Bonjour à vous qui pénétrez sur mon blog Mi-ange/Mi-démon. Tout d’abord, pour les personnes âgées de moins de 18 ans, merci de cliquer sur la petite croix rouge en haut à droite et BYE.

Bon maintenant que nous sommes entre adultes, je vous laisse découvrir ce blog. J’ai la chance de jouer dans le monde de la fessée, avec deux hommes, un que j’appelle « mon chenapan » et un autre qui est mon Educateur. Si j’ai fait ce blog, c’est pour vous faire partager la complicité que je vis avec l’un comme avec l’autre.

Vous trouverez donc des récits de l’éducation de mon chenapan, de mon éducation par mon Educateur, de fessées que j’ai reçues ou données avec d’autres personnes. Il y a aussi des récits tirés de mon imagination comme un long récit sur la vie au pensionnat, Aline et Thierry et d’autres.

J’ai essayé de classer cela par sujet et que j’alimenterai régulièrement. J’espère que vous vous y retrouverez et aurez plaisir à y revenir. Merci pour votre visite et n’oubliez pas les commentaires, cela fait toujours plaisir.

vendredi 11 septembre 2015

La vie dans le pensionnat... 15ème épisode

La fessée reprend, le père et la mère sont réglés comme des métronomes, pas de surprises, les 50 premières claques tombent une fois à gauche et une fois à droite. De vraies machines à fesser. Ils comptent jusqu’à 50 puis s’arrêtent. Ils font lever les deux religieux et inversent leur place pour que les religieuses puissent admirer maintenant les fesses du séminariste. On les penche de nouveau sur les bancs à fessées. Le séminariste tente de se frotter les fesses, ce qui est immédiatement repris par la Mère qui lui claque les cuisses à deux reprises.
  • Qui vous a autorisé à vous frotter les fesses, jeune homme ?
  • Euhh personne ma Mère
  • Alors pourquoi le faites-vous ?
  • Car cela me fait mal et j’espérais adoucir la douleur ma Mère
  • J’espère bien que vous avez mal, car une fessée n’est pas faite pour faire du bien. Et pourquoi avez-vous une bosse dans votre slip ?
  • Euhhh, je ne sais pas ma Mère, dit le séminariste en baissant les yeux, le visage rouge comme une pivoine
  • Je crois que l’épilation va faire rentrer dans l’ordre les problèmes physiques de votre séminariste, mon Père
  • Tout à fait, j’espère que vous avez honte d’être en érection quand la Mère vous fesse, dit le Père
  • Oui mon Père dit le séminariste.
  • Allongez-vous sur la table là, nous allons commencer par vous.
Les filles au grenier ne perdent pas une miette de la scène qui se déroule sous leurs yeux. Cela vaut le déplacement. Voir ainsi les fesses du séminariste, un pur régal. En plus il est en érection et elles vont le voir se faire épiler.
Le séminariste s’allonge sur la table, la Mère lui baisse la culotte à mi cuisse, ce qui entrave ses mouvements de jambes. La mère prend une bande de cire chaude, et l’applique sur le pubis du jeune homme. Elle appuie bien dessus et caressant le pénis qui durcit encore plus.
  • A la première bande, jeune homme, je vous promets que vous ne serez plus en érection
  • Mais je ne le fais pas exprès ma Mère
  • Je m’en moque, mais là dans quelques secondes, tout sera rentré dans la normale.
