Bonjour à vous qui pénétrez sur mon blog Mi-ange/Mi-démon. Tout d’abord, pour les personnes âgées de moins de 18 ans, merci de cliquer sur la petite croix rouge en haut à droite et BYE.

Bon maintenant que nous sommes entre adultes, je vous laisse découvrir ce blog. J’ai la chance de jouer dans le monde de la fessée, avec deux hommes, un que j’appelle « mon chenapan » et un autre qui est mon Educateur. Si j’ai fait ce blog, c’est pour vous faire partager la complicité que je vis avec l’un comme avec l’autre.

Vous trouverez donc des récits de l’éducation de mon chenapan, de mon éducation par mon Educateur, de fessées que j’ai reçues ou données avec d’autres personnes. Il y a aussi des récits tirés de mon imagination comme un long récit sur la vie au pensionnat, Aline et Thierry et d’autres.

J’ai essayé de classer cela par sujet et que j’alimenterai régulièrement. J’espère que vous vous y retrouverez et aurez plaisir à y revenir. Merci pour votre visite et n’oubliez pas les commentaires, cela fait toujours plaisir.

mercredi 16 octobre 2013

Visite d'Italo à Paris... octobre 2013


L'intérêt d'un séjour chez sa chipie est que je peux exercer une surveillance permanente sur son comportement. Pour le cas de Chipinette, c'est un élément important car il ne faut jamais relâcher la pression. Mon autorité doit s'exercer 24h/24. Pas question de lui laisser la bride sur le cou car la belle aurait vite fait de reprendre du poil de la bête.


 
La journée de ma chipie commence à 8h30. A cette heure précise elle a obligation d'être en tenue et en position dans sa chambre. En tenue, c'est à dire en chemise de nuit mais sans culotte. Un tantinet pudique, mais surtout pour des raisons qui lui sont personnelles, la chipie garde sa culotte pour dormir. Fesses nues, elle aurait, paraît-il des problèmes d'endormissement, voire d'insomnie. A titre exceptionnel, je cède à ce caprice, estimant que la sensation d'exposer ses fesses à la fraicheur matinale après une bonne nuit passée dans ma moiteur et la chaleur d'une culotte de coton, offre des sensations bien plus intéressantes.

La position exigée est à plat ventre sur le lit, les reins rehaussés par un volumineux oreiller. Elle attend ainsi ma visite. J'aime bien qu'elle passe du temps à m'attendre ainsi, à l'affut du bruit de mes pas dans le couloir. De la porte qui va s'ouvrir. L'attente fait monter la  pression. Je sais ce qu'elle ressent au fond de son ventre (elle évoque une nuée de papillons). J'entre à pas de loup. J'aime la surprendre. Frôler du bout des doigts ses chevilles, ses mollets. Elle frissonne, la tête enfouie dans l'oreiller. Frôlements plus appuyés avec les ongles au creux des genoux. Je remonte à mi-cuisses. Glisse quelques centimètres sous la chemise de nuit. Chipinette étouffe un soupir au contact de mes doigts qui remontent avec une lenteur calculée sur la face interne de ses cuisses jusqu'à la base des fesses qu'elle crispe en un ultime mouvement de pudeur. Une petite tape agacée punit ce réflexe inacceptable. Chipinette a compris la leçon et se relâche.
Mes mains redescendent vers les mollets pour remonter avec lenteur jusqu'à l'ourlet de la nuisette. S'immobilisent. Puis poursuivent leur ascension, entrainant l'étoffe.  Tel un rideau de théâtre, la chemise de nuit se lève, dévoilant les cuisses puis les fesses nues. Celles-ci sous la caresse de l'air frais, se crispent, tandis qu'un faible " je vous en prie Monsieur, pas ça. J'ai trop honte" s'élève d'une petite voix assourdie par l'oreiller.
Le rideau est levé jusqu'en haut des reins. Le spectacle peut commencer. Chipinette lutte pour garder ses fesses serrées. Mais la position surélevée de ses reins ne rend pas la tâche facile. Je guette ce relâchement inévitable qui va lui ouvrir les fesses et offrir ce qu'elle a de plus intime à son éducateur. Elle ne tient pas bien longtemps et s'abandonne avec un gémissement vaincu.  Ma chipie s'ouvre du clitoris à l'anus. Je frôle du bout des doigts ses chairs dévoilées. Puis je prends possession de ses fesses convenablement présentées. Elles sont pour l'instant le clou du spectacle. Je les caresse. Main de fer dans un gant de velours. Je les pétris, j'en prends possession. Elles m'appartiennent. Chipinette étouffe un soupir honteux confrontée à l'imminence de son châtiment. Tout en lui caressant les fesses, je lui annonce la sentence au creux de l'oreille: une fessée à la main, longue et piquante qui ne prendra fin que quand j'estimerai suffisante la rougeur de ses fesses.
 


Puis elle ira prendre sa douche pendant que je préparerai le petit déjeuner (eh oui je suis un éducateur mais sûrement pas un macho!). La fessée commence. D'abord des tapes un peu lourdes qui font balloter ses fesses. Une jolie teinte rosée commence à décorer les joues rondes de la punie (celles d'en bas, et certainement celles d'en haut, enfouies dans le moelleux de l'oreiller).
 
