Bonjour à vous qui pénétrez sur mon blog Mi-ange/Mi-démon. Tout d’abord, pour les personnes âgées de moins de 18 ans, merci de cliquer sur la petite croix rouge en haut à droite et BYE.

Bon maintenant que nous sommes entre adultes, je vous laisse découvrir ce blog. J’ai la chance de jouer dans le monde de la fessée, avec deux hommes, un que j’appelle « mon chenapan » et un autre qui est mon Educateur. Si j’ai fait ce blog, c’est pour vous faire partager la complicité que je vis avec l’un comme avec l’autre.

Vous trouverez donc des récits de l’éducation de mon chenapan, de mon éducation par mon Educateur, de fessées que j’ai reçues ou données avec d’autres personnes. Il y a aussi des récits tirés de mon imagination comme un long récit sur la vie au pensionnat, Aline et Thierry et d’autres.

J’ai essayé de classer cela par sujet et que j’alimenterai régulièrement. J’espère que vous vous y retrouverez et aurez plaisir à y revenir. Merci pour votre visite et n’oubliez pas les commentaires, cela fait toujours plaisir.

mardi 3 novembre 2015

La vie dans le pensionnat ... 19ème épisode


Les cours reprennent et arrivent enfin, ou déjà en fonction des personnes, l’heure d’aller manger au réfectoire. Evidemment certaines élèves se réjouissent du spectacle que va offrir une de leurs camarades, vous savez celles qui sont toujours devant ou connaissent toutes les réponses, et il y a le petit groupe qui n’est pas pressé car Lilou va se recevoir la honte de sa vie.

Tout le monde est dans le réfectoire, le père et la mère sup sont sur l’estrade, l’air grave de circonstance et attendent que toutes les élèves se placent à coté de leur chaise.

  • C’est bientôt fini ce bruit, là, demande la mère, vous vous croyez où ? à la foire du trône ? asseyez-vous, je veux voir toutes vos têtes tournées vers nous. Comme je l’ai expliqué à une classe, nous avons effectué le père et moi-même une fouille ce matin dans un dortoir et nous avons découvert un objet interdit dans notre établissement. Ce n’est pas un téléphone portable mais beaucoup plus grave. Je vais vous le montrer et j’exige que cette élève se dénonce et vienne à nous.

La mère lève le bras avec le petit canard jaune dans la main. Un brouhaha se fait entendre vite enrayer par le père.

  • Silence mesdemoiselles

Le silence revient immédiatement dans la salle.

  • Alors à qui appartient ce canard ? demande le père

On voit un bras se lever au fond de la classe, la mère demande à la propriétaire du bras de s’approcher de l’estrade. Lilou approche, la tête baissée, les joues en feu. Elle se présente devant ses futurs bourreaux.

  • Mademoiselle Lilou, je vous félicite de vous être dénoncée aussi vite même si nous savions à qui appartenait cet objet, vous avez évité une punition collective à ce réfectoire. Maintenant j’espère que vous êtes consciente que la faute est très grave et mérite une sanction exemplaire, sans compter que vous avez doublé votre peine car nous avons retrouvé aussi de l’argent caché dans votre coin de chambre
  • Oui mademoiselle, inutile de nous regarder avec des yeux surpris, cet argent vous appartient. Nous avions été clairs la mère et moi-même, que tout l’argent devait être donné au responsable de chambre. Alors qu’avez-vous à dire pour votre défense ? demande le père
  • Pour le canard, c’est mon doudou, je le mets en mode vibreur pour me bercer le soir. Je le place dans ma main sous l’oreiller pour m’endormir.
  • Vous nous prenez pour des imbéciles mademoiselle Lilou ? demande le père
  • Oh non mon père, je n’oserai pas
  • Vous savez ce qu’est cet objet ?
  • Oui mon père, dit Lilou en baissant les yeux, c’est un canard vibrant pour se donner du plaisir. Mais jamais je ne m’en suis servie ainsi ici mon père
  • Je ne peux pas vous croire un seul instant, petite vicieuse et en plus menteuse. Vous serez donc punie ce midi au réfectoire devant toutes vos camarades et par moi-même, dit le père
  • Oh non mon père, pas devant tout le monde, svp, dit Lilou en pleurant
  • Silence, jeune effrontée, il en sera fait comme je le dis, vous serez fessée déculottée, puis mise au coin avec votre canard entre les cuisses avec interdiction de jouir et de bouger. Votre fessée durera tout le temps du repas de vos camarades, soit environ 45 minutes. Vos fesses seront ainsi bien rouges et bien chaudes.
  • 45 mn ? mais c’est impossible mon père, vous allez m’arracher la peau des fesses, dit Lilou
  • Non mais je rêve, c’est quoi cette façon de me parler, vous aggravez votre cas mademoiselle, je vous le dis. Et pour l’argent…

Un doigt se lève à ce moment là au fond du réfectoire, la mère regarde à qui il appartient et lui demande ce qu’elle veut :

