Bonjour à vous qui pénétrez sur mon blog Mi-ange/Mi-démon. Tout d’abord, pour les personnes âgées de moins de 18 ans, merci de cliquer sur la petite croix rouge en haut à droite et BYE.

Bon maintenant que nous sommes entre adultes, je vous laisse découvrir ce blog. J’ai la chance de jouer dans le monde de la fessée, avec deux hommes, un que j’appelle « mon chenapan » et un autre qui est mon Educateur. Si j’ai fait ce blog, c’est pour vous faire partager la complicité que je vis avec l’un comme avec l’autre.

Vous trouverez donc des récits de l’éducation de mon chenapan, de mon éducation par mon Educateur, de fessées que j’ai reçues ou données avec d’autres personnes. Il y a aussi des récits tirés de mon imagination comme un long récit sur la vie au pensionnat, Aline et Thierry et d’autres.

J’ai essayé de classer cela par sujet et que j’alimenterai régulièrement. J’espère que vous vous y retrouverez et aurez plaisir à y revenir. Merci pour votre visite et n’oubliez pas les commentaires, cela fait toujours plaisir.

samedi 26 octobre 2013

Quand on provoque, il faut savoir assumer..... octobre 2013

En m’inscrivant sur un site de fessées, j’ai fait la connaissance d’une femme charmante, adorable, mais très espiègle. Une chipie dans toute sa splendeur. Elle provoque les fesseurs comme une chipie expérimentée sait si bien le faire et surtout sait oser le faire. Elle s’est donc frottée à Italo. Elle l’a provoqué aussi bien sur le tchat lors de nos discussions, que sur les différents posts où il commentait. Un jour, je l’ai prévenue qu’à force de penser que l’on était à l’abri, et ben le fesseur pouvait monter du sud pour voir sa chipie de Paris et que là elle ne le serait plus à l’abri et qu’elle devrait assumer toutes ces provocations à son égard. Mais elle se sentait tellement en sécurité, qu’elle frôlait l’inconscience. De plus elle refusait de donner le nom de son fesseur donc Italo ne pouvait même pas lui écrire pour lui demander de la remettre dans le droit chemin. Mais devinez !!!!!


Ce jour est arrivé. Je devais descendre dans le sud pour assumer toutes mes toutes petites bêtises et Italo décide qu’enfin de compte il allait monter car il voulait fesser la chipie qui ose le traiter de « bras cassés qui a de l’arthrose ». Il veut lui donner une bonne fessée pour la faire expier toutes ces provocations. Moi je me frotte les mains, je me réjouis d’avance. Ben quoi ?? C’est normal d’assumer quand on provoque et pas de raison que je sois la seule à me faire punir. Italo la prévient qu’il allait monter. Là cette délicieuse chipie fait déjà moins la fière. Et puis un soir que nous discutions gentiment sur skype toutes les deux, elle se sert de notre discussion, la transforme et l’envoie à Italo, et évidemment elle me faisait passer pour la pire des chipies en me faisant dire des paroles du style : « oh tu sais Italo, je le mène par le bout du nez, il me mange dans la main », ou « je sais très bien mentir donc je vais le rouler dans la farine », etc… bref des phrases que moi jamais je ne dirai.
Evidemment Italo a très vite réagi et m’a menacé de la pire des fessées que j’ai pu prendre et qu’en plus qu’il me fesserait devant cette chipie. Il lui a écrit la remerciant de l’avoir prévenu de toutes mes bêtises et que j’allais être sévèrement punie devant elle. Mais voilà, tout ne s’est pas déroulé comme cette chipie l’avait prévue, non, non, elle ne s’attendait pas à ce qu’Italo veuille me punir si sévèrement. Car certes c’est une chipie mais elle est très gentille et refuse l’injustice. Elle a donc avoué son méfait à Italo. Mais ce dernier a pensé que j’essayais d’amadouer notre chipie et qu’elle avait trop bon cœur de vouloir ainsi me défendre. Elle ne savait plus quoi faire et elle était si désolée pour moi voire même très contrariée. Elle m’a envoyé des mails d’excuses et m’a supplié de montrer la vraie discussion à Italo sur skype pour qu’il reconnaisse enfin son erreur. Bref, cela devenait très difficile pour elle et sa conscience.