La mère décolle un bout de la bande et d’un mouvement sec, elle arrache et la bande de cire et les poils du pubis du séminariste. Et là se fait entendre un hurlement de douleur à vous crever les tympans. La mère lui claque les cuisses en lui ordonnant de se taire immédiatement. Elle demande au Père de faire le nécessaire pour qu’il arrête ce comportement de chochotte. Le Père lui met une boule dans la bouche et l’attache derrière la tête avec une ceinture. Les yeux du séminariste expriment une peur de ressentir de nouveau cet arrachement de poils. La Mère, avec un sourire pervers, remet une 2ème bande et l’arrache d’un coup. Les jambes du séminariste se referment instinctivement, ce qui lui coute immédiatement des claques à l’intérieur des cuisses et il se retrouve attaché à la table pour qu’elle puisse œuvrer sans être arrêtée constamment. Une dizaine de bandes plus tard, la pince à épiler dans la main, elle arrache les derniers petits poils disgracieux.
  • Je vous avais bien dit que votre pénis ne resterait pas longtemps en érection après un passage sur la table. Là il pend lamentablement. Quel douillet. Allez, arrêtez de pleurnicher et allez vous mettre sur votre banc, votre fessée est loin d’être terminé et je vous laisse votre bâillon, je ne veux pas vous entendre.
Le pauvre séminariste est très honteux de la situation, un sexe tout lisse et toutes les religieuses le voient. Il se dépêche de se rallonger sur le banc en se penchant légèrement pour ne pas rater un seul petit moment de l’épilation de la religieuse.
Le Père ordonne à la sœur de s’allonger car c’est à son tour de se faire épiler. La religieuse s’allonge. Ses poils sont bien noirs et très fournis. Le Père regarde cela d’un air horrifié en disant :
  • Mais c’est quoi cette jungle ? et ben ma petite, nous allons vous alléger. Passez-moi un peigne et une paire de ciseaux ma Mère svp. Il y a du travail.
  • Ohhhhhh mon Dieu, mais c’est horrible, confirme la Mère, vous n’avez pas honte ma sœur de cette foison ?
  • Je ne pensais pas que nous avions le droit de nous épiler ma Mère, dit-elle d’une petite voix
  • Ce n’est pas un droit mais une obligation, réplique la Mère. Allez mon Père, courage
Le Père coupe les poils pour pouvoir faire adhérer la bande de cire, puis il applique la 1ère bande, appuie bien dessus pour qu’elle attrape bien tous les poils, il pénètre un doigt dans le vagin de la sœur, un doigt sur le clitoris qu’il fait tourner doucement et quand il sent que la sœur se détend, il tire la bande d’un coup sec. Il poursuit quelques secondes les mouvements puis repose une 2ème bande. La sœur grâce à ce petit traitement de faveur, ne dira rien, bien au contraire, sa respiration s’accélère avant chaque bande de cire arrachée. Une fois entièrement épilée au niveau de son sexe, la sœur remercie le Père pour sa patience. Le Père lui répond par un petit sourire coquin que ce fut un plaisir. Il lui demande de rejoindre son banc, sa fessée va se poursuivre.
Les deux religieux sont en place, le père et la mère reprennent aussi leur place mais en sens contraire. Les fesses sont déjà bien rouges. 50 claques les attendent encore. La religieuse est sur un petit nuage et ne pense qu’à l’orgasme qu’elle va se donner tout à l’heure. Le séminariste se demande si un jour les poils repousseront. Mais allonger sur le banc, il a une vue magnifique sur les fesses de la sœur et sent son sexe redevenir dur.


