sa vulve charnue, reniflant à petites bouffées pour ne pas être découvert. Madame a soudain bougé dans son sommeil. Imperceptiblement. Je me suis figé, le souffle coupé. Madame a replié sa jambe sur le côté, m'offrant son sexe entrouvert. J'ai attendu un moment. Puis m'enhardissant j'ai progressé jusqu'à ce que mon nez s'insinue dans la fente, et que mes lèvres soient au contact de son sexe. Quelques petits bisous dans le sillon humide tandis que je la respirais à petites bouffées. L'excitation me faisait durcir. Mon sexe tendu roulait sous mon ventre, mais je m'efforçais de rester immobile. Le goût de l'interdit attisait mon désir et je déployais des efforts incroyables pour maîtriser ma respiration que l'excitation rendait haletante. Au risque de me faire surprendre, j'ai pointé le bout de ma langue dans l'entaille salée. Madame, dans son sommeil, mouillait. Le plaisir me rendit imprudent. Je léchais Madame, m'enivrant de son goût, de son parfum. Je suçotais son clitoris, l'aspirant entre mes lèvres voraces, dégustant sa sève.
C'est à ce moment là que les cuisses de Madame se serrèrent avec force autour de ma tête. Très fort. Impossible de sortir de cette emprise. J'étais pris au piège.

-       Petit vicieux. Tu n'as pas honte de profiter de la situation? Ton audace va te coûter cher, chenapan.

Ma  tête prisonnière de son carcan, je ne pouvais faire le moindre mouvement. J'ai senti le drap remonter, ainsi que ma chemise de nuit et l'air frais caresser mes fesses nues. Puis très vite, les morsures du martinet. Madame me corrigeait tout en m'immobilisant entre ses cuisses. Mon derrière, déjà bien échauffé par la correction de la veille administrée par Madame et Mademoiselle, s'embrasa tout de suite. Elle frappait de toutes ses forces en me traitant de " gamin vicieux". Mon visage, collé contre son sexe frottait contre son intimité chaude et onctueuse à chaque claquement du cuir sur mon derrière tendu. Ma bouche trempée de salive et de mouille battait la mesure de mon châtiment sur son sexe à vif.
Madame a joui tout en me donnant du martinet. Apaisée, elle a enfin desserré l'étau de ses cuisses, me libérant.

-       debout les mains sur la tête, ordonna t-elle.

S'asseyant dans le lit pour boire son jus d'oranges, elle a pointé son pied sur mon sexe encore dressé d'un plaisir insatisfait. Du bout des orteils, elle a joué à décalotter mon sexe. J'ai cru qu'elle allait me faire jouir ainsi, mais elle a juste menacé:

-       Cet écart de conduite ne restera pas impuni, petit vicieux. Nous réglerons cela cet après midi, après le déjeuner au restaurant avec Bruno et Mademoiselle Marie Charlotte. En attendant tu vas mettre ta cage de chasteté, ça va te calmer et te remettre à ta place.

Fort heureusement Madame m'a libéré de ma cage au moment de partir déjeuner au restaurant. Il était convenu que ce repas se ferait hors jeu. Marie Charlotte et Bruno nous avaient invités dans une auberge. Un endroit très chic et gastronomique. Cela nous a permis de faire vraiment connaissance. C'est un couple absolument très sympathique et au fil de la conversation, nous nous sommes découvert beaucoup d'intérêts communs même en dehors de nos jeux de fessée. 
A la fin du repas, je ne sais plus ce qui m'a pris mais j'ai sorti à Madame une réflexion insolente. Je savais que je ne risquais rien dans ce restaurant. Mais Madame qui ne se laisse jamais faire quelque soient les circonstances, m'ordonna de me rendre dans les toilettes. Je savais ce que cela signifiait : j'allais devoir décalotter mon sexe et revenir à table. C'est une punition bien bénigne et discrète me direz vous, mais j'ai eu envie de refuser. Bruno et Mademoiselle Marie Charlotte me toisaient d'un air ironique, même s’ils ignoraient de quoi il s'agissait. J’étais sûr que si j'étais allé aux toilettes pour obtempérer, Madame leur aurait expliqué de quoi il s'agissait. Nos deux amis se seraient amusés de ma gêne en revenant à table. Le gland à vif frottant dans la culotte sous le pantalon et l'érection mouillée que ce frottement provoquerait immanquablement. J'ai donc tenu tête à Madame qui n'a pas voulu insister mais m'a menacé de représailles sévères dès notre retour. Mademoiselle Marie Charlotte a froncé les sourcils d'un air sévère, mais n'a rien ajouté. J'ai compris qu'elle n'appréciait pas mon comportement. Il a fallu prendre congé de nos amis. On se reverra heureusement. Plus longtemps cette fois. 