Mais ce qu’elle ne savait pas, c’est qu’Italo m’a cru dès le début quand je lui ai dit que je n’y étais pour rien dans cette histoire mais il voulait donner une leçon à notre adorable chipie et a continué à pousser le bouchon et nous avons joué le jeu pour lui donner une bonne leçon. Mais c’est quand j’ai vu que cela la contrariait tant que cela, que je lui ai dit la vérité. Elle en était soulagée. Mais elle méritait une très sévère punition pour cela, il lui a même demandé de faire des lignes. Donc Italo lui a dit qu’elle pourrait se repentir puisqu’il monterait sur Paris. Notre chipie a demandé l’autorisation à son fesseur habituel de se faire fesser par Italo pour assumer ses bêtises et la voici arriver à la gare du RER, tremblotante d’angoisse de ce qu’il allait lui arriver.
Nous nous sommes retrouvés tous les 3 chez moi pour manger et discuter en toute amitié de notre passion. La chipie était plus détendue mais anxieuse de ce qu’il l’attendait. Italo a fait en sorte de la détendre, moi j’ai joué la chipie espiègle, j’ai reçu quelques claques sur les fesses par-dessus mon pantalon car je me moquais de lui puis le grand moment est arrivé, celui pour cette chipie d’expier ses fautes par une fessée sévère. Comme d’habitude, Italo lui a parlé du mot de passe s’il y avait le moindre souci, que ce n’était qu’un jeu, et rien qu’un jeu. Il m’a demandé de m’installer dans le fauteuil pour que je puisse assister à la fessée de cette chipie et que cela lui fasse bien honte d’avoir voulu me faire punir pour ses bêtises à elle. Il a installé cette dernière sur ces genoux, les jambes dans le vide et le torse et la tête sur mon lit. Elle avait demandé une faveur à Italo, c’est d’avoir un oreiller dans les bras pour cacher sa tête dedans. Faveur accordée. Et moi d’où j’étais je voyais sa tête, donc je lui faisais des grimaces pour la faire rire. Ce qu’elle fit à plusieurs reprises et fut encore plus punie. Et moi je reçus la promesse de m’en prendre une bonne après le départ de la dame. C’est pas juste quand même, je voulais la déstresser.

Italo pose sa main sur les fesses de la chipie, caresse doucement puis lève la main et voila que  commence la fessée sur la jupe, et oui il existe encore des chipies en jupe. Mais comme la jupe est épaisse, il l’a vite soulevée sur les reins. C’est vrai pourquoi se faire mal à la main alors que la chipie ne ressent pratiquement rien. Là il découvre que cette chipie a mis des bas, il apprécie beaucoup. Mais bon cela ne diminue pas la fessée qu’elle va recevoir. Aucune gratitude aux efforts. Il reprend les claques, tantôt à droite, tantôt à gauche, tantôt que d’un coté sur une dizaine de claques et idem de l’autre. Impossible de savoir où la claque va tomber. Moi je suis toujours là à faire rire cette chipie, et elle rit en mettant son doigt sur sa bouche en me faisant « chut » mais chipie je suis et chipie je reste, je ne lui épargne pas des claques supplémentaires. Mais là Italo trouve que j’abuse de la situation et me dit :

-          Chipinette, je te préviens que si tu continues, tu prends sa place immédiatement

-          Mais non, je ne veux pas, vous le savez

-          Alors tu te tiens tranquille et je ne veux plus t’entendre

-          Mais vous n’êtes pas gentil je trouve

-          Tu vas voir si je ne suis pas gentil, tu veux aller au coin, ainsi tu resteras tranquille

