Bonjour à vous qui pénétrez sur mon blog Mi-ange/Mi-démon. Tout d’abord, pour les personnes âgées de moins de 18 ans, merci de cliquer sur la petite croix rouge en haut à droite et BYE.

Bon maintenant que nous sommes entre adultes, je vous laisse découvrir ce blog. J’ai la chance de jouer dans le monde de la fessée, avec deux hommes, un que j’appelle « mon chenapan » et un autre qui est mon Educateur. Si j’ai fait ce blog, c’est pour vous faire partager la complicité que je vis avec l’un comme avec l’autre.

Vous trouverez donc des récits de l’éducation de mon chenapan, de mon éducation par mon Educateur, de fessées que j’ai reçues ou données avec d’autres personnes. Il y a aussi des récits tirés de mon imagination comme un long récit sur la vie au pensionnat, Aline et Thierry et d’autres.

J’ai essayé de classer cela par sujet et que j’alimenterai régulièrement. J’espère que vous vous y retrouverez et aurez plaisir à y revenir. Merci pour votre visite et n’oubliez pas les commentaires, cela fait toujours plaisir.

mardi 14 juillet 2015

La vie dans le pensionnat ... 9ème épisode



A la descente du train, Mère Supérieure en personne, attendait nos deux compères. Père Educateur explique à la Mère qu’elle n’a rien à craindre du jeunot, il lui a expliqué un peu ce qu’il allait se passer au pensionnat et ce qu’il lui arriverait s’il dérogeait au règlement. 


  • -   N’est ce pas Petit Coquin ?? dit Père Educateur en faisant un clin d’œil à la Mère Supérieure

  • Oui mon Père, lui répondit-il en rougissant jusqu’à la racine des cheveux

Leur arrivée au pensionnat ne passe pas inaperçue, les commentaires vont bon train, les élèves se demandent bien qui sont ces deux hommes, le Père et le petit jeunot.

Aline et Chipinette lancent les paris sur leurs présences ici.

  • Alors à votre avis, qui sont-ils ces deux hommes ?? on ouvre les paris, je parie 100€ qu’ils viennent pour nous faire la messe tous les dimanches matin et le petit jeunot, j’en ferais bien mon quatre heures !! dit Aline


  • Mais non Aline voyons, dit Chipinette en éclatant de rire, ils ont entendu que la Mère sup fessait ses élèves et ils veulent admirer le spectacle !!

  • Moi je parie 200€, qu’ils sont là pour se faire fesser par la Mère Sup, dit Hélène

Le petit groupe de chipies qui s’est constitué, Lilou, Hélène, Lady avec Aline et Chipinette, sont parties dans un délire en imaginant tout ce beau monde les fesses rouges à l’air. Les paris vont bon train, et l’argent s’entasse dans la main de Lilou qui récupère les paris. Elles ne font pas attention que des yeux sont fixés sur leur groupe et que l’argent qui passe de main en main ne semble pas plaire aux yeux qui regardent.

  • Tu vois, je te l’avais dit, elles sont insupportables, elles font des paris et je pense en connaitre le motif, dit Mère Supérieure

  • Oui je vois qu’il y a plus de travail que je ne le pensais, il va nous falloir établir un plan pour remettre ses petites pestes dans le droit chemin, répond Père Educateur

Toutes les élèves sont réunies en salle de permanence quand soudain la porte s’ouvre, un bruit de chaises se fait entendre quand les élèves se lèvent et un bourdonnement de « ohhh » en voyant rentrer Père Educateur, abbé Petit Coquin et Mère Supérieure. La religieuse qui surveille l’étude, lance un « silence immédiatement » peu convaincant en remarquant l’abbé et ses yeux bleus. Elle s’y noierait bien dedans. La Mère sup aperçoit le regard entre les deux et lance un regard très sévère à la sœur et intimant le silence si les élèves ne voulaient pas aller faire une petite course à pied de 10 kms avant le repas.
Le retour au silence fut immédiat et Père Educateur félicita notre Mère Supérieure pour son autorité. Et en regardant la religieuse et l’abbé, il leur dit qu’ils règleront cela plus tard.
Père Educateur se présenta. Il fit un long discours sur sa présence, il parle d’une étape sur son pèlerinage pour Rome, mais certaines élèves n’en croient absolument pas un mot !!! Des petits sourires s’échangent entre Aline et Chipinette, Lilou et Hélène. Lady lève la main pour poser une question et n’attend pas l’autorisation de parler et dit :

  • Et c’est qui le petit gars qui est avec vous ?

  • Mademoiselle Lady, vous viendrez me rendre une petite visite de courtoisie ce soir avant le repas, nous avons quelques règles élémentaires de politesse à vous faire comprendre, dit Mère Supérieure

  • Mais euhhhhhhhh je voulais juste savoir, c’est po juste !!!  dit Lady
  • Taisez vous, petite insolence, dit père Educateur, je serai aussi présent ce soir ma Mère

  • Très bien mon Père, dit la mère !

