Bonjour à vous qui pénétrez sur mon blog Mi-ange/Mi-démon. Tout d’abord, pour les personnes âgées de moins de 18 ans, merci de cliquer sur la petite croix rouge en haut à droite et BYE.

Bon maintenant que nous sommes entre adultes, je vous laisse découvrir ce blog. J’ai la chance de jouer dans le monde de la fessée, avec deux hommes, un que j’appelle « mon chenapan » et un autre qui est mon Educateur. Si j’ai fait ce blog, c’est pour vous faire partager la complicité que je vis avec l’un comme avec l’autre.

Vous trouverez donc des récits de l’éducation de mon chenapan, de mon éducation par mon Educateur, de fessées que j’ai reçues ou données avec d’autres personnes. Il y a aussi des récits tirés de mon imagination comme un long récit sur la vie au pensionnat, Aline et Thierry et d’autres.

J’ai essayé de classer cela par sujet et que j’alimenterai régulièrement. J’espère que vous vous y retrouverez et aurez plaisir à y revenir. Merci pour votre visite et n’oubliez pas les commentaires, cela fait toujours plaisir.

dimanche 19 avril 2015

L'amie de Madame


Madame recevait son amie Sophie pour le weekend. Comme Sophie était déjà au courant de nos jeux, Madame avait décidé que je resterai dans mon rôle de chenapan pendant tout le temps de sa visite. C'était la deuxième fois qu'une autre personne allait être  témoin de nos jeux.

Mais la première fois ce n'était pas pareil puisque c'était avec  Nicole et Bruno. Il y avait donc un deuxième chenapan.

Selon Madame, son amie avait juste envie de voir par curiosité comment Madame s'y prenait avec son chenapan. Elle avait lu le manuel « d'éducation des garçons » écrit par Madame et voulait en savoir plus.

Nous sommes allés chercher celle que je devrais appeler "Mademoiselle Sophie" à la gare. J'ai vu arriver une superbe femme rousse aux cheveux mi longs. Un joli visage de porcelaine constellé de tâches de son. Je n'étais pas trop fier quand même d'être en bermuda, mais Madame exige toujours que je sois en culottes courtes. C'est moi qui ai porté sa valise jusqu'à la voiture, marchant derrière les deux copines qui avaient plein de choses à se raconter.

Comme Mademoiselle Sophie était débutante dans le domaine de nos jeux, Madame est restée très soft. Je les ai servies comme des princesses, faisant la cuisine, préparant la chambre de l'invitée, montant ses bagages. Sophie semblait apprécier les avantages d'être servie. Elle s'adressait à moi avec un petit air supérieur et amusé. Comme elles avaient beaucoup de choses à se raconter, j'étais cantonné dans les tâches ménagères.

 

Madame faisait preuve d'autorité naturelle et j'ai quand même eut droit à quelques claques sur les cuisses pour quelques fautes de service et une séance au coin pour avoir coupé la parole à ces dames. Mais sans plus. J'ai pris mon repas à la cuisine avant elles et j'ai fait le service à table. Heureusement Madame a renoncé à me faire mettre en jupe et tablier blanc comme elle en avait fait la menace auparavant. Service stylé, discret et silencieux pendant que ces dames bavardaient. Très vite la conversation tourna sur l'éducation des garçons. Mademoiselle Sophie ayant lu le livre voulut savoir plein de détails sur nos jeux. Madame était intarissable sur les avantages de posséder un chenapan bien éduqué. Mademoiselle Sophie, voulut connaître comment j'étais puni quand elle avait à se plaindre de moi. Je crois qu'elle aurait aimé que Madame me donne une grosse fessée déculottée devant elle, mais je me tenais à carreau et Madame ne voulut sans doute pas pousser le jeu trop loin. 

La question sexuelle fut également évoquée. J'étais en train de faire la vaisselle, mais j'entendais tout. Madame expliqua que j'étais à son service. Tous les services, précisa t'elle en baissant le ton. Même le service le plus intime. Mais que c'était elle qui décidait de tout et que pour éviter toute audace, son chenapan portait en permanence une cage de chasteté fermée par un cadenas dont elle seule possédait la clef.