Ce que je ne fais pas, comme il a la chipie sur les genoux, il ne peut pas venir à moi, hé hé!!! Mais je boude dans mon coin, pffffff il n’est pas drôle, pour une fois que je peux faire le clown avec une autre chipie, il ne veut pas. Mais bon je reste un peu tranquille pendant qu’il continue à claquer la culotte de cette chipie. Et en plus il est content car elle a acheté une culotte blanche en coton comme il aime. Je trouve qu’elle fayote beaucoup cette chipie après l’avoir tellement cherché. Puis il décide qu’il a besoin de se reposer la main et l’envoie au coin, il coince le bas de sa jupe dans la ceinture pour que l’on puisse bien voir la rougeur de ses fesses, et je peux vous dire qu’elles sont bien rouges déjà et il ne fait que commencer.
Quelques minutes plus tard, il claque des doigts et hop la chipie est de nouveau sur ses genoux, et il lui dit qu’elle va recevoir une fessée de grande, c'est-à-dire déculottée, et là elle ose lui dire qu’il n’est pas obligé, et la fessée reprend plus vite que prévu. A plusieurs reprises, il exige qu’elle écarte les jambes car elle les sert et italo ne supporte pas fesser des chipies avec des jambes croisées. Moi je ris intérieurement. Elle morfle dis donc, il ne lui épargne rien. Puis il lui baisse doucement mais alors tout doucement la culotte puis la remonte et recommence de la baisser. Et il commence à lui claquer de nouveau ses fesses, il caresse, il claque beaucoup puis caresse puis reclaque.
 
 
Au bout d’un certain temps, il décide qu’elle mérite du martinet. Aie, ça va piquer. Il la fait s’installer sur le lit avec un gros oreiller sous le ventre pour rehausser ses fesses. Il la fait compter les coups puis reprend à la main. Ensuite il continue à la règle. Il ne lui épargne rien. Il exige même qu’elle dise entre chaque coup de martinet : « pardon Chipinette d’avoir essayé de te faire punir ». Bon là j’avoue que cela me gêne un peu !! On faisait tellement les petites folles que je l’avais un peu poussé à faire des bêtises.

Et voilà nouvelle pause, de retour au coin, ouf pour elle. Et là il lui dit :

-          Alors penses-tu que tu as été assez puni pour tes insolences et bêtises ?

-          Euhh non Monsieur

Alors là je pense qu’elle a perdu la tête, la fessée lui a trop secoué le cerveau, elle trouve qu’elle n’en a pas eu assez. Je vois un sourire satisfait sur le visage d’Italo.

-          Bonne réponse, que mérites-tu maintenant ?

-          Euhh de la ceinture je pense

-          Très très bien, Alors tu t’installes sur le lit

-          Oui

-          Oui qui ? lui dit-il en lui donnant une claque sur les fesses

-          Oui Monsieur


Là je crois que je vais m’évanouir. Elle demande de la ceinture alors qu’elle en a peur. C’est là que l’on reconnait une super vraie chipie qui assume ses bêtises jusqu’au bout !! Je suis admirative !! Elle s’installe de nouveau sur le gros oreiller. Elle cache sa tête dans l’oreiller et attend la punition avec la ceinture. Italo passe doucement sur les fesses de cette chipie, la ceinture, entre les cuisses aussi, la retire puis la repose doucement, il fait monter la pression dans l’attente du premier coup qui va tomber. Il lui précise qu’elle doit compter et qu’elle va en recevoir 20 coups. Et le premier tombe, fermement, la chipie compte 1 puis caresse et hop le 2 tombe aussi, etc... Jusqu’à 20, elle a été courageuse, elle a sursauté plusieurs fois mais pas un mot à part le fait de compter. Italo passe la main sur ces fesses, doucement, légèrement, il lui dit que ces fesses sont bien chaudes et bien rouges. Il me demande de venir voir et de toucher si c’est chaud. Ce que je confirme. Puis il me demande d’aller chercher la bombe d’Evian pour refroidir un peu ces fesses là. Ce que je fais pour m’éviter une punition supplémentaire, mais je sais ce qu’il l’attend. Une fois la bombe dans la main, il pulvérise les fesses de la chipie, un bon refroidissement, elle semble contente mais là surprise, il commence à claquer à la main sur des fesses mouillées. Aie aie, après tout ce qu’elle vient de subir. Il remouille à 2 reprises et continue de claquer !!
 