Lady se met à bouder car elle n’a pas eu sa réponse et elle pense qu’elle va se faire gronder.
Le groupe repart comme il est arrivé et on entend un bourdonnement de bavardages que la religieuse a bien du mal à faire cesser. Elle sait qu’elle va payer cher son manque d’autorité à leur arrivée. Cela fait 6 mois qu’elle est dans ce pensionnat et cela fait déjà 6 fois qu’elle a été punie. La mère sup l’avait prévenue que la prochaine fois elle ne pourrait pas s’assoir pendant au moins deux jours et qu’elle serait exposée pendant une heure aux autres religieuses. Mais là avec le père et l’abbé, elle craint une punition beaucoup plus humiliante.
La cloche sonne, c’est la fin de l’étude et les élèves se dirigent en silence vers leur chambre pour se prendre leur douche et se mettre en chemise de nuit règlementaire avant d’aller diner.
La Mère fait appeler Lady dans son bureau. Elle tape des pieds en disant qu’elle ne veut pas y aller. Elle a peur de se faire fesser par le Père. Ses « coupines » essaient de la rassurer, qu’il ne ferait pas une chose pareille. Elles arrivent à la convaincre d’y aller et rapidement car sinon cela va être pire.
Elle se présente devant le bureau et frappe doucement à la porte. Une voix d’homme dit :

  • Entrez !

Elle appuie sur la poignée et passe la tête par la porte et là elle voit le Père et la Mère assis derrière le bureau. Son petit cœur bat très vite.

  •  Allez entrez lady, vous jouiez moins la timide tout à l’heure, dit la Mère

  • Bonsoir ma Mère, bonsoir mon Père, dit Lady en pouffant de rire !!

  • Qu’est ce qu’il vous fait rire ?? demande le Père d’un ton sévère

  • vous êtes rigolos là tous les deux, dit Lady

  • « rigolos », vous allez voir que ce qui vous attend, vous allez aussi le trouver rigolo, répond la Mère

  • Mais euhhh c’est juste pour vous taquiner !

  • Nous ne sommes pas là pour nous faire taquiner, je vois que vous êtes en tenue règlementaire, mettez les mains sur la tête et mettez vous au coin et n’osez pas répondre, sinon vous doublez votre punition.


Lady se met au coin les mains sur la tête et attend cinq petites minutes, puis commence à siffloter et se balancer. Elle n’entend pas le père s’approcher d’elle, la prendre par l’oreille et la retourner.

  • Vous siffloter ?? vous vous ennuyez ?? demande le Père

  • Euhh ben oui, ce n’est pas marrant d’être au coin, et en plus, il n’y a rien à voir là

  • Très bien, nous allons vous donner une belle vue

Le Père s’approche de la fenêtre en tirant Lady avec lui, ouvrit en grand les deux battants, fait poser les deux mains sur le rebord extérieur de la fenêtre et lui dit :

  • Voilà maintenant vous avez une belle vue et tout le monde va pouvoir profiter de la fessée que vous allez recevoir et de vos pleurs et cris.

Là Lady se rend compte que toutes les élèves sont en bas et la voix du Père attire leur regard. Lady essaie de se retourner pour échapper à cette punition mais la main ferme du Père la maintient dans sa position et en se positionnant sur le coté, il attrape Lady par la taille et une main lourde et claquant s’abat sur les fesses de cette pauvre Lady. Les « aie », « ouille » sont au début dit d’une voix chuchotée mais au fur et à mesure que les claques résonnent dans la pièce, dans la cour, dans la tête de lady, et retombent sur ses fesses, ses cris se font de plus en plus sonores. Quand le Père soulève la chemise de nuit de Lady, elle se débat pour l’empêcher, mais rien à y faire, il était costaud et la maintenait bien. Un sourire satisfait se lit sur son visage quand il découvre que Lady porte une culotte blanche comme l’exige le règlement. Les claques reprennent sur la culotte, le tissu est bien fin pour supporter cette fessée. Lady tape des pieds, supplie le Père d’arrêter, qu’elle ne posera plus de questions sans être autorisée, qu’elle ne sifflotera plus au coin, elle promet tout ce qu’il voudra. Mais le Père est inflexible et poursuit cette fessée sans relâche. Puis il demande à la Mère de venir baisser la culotte à notre pauvre lady qui se met à hurler qu’elle ne veut pas, mais la Mère se fait un plaisir malin de le faire lentement, très lentement comme elle sait que le Père aime. Il la remercie, la Mère passe les mains sur les fesses de lady et faisant des commentaires du style :

  • Je vois que vous n’avez pas perdu la main mon Père, elles sont déjà bien rouges et bien chaudes, cette demoiselle dormira sur le ventre cette nuit et restera debout pendant les cours demain, je pense même qu’elle ne portera pas de culotte demain non plus.