  • J'ai lu ça dans ton livre, souffla la jolie rousse en rougissant un peu. Oui parce que tu lui demandes de te masser et même de te donner du plaisir... Il doit être excité dans ces cas là.

  • Son petit oiseau reste en cage. Le zizi en prison, voilà qui remet à sa place la fierté d'un petit mâle et l'oblige à ne penser qu'à sa Gouvernante. C'est moi qui décide de tout. Je suis propriétaire de son intimité.
 
La conversation en resta là. Il était tard. Fatiguée par son voyage en train Mademoiselle Sophie désira  regagner sa chambre. Madame lui demanda si elle désirait que je lui apporte, comme à elle, un verre d'oranges pressées. Madame s'en fait porter chaque matin au lit. Sophie eut un bref sourire:
 

  • Pourquoi pas... Volontiers. Un grand verre de vitamine pour bien commencer la journée.

Vers 10 heures (ces dames voulaient faire la grasse matinée), après avoir pressé les oranges a la cuisine et préparé le petit déjeuner, je suis allé porter le verre de jus de fruit à Madame. Puis j'ai frappé à la porte de Mademoiselle Sophie pour lui servir le sien. Elle me demanda d'entrer.
J'ai posé le verre sur la table de nuit. Mademoiselle me demanda d'ouvrir les rideaux. J'allais me retirer quand elle me fit venir près du lit. Elle s'était assise pour boire et je lui ai glissé un oreiller dans le dos. Je suis resté un moment, en attente, les mains au dos, comme je dois le faire avec Madame en l'attente d'un ordre. Mademoiselle Sophie but une gorgée puis reposant son verre me toisa de bas en haut avec un petit sourire amusé qui la rendait encore plus charmante:


  • Tu as toujours ton petit oiseau en cage,

  • Oui Mademoiselle. Madame l'exige.

  • Montre...
 
J'ai eu un instant d'hésitation, mais Madame m'avait bien prévenu : " tu obéis à mon amie, comme à moi-même. Je ne veux pas qu'elle ait à se plaindre de ton comportement. Sinon tu seras puni".
 
J'ai lentement fait passer mon tee-shirt par dessus la tête. En dessous je n'avais rien. Malgré ma gêne, j'ai plié mon tee-shirt de nuit et je suis allé le placer correctement sur le dossier d'une chaise à l'autre bout de la pièce traversant la pièce tout nu. Mademoiselle claqua des doigts et me fit signe d'approcher. Son regard était baissé sur mon sexe emprisonné dans la cage de chasteté. Quand je fus à portée de main, elle m'ordonna de mettre les mains au dos. Du bout des doigts, elle frôla mes testicules que la cage faisait saillir et gonfler. Puis elle pressa entre pouce et index le gland décalotté que l'étui de silicone étranglait. Par le petit orifice destiné à faire pipi, elle s'amusa à faire bailler le méat d'où une grosse goutte de mouille se mît à sourdre. 

  • C'est bien tu es entièrement épilé.

  • C'est Madame qui l'exige, lui répondit-je, excité par ses manipulations qui provoquaient une érection bridée, dont le seul effet se manifestait par un écoulement luisant et filant par le petit orifice de la cage.

  • C'est pratique... Rien à craindre pour une fille...pas même la vue indécente d'un sexe en érection dressé avec arrogance...
 
Elle délaissa mon sexe encagé pour frôler la pointe de mes tétons, qu'elle dit durcir en les faisant rouler sous ses doigts...
 

  • T'es tétons bandent... Mais ton sexe reste en prison...

  • Oui...Mademoiselle...
 
Elle tira les pointes plus cruellement, me faisant gémir de honte et de douleur mêlés. Puis sans me lâcher elle tira vers le bas, m'obligeant à plier mes jambes jusqu'à être à genoux. Elle joua à allonger mes tétons qu'elle lâcha enfin pour boire une bonne gorgée de jus de fruit. Puis reposant le verre sur la table de nuit, elle fouilla sous les draps. Elle se souleva un peu et je compris qu'elle venait de retirer sa culotte. C'était une culotte toute simple en coton. Elle l'agita devant mon visage, puis me la posa sur le nez:
 

  • Respire... Je l'ai portée toute la nuit.... C'est tout ce dont tu as le droit: renifler l'odeur des filles...
 