Et puis d’un coup, il annonce la fin de la fessée. Il considère qu’elle a expié toutes ces insolences, qu’elle a été très courageuse et mérite un bon massage de ses petites mains. Et là elle se décontracte, Italo prend le lait de corps et commence le massage fessier que cette chipie a bien mérité, elle se décontracte, ses fesses perdent doucement ses rougeurs, la chipie soupire d’aise. Puis Italo l’autorise à remettre sa culotte et redescendre sa jupe et le jeu est terminé. On va s’assoir sur le canapé et boire un verre d’eau qu’Italo nous sert. On discute de cette fessée puis la discussion passe à différents sujets. Et il est bientôt 16h, l’heure où la super chipie doit partir. On va la raccompagner au RER, on se fait de gros bisous et je lui dis de ne pas s’assoir sur les sièges du RER au risque de bruler les sièges, on rit tous les trois. Un dernier coucou et je me retrouve en tête à tête avec Italo qui me regarde d’un air bizarre et me dit : « à nous deux maintenant, tu vas morfler, tu as été particulièrement pénible et ta fessée sera à la hauteur de ton chipisme de cette journée. » et là je pense : « au secours, Edel revient, Italo n’est pas assez fatigué…. » Et oui la super chipie, c’était Edelweiss. Merci à toi Edel pour ce super après-midi !!

 

16 commentaires:

  1. j'adore a quand le recit de ta fessée Chipinette celle qui a suivit celle d'edel bien sur lol

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  2. ba tu peux l'ecrire non ??? pourquoi Italo devrait l'ecrire mdr

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    1. je te rappelle que j'ai un déménagement moi madame à faire et c'est pas en écrivant que les affaires vont se mettre dans les cartons!! :p

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  3. ha edel la chipie c'est une bonne fessée là quelle à recue mais elle aime sa la fessée hi hi

    JC

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  4. L'art de la vraie provocation, c'est de provoquer sans jamais en prendre une.
    Si cette novice dans cet art veut des conseils, je me ferais un plaisir de le lui donner.

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    1. je ne suis pas sure!!! quel intérêt de provoquer si ce n'est justement pour gagner le meilleur lot, c'est à dire une bonne fessée!! :-p

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    2. Tss, tsss Calinette. Justement, le fait d'à tout prix les éviter tout en les provoquant, fait que quand on en prend une, elle devient encore plus délicieuse.

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    3. je suis d'accord mais quand on provoque son fesseur qui est a 850 kms, on les évite sans problème!! mais quel délice de provoquer!! et quand enfin il se déplace sur paris ou l'inverse, alors là c'est l'apothéose!!

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    4. Quelque soit la distance en kilomètres ou centimètres, c'est un jeu subtil que de provoquer habilement et tout aussi habilement d'éviter la sanction, voir de faire morfler quelqu'un d'autre. Un titre de chenapan se mérite ! Maintenant, quand on joue avec le feu, forcement, parfois on se brûle et ce feu intense est un immense plaisir à condition que la fesseuse ou le fesseur soit crédible..

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  5. Si provoquer rapporte une bonne fessée, je vote oui.

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    1. oui mais toi même sans rien dire ou rien faire, tu en mérites!! mdrrr!!!

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  6. Ca s'est passé exactement comme le raconte Chipinette exception faite qu'elle était un peu plus " éteinte" car elle redoutait que je ne la fesse devant Edel. Quant à Edel, depuis le temps qu'elle me provoquait, je ne pouvais pas teop attendre pour lui rendre la momanie de sa pièce.

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  7. Ce fut un grand moment d'amitiè et de jeux entre adultes complices

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  8. Oui comme le dit Italo , ce fût un délicieux moment de jeux entre adultes consentants .
    Je n'étais pas très fière et pas fière du tout en arrivant chez Chipinette , mais touts les deux ont su me mettre à l'aise.
    Le moment de la fessée a été un délicieux moment à la fois de honte et de crainte (car je ne connaissais pas Italo .
    C'est un Monsieur très bien , très respectueux, très calme et d'une grande douceur .
    Attention, je ne veux pas dire que je n'ai rien senti , bien au contraire , une fessée c'est une fessée et pas des caresses mais tout en étant sévère Italo est très doux .
    Et franchement je veux bien le taquiner de nouveau si Chipinette est d'accord bien sur car c'est quand même son éducateur .
    Un grand merci à tous les deux .
    edel

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  9. Alors ne te gêne pas pour continuer de le taquiner Edel, il adore cela j'en suis sure car il se réjouit d'avance de pouvoir te fesser de nouveau!! et quand il te fesse, mes fesses se reposent!! lol!!!!

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