Elle dit cela tout en caressant les fesses de Lady et en les pinçant un peu. Puis le Père reprend sa tâche avec la même ardeur qu’au début, il ne faiblit pas. Lady pleure en silence, ses épaules sont secouées par des sanglots. Le père arrête sa fessée puis la relève et lui explique que cette fessée n’est rien à coté de ce qui l’attendra s’il entend encore parler d’elle. Il lui confie la mission de prévenir ses « coupines » et pour que les autres comprennent bien aussi, il prend une pince à linge et attache le bas de la chemise sur son col pour bien la relever et ainsi que l’on voit bien ses fesses. Il la retourne vers la fenêtre, les fesses vers l’extérieur et il lui met les mains sur la tête et lui dit qu’elle restera ainsi pendant 15 minutes et qu’ensuite, elle pourra aller manger et sans baisser sa chemise.
Un quart d’heure plus tard, il lui fait un signe pour lui signifier son congé et lui rappelle qu’il allait la surveiller et gare à elle si elle baissait sa chemise. Notre petite Lady ne se fait pas prier et sort du bureau où elle espère ne pas y remettre les pieds.
Elle arrive en bas du bâtiment, un comité l’attend et elle leur montre ses fesses et leur transmet le message du Père Educateur en disant :

  • C’est une vraie peau de vache, pire que la Mère, ils sont faits pour être ensemble ces deux là. Vous avez intérêt à vous tenir à carreau car il a dit qu’il allait s’occuper de votre cas à toutes.

  • -      Et ben qu’il vienne le Père, on va lui apprendre la vie, on va élaborer un plan et il se rappellera à jamais de son passage, dit mystérieusement Chipinette.



25 commentaires:

  1. pauvre Lady mdr ^^ euh jpeux prendre sa place ?

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    1. je te rappelle que père Educateur était Italo et que tu as déjà pris ta place sur ces genoux!! lol

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    2. aaaaaaaaaaahhhhhhhhhhhhhhhh oui mais pas a la fenetre lol ca aurait aider mes fesses a rester fraiche

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  2. Pauvre Lady .... Oui... mais elle l'a bien cherché, quand même. Elle est pour le moins imprudente... voire effrontée!

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    1. Tout à fait Max et le pire est qu'elle est ainsi aussi dans la vraie vie!! des fessées qui se perdent!

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    2. ba oui pourquoi veux tu que je sois differente dans les recits ou en vrai pffff
      tu as qu'a les retrouver les fessées qui se perdent, c'est toi qui dois les donner

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    3. je peux faire donner aussi, tu le sais!!

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    4. faire donner ?? tu veux me faire croire que se n'est pas toi qui a perdu mes fessées mais ceux a qui tu les as délégué pfffff on peut pas leur faire confiance mdr

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  3. Lady est une vraie peste oui ! ton recit est génial mais ce qui est des réparties on va lui apprendre la vie je te reconnais bien là mdrrr

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    1. c'est sur que dans mes récits, on me retrouve dans mon langage de tous les jours!!

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    2. je confirme ;) une chipie vraie de vraie et qu 'on adore ;)

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  4. héhé exellent recit comme d'habitude

    felicitation pour ces beaux ecrits et je remarque quand meme que vu ce que je lis c'est moi le plus sage

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  5. et l'episode 10 il arriive quand ????????????????????,

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    1. C'est vrai ça ! Il arrive quand ?

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    2. je ne sais pas, j'ai peut être besoin d'être stimulée, encouragée, etc...

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    3. elle a besoin d'une stimulation marquante je pense

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  6. Belle et douce Chipinette.
    Je t'écris pour te dire que je suis un de tes fidèles lecteurs. Je suis devenu accro à la série "La vie dans le pensionnat" (saison 1), et j'aimerais bien savoir quel est le mystérieux plan élaboré par notre héroïne!
    Depuis le 14 juillet, je ne dors plus, je ne m'alimente plus, je ne suis plus que l'ombre de moi-même!
    Car une question existentielle me taraude : la petite Lady sera-t-elle en mesure d’enfiler une culotte le lendemain ?
    Il me faut une réponse, Chipinette ! Mon désespoir est infini ! Toi seule peut encore me sauver !

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    1. ahhhhhhhhhhhhhhh j'aime bien ce que tu écris, cela met du baume au cœur, je vais peut être me faire encore un peu prier!! sait on jamais !!!!

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    2. Euh non pas trop, parce que tu finirais par risquer de prendre une f...

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    3. tout de suite, les menaces!! pfffff!!! snifffff!! la voilà la suite!! mais pas parce que j'ai peur!! car même pas peur et même pas mal! na!!

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  7. ohhhhhh pas trop non plus tu as des fans impatients tu as un devoir de régularité lol non mais

    allez notre gour-esse du récit ;) ne te fais plus prier et nous ne nous fais plus attendre :p

    on en peut plus ;)

    g bisous :)

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  8. viiiiiiiiiiiittttttttttttttttttteeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee Chipinettttttttttttttteeeeeeeeeeee veux savoir se qui va arriver aux coupines

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