Petite pause-caresse, puis sans prévenir, j'assène une bonne dizaine de claques sèches et sonores. Chipinette crispe ses cuisses sous la grêle et pousse un petit cri. Je cesse et frôle du bout des doigts les fesses qui, cette fois, commencent à passer du rose au rouge. Chipinette s'abandonne sous la caresse apaisante de ma main. Du bout de l'index je touche le liseré d'une petite lèvre afin qu'elle se sente bien ouverte, bien offerte. La coquine est trempée. Je fais clapoter un doigt lui arrachant des sanglots honteux. Puis les claques reprennent. Sonores, imprévues. Je la fesse sans discontinuer, alternant de douloureuses claques du bout des doigts, avec d'humiliantes frappes avec la paume de la main qui la font tressauter sur le lit. Ses fesses son marquées de toutes les nuances de rouge. Sur les cotés, mes doigts ont dessiné des marques pourpres. Cela fait maintenant trente cinq minutes que la fessée a commencé.
Petite pause-caresse pour amollir ses dernières résistances. Puis sans prévenir je claque de plus belle. Déroutée la punie fait danser ses cuisses dans tous les sens. La fessée est impitoyable. Elle sursaute sous l'avalanche de claques, gémit, pleurniche, supplie... La correction cesse enfin. Ma montre indique que la fessée a duré quarante cinq minutes. Elle ne peut réprimer quelques sanglots étouffés par l'oreiller. Je lui relève la tête pour voir ses yeux baignés de larmes. C'était une fessée sévère. Anéantie, la chipie aux fesses écarlates, est sans réaction quand je lui pétris les fesses à pleines mains. Je les écarte, dévoilant sa vulve que j'écarquille entre deux doigts... pour y glisser l'œuf vibrant. Un deuxième supplice attend la punie que j'envois au coin cul nu. Je lui glisse le manche du martinet en sandwich entre les fesses qu'elle doit serrer. Si elle le laisse tomber, ce sera vingt coups de martinet. Elle est prévenue. Ce n'est pas la première fois. Je m'installe dans le fauteuil pour la surveiller. Dans la paume de ma main droite je tiens la télécommande. Selon l'inclinaison, les vibrations vont crescendo. Toujours débuter lentement. Chipinette commence à s'agiter dans son coin. Ses cuisses se crispent au gré des vibrations de l'œuf au fond de son ventre. Ses fesses cramoisies se crispent et se relâchent. Résistera t-elle longtemps avant de perdre tout contrôle?

17 commentaires:

  1. pffff dis donc, tu racontes des choses très intimes là quand même!!! j'espère que tu ne vas pas raconter ce qu'il s'est passé ensuite!!! quelle honte!!!

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  2. non mais tais toi la pestouille là!!! c'est pas possible de raconter tout!! :p

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  3. Ah ben oui on veut savoir la suite!! Je pense que Chipinette ne va pas tenir très longtemps!! Gniark Gniark Gniark!!

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    1. mais non, il dort, il a besoin de beaucoup de repos après sa semaine de vacances chez moi donc pas de suite!! non mais!!!

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  4. pestouille pestouille ya pire que moi non mais ya toi Chipinette la preuve Italo est obligé de venir te voir en urgence chez toi pour te remettre dans le droit chemin mdr

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    1. mais ma petite Lady, on a la classe ou on ne l'a pas!!! moi j'arrive à faire monter mes fesseurs du sud à paris pour me fesser, c'est cela d'être irrésistible!! mdrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrr et au niveau pestouille, tu es pas mal non plus!! :p

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  5. oui oui la suite encor plus humiliante pour chipinette hi hi Madame les fesses a l'air bien punie

    JC

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  6. Depuis quand c'est à la Chipie de dire s'il faut continuer ou pas ??? A-t-elle au demeurant autant de pudeur pour son chenapan ?
    Qui ne se délecte des fessées reçues par Chipinette ?

    Donc le public réclame la suite !

    Doumik

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    1. Depuis quand?? mais depuis que la chipie fesse les fesseurs et chenapans, elle se croit tous les droits dont celui de décider si suite il y aura ou pas!!

      bon j'espère que Italo ne verra pas cela!!! :p

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    2. je suis bien d'accord avec toi Chipinette , mais pas pour toi qui est la reine des chipie lol
      J'espère bien qu'Italo lira ton petit message.LOL

      edel

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    3. Je voudrais signaler à Anonyme de faire attention à ce qu'il écrit, si il est bien la personne à qui je pense , ce n'est donc pas la première fois qu'il commet des indiscrétions et ça je ne peux l'accepter . Je n'aurai jamais dû rencontrer ce monsieur , c'est une erreur de ma part .
      Dans le cas ou il persisterai , je me retirerai aussi bien de ton blog Chipinette , que de PPM et aussi surtout de F à C ou là il a été à la limite de l'incorrection je dirai même de l'insulte.

      Je suis désolée Chipinette mais je ne peux accepter cela .

      edel

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    4. Je n'avais pas fait attention à la réponse de JC que j'ai supprimé, et je suis d'accord avec toi!! donc ne t'inquiète pas, les indiscrétions sont retirées et le seront à chaque fois! bisous Edel! et ne sois pas désolée, tu as raison de ne pas l'accepter!

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  7. Son éducateur à la maison, ça doit prendre bien de la place lol.

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    1. oh que oui et être fessée ensuite dans toute la maison, tu as du mal à l'oublier une fois parti!!

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