Bonjour à vous qui pénétrez sur mon blog Mi-ange/Mi-démon. Tout d’abord, pour les personnes âgées de moins de 18 ans, merci de cliquer sur la petite croix rouge en haut à droite et BYE.

Bon maintenant que nous sommes entre adultes, je vous laisse découvrir ce blog. J’ai la chance de jouer dans le monde de la fessée, avec deux hommes, un que j’appelle « mon chenapan » et un autre qui est mon Educateur. Si j’ai fait ce blog, c’est pour vous faire partager la complicité que je vis avec l’un comme avec l’autre.

Vous trouverez donc des récits de l’éducation de mon chenapan, de mon éducation par mon Educateur, de fessées que j’ai reçues ou données avec d’autres personnes. Il y a aussi des récits tirés de mon imagination comme un long récit sur la vie au pensionnat, Aline et Thierry et d’autres.

J’ai essayé de classer cela par sujet et que j’alimenterai régulièrement. J’espère que vous vous y retrouverez et aurez plaisir à y revenir. Merci pour votre visite et n’oubliez pas les commentaires, cela fait toujours plaisir.

dimanche 19 novembre 2017

Un pas vers la soumission ... dimanche ... novembre 2017


La Journée s'est déroulée normalement. J'ai mon rôle de chenapan bien installé. Madame veille à ce que je la serve comme la Princesse qu'elle est. Je m'applique en cuisine et fais la vaisselle et le ménage des chambres.

Je ne quitte pas mon uniforme de chenapan et dois porter un tablier blanc de soubrette pour la servir à table. Le matin après ma toilette, Madame ne déculotte pour faire un contrôle de propreté, ce qui est à chaque fois une épreuve humiliante bien que je sois maintenant habitué au fait qu'elle a tous les droits sur mon intimité. Cependant, je commets une vraie faute dans le déroulement de cette deuxième journée. Sans doute encouragé par le massage du matin auquel Madame a eu droit, je suis retombé malgré moi dans un comportement familier et insolent. Tel un chenapan que je ne suis plus, j'ai redoublé d'insolences et de mesquines provocations. Madame en a été sincèrement outragée, car elle attendait de moi un comportement de soumis et non des enfantillages de chenapan car nos jeux ont évolué. Elle a voulu après le diner marquer le coup de façon définitive et j'ai été châtié à la mesure de mon comportement inconscient. En chemise de nuit, j'ai comparu devant Madame qui était sincèrement en colère contre moi. Au ton de sa voix, j'ai compris qu'elle était à la fois déçue et outragée. Elle regardait un film à la télé et m'a fait venir avec mon cahier de punitions, mon tapis-brosse, et un stylo. La sentence a été à la hauteur de mon comportement: copier cent fois " Je dois respecter ma Gouvernante en toutes circonstances, même si le réveil ne sonne pas." (Allusion à une panne de réveil précédente). Et pas n'importe comment : la chemise de nuit retroussée en haut des reins, culotte baissée, à genoux sur le tapis-brosse!


Un vrai supplice ! Inutile de préciser qu'au moindre frémissement, madame cravache venait mordre mon derrière exposé. C'est affreusement long cent lignes ainsi !!! Dans un sursaut d'extrême bonté, Madame a fixé à cinquante lignes la mise à genoux, les cinquante autres devant se faire assis sur le paillasson ce qui n'est pas moins douloureux surtout quand on se relève (les chenapans et chipies savent de quoi je parle). Bref, je suis venu à bout de la punition. Le film n'étant par terminé, Madame m'a envoyé me reposer..... au coin ! Bizarrerie de la domination, elle m'a laissé le choix entre " debout ou à genoux". Bien sûr j'ai choisi de coller mon nez au coin du mur en restant debout. Mais j'ai bougé, car on s'ennuie au piquet. Madame m'a fait venir à ses pieds, cul nu, à quatre pattes, prête à sanctionner le moindre mouvement d'un bon coup de cravache. Hier soir, je n'ai pas eu la chance de tomber sur un court métrage à la télé, mais un film interminable. Ou du moins qui m'a paru comme tel. J'ai promis à Madame de ne pas bouger d'un cil si elle me renvoyait au coin. Elle m'a donné ma chance et j'ai fait la statue jusqu'à la fin de ce film. Mais Madame n'´en avait pas fini avec moi: Elle m'a désigné ses genoux et j'ai dû prendre la position du chenapan puni, fesses à l'air. C'est dans cette posture que j'ai écouté les réprimandes de Madame exprimant sa déception de me voir adopter un comportement de sale gosse  dissipé au lieu d'une attitude de soumis. Sa sévérité a été à la mesure de sa déception et j'ai reçu une fessée douloureuse (sans doute aussi rendu plus douloureuse à cause de mes fesses meurtries par la longue station assise sur le tapis piquant). Fessée à la main. Fessée à la brosse. Tout cela entrecoupé d'un dialogue où je devais répondre à ses questions, expliquer combien je regrettais mon comportement. Les fesses bien rouges et brûlantes j'ai été mis au lit.

4 commentaires:

  1. tres beau recit , que j'adore voir cette severitée héhé

    VG

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  2. Merci VG , c'est vrai que j'ai de la chance d'avoir rencontrê cette Gouvernante. Cette rencontre est avant tout une vraie amitié sans laquelle le jeu des fantasmes ne serait pas aussipositif

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    1. tout à fait d'accord avec toi mon soumis, il me serait impossible de jouer ainsi avec un autre soumis que toi!! notre amitié est notre point fort!!

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