De retour à la maison, les représailles n'ont pas tardé. Tout d'abord, retour au statut de chenapan en quittant veste et pantalon pour retrouver illico culottes courtes et polo. Puis longue méditation au coin sur le respect et l'obéissance que doit un chenapan à sa Gouvernante, en toutes circonstances, même hors jeu. J'ai dû rester ainsi au coin une bonne demie heure, à genoux comme il se doit pendant que Madame lisait. Au bout d'un moment la position devenant inconfortable, je me suis mis à bouger, mais Madame veillait, martinet à portée de main. Clic clac sur les cuisses! Et deux minutes supplémentaires de coin à chaque mouvement. Ça rend sage le plus agité des punis!

Mais Madame n'allait pas se satisfaire d'une simple mise au piquet. La suite n'allait pas tarder. D'un claquement de doigts, elle me donna l'ordre de me relever. Je n'en menais pas large. La mise au coin m'avait calmé. Plus question de faire la forte tête. Ainsi quand elle me demanda de me mettre tout nu, je n'ai pas moufté. J'ai même plié soigneusement mes vêtements pour ne pas aggraver mon cas. J'ai alors vu sur la table les instruments qui m'attendaient. 
Tout d'abord le martinet. Mes cuisses étaient encore marquées du claquement de ses lanières. Puis la cravache dont je redoute la morsure. Il y avait aussi une badine en noisetier (cadeau de son ami Ours) et enfin les trois baguettes flexibles que Bruno avait offert la veille à Madame. Des badines en tamaris, vernies. Une très fine, une moyenne et enfin une plus grosse. Encore une fois je dois noter qu'il y a toujours du favoritisme puisque c'est moi qui vais les étrenner alors que tout naturellement, elles étaient destinées à ses fesses. Sans être jaloux, je dois dire que Bruno est son petit chouchou, en voici une nouvelle preuve. C'est la même chose pour la cane de Ours plus redoutable encore par son format, n'était t-elle pas destinée aux fesses de Madame?

Mais sur le moment, tout nu, en présentant le martinet à genoux à Madame, je n'avais pas l'audace de le dire. Disons que j'ai eu la prudence de me taire. Le martinet m'a été administré debout. Tantôt sur les fesses tantôt sur les cuisses. Ca me faisait sautiller et Madame aime ça. Dans ces conditions, impossible de se dérober à la correction, surtout qu'il faut garder les mains sur la tête sous peine de prolonger le supplice. Sans être trop marqué, j'ai eu des zébrures rouges sur les cuisses et sur le derrière. Interdiction de se frotter. Garder les mains sur la tête.

Madame m'a tendu ma cage de chasteté. Comme mon sexe était trop enflé pour rentrer dans sa prison, Madame est venue avec un verre d'eau glacée dans laquelle flottaient des glaçons. J'ai dû tremper le bout de mon gland décalotté dedans. Jusqu'à ce que le froid le ramollisse et que mon sexe rapetisse tel un pénis de garçonnet. Madame m'a bouclé le cadenas et mon sexe muselé s'est vite retrouvé bien a l'étroit dans sa prison. Me contournant, Madame m'a lié les mains dans le dos. Puis elle m'a mis des boules Quiès dans les oreilles et un bandeau sur les yeux. Je suis resté un moment ainsi, en isolation sensorielle. Je n'entendais plus rien, ne voyais plus rien. Je m'attendais à tout moment à la morsure de la cravache, mais au bout d'un moment la main de Madame m'agrippa et me conduisit avec précautions. J'ai senti le rebord du lit et elle me fit basculer à plat ventre dessus, les jambes dans le vide. Elle me releva la tête et me glissa un petit coussin sous le menton. Un moment de silence puis je sentis que Madame s'installait sur le lit. Presque aussitôt j'ai senti sur mes joues le frôlement de ses cuisses nues. Puis le contact humide de son sexe sur ma bouche et mon nez. J'ai compris que Madame s'était mise toute nue, assise en tailleur devant mon visage. Mon érection est devenue plus muselée.
Malgré les boules Quiès je l'entendis dire dans un lointain cotonneux: interdiction de bouger. Interdiction de lécher. Tu as juste le droit de sentir l'odeur de ta Gouvernante pendant que la cravache va corriger ton insolence de ce midi.