Le père et la mère reprennent leurs fessées sur leurs fesses respectives. Tel un métronome, on entend les claques tomber de façon régulière. Et clac..clac…clac…clac…
Nos coupines dans le grenier sont en transe devant ce spectacle, elles n’ont même pas envie de parler mais leur regard sont éloquents. Des mains trainent sous les chemises de nuit. Certains yeux partent vers le haut dans le vide. Chipinette se mord la langue pour ne pas crier quand elle est submergée par son orgasme. Elle pose sa tête sur le sol, épuisée et transpirante. Que cela fait du bien.

Les fesses de nos religieux sont rouges carmin, de temps en temps le père ou la mère pose la main sur leurs fesses pour tester la température. Elles sont rouges et bien chaudes. Les 50 passées, ils arrêtent de claquer. Ils se relèvent avec l’accord de la mère sup.
  • Je vous avais annoncé une surprise tout à l’heure, la voici, on va commencer par vous mon cher collègue, dit le Père au séminariste. Allez, allongez vous sur le ventre sur la table
Le séminariste, toujours bâillonné, s’exécute avec crainte se demandant ce qu’on allait encore lui faire. Son sexe est au garde à vous, ce que la Mère n’a pas loupé.
  • Tiens tiens, une 2ème épilation serait-elle utile par ici, vous êtes encore en érection, la fessée vous fait de l’effet dites donc.
Il rougit de nouveau et s’allonge sur la table. La mère lui écarte bien les cuisses et d’une main elle lui écarte bien les fesses. Le séminariste sert des fesses par réflexe, ce qui lui vaut 5 claques supplémentaires. Il sent un liquide froid lui couler entre les fesses, un doigt le pénétrer dans son petit trou vierge. Puis un objet froid tente la pénétration, il essaie avec ses mains de repousser la mère. Le père arrive devant, lui attrape les mains et les maintient fermement tandis que la mère fait pénétrer un rosebud vibrant au fond de l’anus du séminariste. Celui-ci cache son visage, honteux de devoir subir cela, mais son sexe est encore plus dur. La mère passe une main par en dessous, attrape son sexe fermement et l’enferme dans une cage. Il se débat un peu mais une claque sur les cuisses, le pousse à retrouver son calme.

15 commentaires:

  1. Rohhhh ces deux là ils sont d une perversité
    Pauvre jeune séminariste et jeune fille ils subissent tous leurs vices lollll bravo toujours pour tes récits ma Sunny bisous

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  2. Bon. Il est temps de faire mon mea culpa. Etant moi-même partisan d’une certaine rigueur dans l’éducation, il a pu m’arriver de fermer les yeux sur quelques excès ou quelques dérapages que j’ai pu, à tort, considérer comme innocents. Cette négligence… non, je dirais même cette complaisance vient de trouver ses limites.
    Car il est des barrières que je ne saurais franchir, des causes pour lesquelles le militant rebelle qui sommeille en moi doit se réveiller et brandir bien haut l’étendard de l’indignation.
    Cette cause qui me tient tant à cœur est celle de la défense et du respect de la pilosité pubienne, voire même, si je ne craignais pas de choquer, de la pilosité pelvienne.
    Oui, j’ose l’écrire ici, le père et la mère me trouveront face à eux.
    Je condamne, de la manière la plus ferme, de tels agissements coupables, que ne sauraient justifier la moindre démarche pédagogique.
    Et j’irai même un poil plus loin (si je peux me permettre cette image hardie) : il est temps que quelqu’un se lève pour dire stop. Stop aux mutilations pileuses ! Haro sur la cire ! Que les rasoirs et les tondeuses se recentrent sur leurs missions premières et peut-être, peut-être retrouverons-nous enfin des lendemains qui chantent …

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    1. mais tu as tout à fait raison Max de te rebeller face à ce genre d'agissement!! je suis absolument d'accord!! mais bon moi j'aime bien quand mes chenapans ont les fesses épilées car c'est bien plus doux pour caresser quand même!!

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  3. rhooo les pauvres ils ne sont pas gatées looooooool

    le pere et la mere sont de sacrées specimens hihihi

    bravo chipinette

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  4. j'espère que la morale sera sauve à la fin de cette histoire. Que le séminariste et les choupinette auront leur vengeance. Que le père et la mère supérieur seront punis comme ils le mérite et auront du mal à s'assoir longtemps. Je m'en rejouis d'avance

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    1. Oui... Je comprends votre réaction. Le père et la mère méritent d'être sanctionnés. Mais en même temps, serait-ce bien moral que ce soient les éducateurs qui soient punis par des élèves insolentes et indisciplinées telles que Chipinette et consort?
      Pas si simple...
      Mais faisons confiance à notre fantastique conteuse pour démêler cet écheveau ! ;)

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    2. Ho oui ce serait encore mieux même si après Chipinette et consort mériteraient d'être sévèrement punies pour cet outrage

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    3. ah la suite de l'histoire nous le dira!!

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    4. comment cela max?? les pauvres élèves doivent subir de l'injustice à tout moment! elles ne font que sauvegarder leur honneur!! et toc!!

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  5. jai rien dis je me suis trompee d episose mdrr

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    1. Si c'est pour l'épisode 16, vous êtes un peu en avance, effectivement ... car il se fait attendre

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    2. gna gna gna pffff il est en ligne!!

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  6. Ca chauffe quand même dans ce pensionnat. J'ai connu ces endroits mais jamais ça lol.

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