  • Qu’y a-t-il Mademoiselle Chipinette ?
  • Je ne veux pas que Lilou soit punie à ma place pour l’argent, il m’appartient, dit-elle
  • Tiens donc, dit le père, l’argent vous appartient ? et pourquoi était-il dans le coin de Lilou ?
  • Parce que moi je n’avais pas de cachette vers mon lit, répond Chipinette
  • Et pourquoi cet argent vous appartient, cela fait une très grosse somme pour venir dans un internat, demande le Père
  • Oui j’ai ouvert un pari et j’ai incité toutes mes camarades en les traitant de froussardes si elles ne pariaient pas
  • Bravo mademoiselle Chipinette, vous avez aggravé votre cas, dit la Mère et quel était objet de votre pari ?
  • Euhhh je ne suis pas sure que vous appréciez ma réponse ma Mère, dit-elle
  • Que je l’apprécie ou pas, ce n’est pas à vous d’en décider, je vous pose une question, et vous y répondez le plus honnêtement possible
  • Euhhh j’ai fait le pari que je ferais bien mon quatre heures avec le petit séminariste, il a un beau petit cul et qu’il doit être encore vierge, donc que j’allais le dépuceler, dit Chipinette très provocatrice

La mère et le père deviennent rouges comme des tomates avec des yeux révulsés et très choqués, petit coquin devient écarlate aussi.

  • Non mais je rêve, explose le père, mais où avez-vous été éduqué, sale petite gamine mal élevée, vous ne savez pas que nous faisons vœux de chasteté dans les ordres ? donc petit coquin a fait ce vœu. Et je vois dans vos yeux aucun remord de vos pensées. Nous avions rdv ce soir à 18h à propos d’une histoire de timbres, mais là vous allez retourner en punition collective dans le donjon et cela demain soir. Vous avez de la chance que ce soir, j’ai une réunion et que je ne peux donc pas m’occuper de votre cas mais vous allez avoir plus de 24 heures pour méditer sur votre comportement. Mais d’ici demain, vous recevrez 20 claques sur chaque fesses à chaque récréation, par la mère ou moi-même et vous serez privée de culottes.
  • Je suis très choquée par votre comportement Chipinette, dit la mère, je vous savais rebelle mais pas aussi perverse et vicieuse. Demain soir ce sera le père qui s’occupera de votre punition et vous allez pouvoir comparer une fessée donnée par une femme et une donnée par un homme. Vous allez regretter d’être dans cet établissement et je vous promets que vous ne pourrez plus vous assoir pendant une semaine. J’en fais la promesse. Vous allez devenir ensuite un vrai petit agneau et vous nous mangerez dans la main.

Chipinette a la tête baissée, les mains dans le dos et quand on y regarde de plus près, elle a deux doigts levés en signe de victoire. Elle a réussi à les provoquer, ce qui n’est pour elle qu’un jeu d’enfant. Elle a obtenu d’aller au donjon. Maintenant il faut qu’elle trouve un moyen d’aller envoyer son mail à l’Evêque. Avec cette réunion de ce soir, cela tombe très bien, elle va se glisser doucement dans le bâtiment administratif ce soir.

  • Bon mademoiselle Lilou, nous avons donc à votre actif un motif grave pour lequel vous allez être punie de suite, dit le père. Allez chercher une chaise que je puisse m’assoir et vous fesser devant vos camarades.

Lilou s’exécute car elle ne veut pas énerver le père plus qu’il ne l’est. Chipinette a fait fort en le provoquant ainsi, elle espère qu’il ne va pas passer sa colère sur ses fesses à elle. Elle l’attend depuis quelques jours cette fessée, savoir qu’il pourrait poser ses mains sur ses fesses, les toucher, les caresser, mmmmmm Lilou en rêve depuis quelques jours déjà. Car c’est un bel homme ce père.

  • A quoi rêvassez-vous Lilou ? dit la mère, le père vous attend
  • Oui ma mère, excusez moi mon père, dit Lilou
  • Allez, allongez vous sur mes genoux, les mains posées sur le sol ainsi que vos pieds bien à plat. Dit-il. Bon revenons à nos moutons, plutôt nos canards, alors que faites vous avec ce canard la nuit Lilou, dites le moi comme si nous étions en confession.

 

7 commentaires:

  1. En fait, c'est l'histoire d'un joli petit canard qui voulait juste faire plaisir, si j'ai bien compris...

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. oui et d'une terrible chipie qui en faisait voir de toutes les couleurs aux Père et Mère!!

      Supprimer
  2. ah bin zut ! on n'aura pas droit a la super fessee de chipinette par herr professor ? j'avais deja invité les journalistes moi... (et j'avais reservé un fauteuil au premier rang...)

    RépondreSupprimer
  3. qui sait cela va peut être venir ...

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Quelques claques pour lui faire plaisir mais on ne fesse pas injustement car je suis bien trop sage :p

      Supprimer
  4. Un célèbre proverbe dit : il faut toujours fesser chipinette ! si vous ne savez pas pourquoi, elle, elle le sait... ;-))))

    RépondreSupprimer
  5. Et sinon Chipinette, les filles suivent des cours, genre français ou maths ? XD

    RépondreSupprimer