Son odeur était très excitante. On dit que les rousses ont une odeur particulière. J'adorais la sienne. La culotte de Mademoiselle Sophie avait un parfum épicé, musqué. Son odeur raviva mon érection brimée dans sa prison. Elle me fit renifler sa culotte un bon moment, le temps qu'elle termine son jus d'orange. J'aurais voulu que cela dure plus longtemps, le nez dans ses arômes. Mais elle reposa son verre vide et m'ordonna de me relever et de m'habiller. Quand je fus debout, elle essuya la mouille qui filait du petit orifice avec sa culotte roulée en boule. Puis elle claqua des doigts et me montra la porte de sa chambre sans autre commentaire. Je garderai longtemps dans mes souvenirs ce moment de plaisir et de frustration mêlés.    

17 commentaires:

  1. et ben ca a ete un bon week end pour un gentil chenapan

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    1. oui un excellent weekend, et nous nous sommes quittés le dimanche soir heureux comme tout!!

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  2. C'était quand même un peu dur pour moi mais Madame est seule juge. Je lui appartiens. Elle fait ce qu'elle veut de moi. Meme m'offrir à son amie si elle en avait l'envie

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    1. Bien sur, mais tu sais que je ne te mettrais jamais en danger, et que tu n'as rien à craindre mais c'était aussi ton désir sinon cela n'aurait pas eu lieu!!

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  3. C'est une histoire vraie ? Bien sympathique en tout cas. T'en as de la chance chenapan. Merci à Chipinette du coup ;)

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    1. Oui bien sur une histoire vraie, cela fait partie de l'éducation de mon Chenapan. et oui il se rend compte qu'il a beaucoup de chance de m'avoir comme gouvernante même ses fesses chauffent beaucoup!!

      Bisous à toi Ajenky

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    2. C'est vrai qu'il a une super gouvernante ton chenapan.

      Au fait, si jamais ta copine a envie de s'essayer à l'"éducation de jeune garçon", qu'elle n'hésite pas à me faire signe. Elle m'a l'air très sympathique. Je serais ravi de la rencontrer ^^

      Bisous la petite

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    3. vous allez me faire rougir là tous les deux!!! ben écoute le jour où elle se lancera, je lui parlerai de toi!! mais elle habite en province!!

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    4. On vas te faire rougir ... les fesses ^^

      Bah si on te dit que tu es une super chipie-fesseuse et au delà de ça, et avant tout, une belle personne c'est qu'on le pense.

      No soucis, pour ton amie et je parle sérieusement. Si vraiment ça lui plait, moi je suis toujours en recherche et ouvert à toute nouvelle expérience.

      Puis pas grave si elle vit en province, la distance ça se comble facilement. C'est surtout si le feling ne passe pas ou qu'on n'est pas sur la même longueur que ça peux bloquer. Après pour le reste on peux toujours s'arranger ;)

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    5. ben voilà je rougis!! pfff c'est malin et je parle de mes joues du haut!!
      Quant à celles du bas, mon fesseur sait parfaitement s'en occuper pour aussi les faire rougir!! :p

      Pour mon amie, pas de souci, je transmets le message, après je ne peux pas parler pour elle!

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  4. Oui Madame, j'ai beaucoup de chance d'être eduqué par vous. Nous sommes en harmonie: les désirs de l'une font les plaisirs des deux. Merci pour votre intransigeance notre séverité et votre ferme bienveillance

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    1. Mais de rien mon chenapan, c'est toujours un plaisir aussi pour moi!

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  5. Chipinette c'est quand que tu me fais rencontrer ton sage chenapan ?? histoire qu'il me dise comment il fait pour etre sage comme ca ^^

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    1. ben écoute, on verra, car je ne voudrais pas que tu me le dissipes car il est sage à coté de toi, et je doute que ce soit toi qui deviennes sage à son contact!!!

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    2. moi le dissiper jamais 0;D tu me connais il pourra me dire comment faire apres tout il est plus grand que moi donc voila et puis je sais etre sage

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  6. dites c'est quand vos prochaines aventures ??

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    1. bientôt, je recherche une image sur un chenapan à genoux au coin!! donc si tu trouves, je suis preneuse!! lol

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