Les narines dilatées, je captais les effluves épicées de son sexe tandis que la cravache commença à me fouetter les fesses et les reins. A chaque claquement, je sursautais et suffoquais, dégustant les arômes de ma Gouvernante. C'était excitant et très humiliant de se faire corriger ainsi. Supplice de la cravache et supplice de tantale puisqu'il m'était impossible d'accéder au plaisir ni d'en donner. J'avais juste le droit de " respirer Madame".
J'ai reçu ainsi une sévère correction. Madame manie la cravache avec art, marquant des temps de repos, des tapotements pour exiger un meilleur écart des cuisses, des caresses de la mèche de cuir  dans la raie des fesses, des pressions sur l'orifice anal, puis des claquements secs et réguliers sur mon derrière tendu....

Mon châtiment a duré un moment. Le sexe à vif dans sa cage, j'avais mouillé sous moi (heureusement Madame avait eu la prudence de glisser deux Kleenex). Plus tard Madame m'a "mené à la baguette". Chemise de nuit retroussée sur les reins (Madame m'a trouvé dans une brocante des chemises de nuits à l'ancienne, en lin, très "pensionnaire"). Appuyé à la table, j'ai reçu trente coups des trois baguettes offertes la veille par Bruno et Mademoiselle Marie Charlotte. Dix coups de chacune des badines flexibles. J'ai une pensée pour mon petit camarade Bruno. (Dès que je peux, je me débrouille pour faire punir ce petit chouchou de Madame. Il aurait pu lui apporter des bonbons à la place. Elles sont redoutables ses baguettes...)

Avant le dîner j'ai eu des lignes à copier. A la table de la cuisine. Cent fois "Je ne dois jamais désobéir à Madame quand elle me donne un ordre". Assis fesses nues sur "mon" paillasson. Un grand moment de honte et d'inconfort. Un moment surtout très douloureux à cause de mes fesses en feu, meurtries pas ma cuisante correction.
Pour diner je n'ai eu droit qu'à de la soupe (ça tombait bien on avait trop bien mangé au restaurant et je n'avais pas très faim). Madame m'avait privé de dessert (je m'en moque je ne suis pas très "sucre"). Par contre j'ai été envoyé au lit de très bonne heure (ça c'est plus vexant) et de fait "privé de télé" (ça c'est une vraie punition infantilisante). 

Je pensais que j'allais échapper à la cane de son ami des Pyrénées, mais Madame est venue me rejoindre dans ma chambre. Elle avait la baguette à la main. Après le rituel humiliant qui précède toujours ma mise au lit : vérification du bon brossage des dents, du lavage des mains et contrôle de propreté intime. J'ai compris qu'il était inutile que je demande qu'elle me retire ma cage de chasteté. J'allais la garder un bon moment. Je le pressentais. Madame m'a fait mettre à genoux au pied de mon lit comme pour faire ma prière. Elle a relevé ma chemise de nuit jusqu'aux épaules. Elle m'a fait promettre de ne plus jamais lui tenir tête, surtout devant ses amis. Et là j'ai maudit un moment son ami des Pyrénées car sa baguette fait un mal de chien. Elle siffle et aussitôt claque douloureusement sur mes fesses déjà bien éprouvées. Cinq coups bien appliqués que j'ai du compter à haute voix en remerciant à chaque fois Madame et lui demander pardon. J'en avais les larmes aux yeux, mais j'ai serré les dents. Je suis trop fier pour implorer la moindre clémence (d'ailleurs avec Madame ça ne marcherait pas). Alors j'ai subi mes cinq coups de baguette et répète chaque fois des sanglots dans la voix:  "...quatre. Merci Madame. Pardon... Cinq...aïe... merci Madame..."



C'est à plat ventre et toujours troussé que je me suis mis au lit. Madame a rabattu le drap sur mes fesses en feu. Elle a éteint la lumière après un baiser sur mon front. Enfin seul j'ai pu frotter mes fesses pour en apaiser l'irritation. Dans le noir, puni comme un vilain garnement, j'entendais dans la pièce voisine le son de la télévision. J'étais vexé d'être privé de télé. Mais la correction m'avait abattu et je n'ai pas tardé à m'endormir.
   

3 commentaires:

  1. et ben Chenapan que lis je lol tu profites du sommeil de Chipinette lol

    et oui une bonne correction est un gage d'une bonne nuit ^^

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. mdrrrrrrr il était content d'avoir les cuisses bien marquées!! et moi j'étais en pleine forme!!

      Supprimer
    2. une fessée au réveille est signe d'une bonne reprise en main lol et je suis sur qu'il etait en manque depuis la veille d'avoir sa gouvernante pour lui tout seul

      Supprimer