Raconter
toutes les péripéties de ces cinq jours de recadrage? Impossible certainement
car il s'est passé tellement de choses! Je tenais à "marquer le coup"
le premier soir. Chipinette avait accumulé tellement de motifs à punitions
qu'il était important de bien marquer nos rôles respectifs dès le premier soir.
Tout d'abord, ne jamais oublier que ce n'est qu'un jeu entre deux adultes
consentants. Et que dans tout jeu, il y a des règles. La plus importante est
que rien n'est possible que si les deux protagonistes sont en totale harmonie.
C'est pourquoi nous avons établi un " safe word" un mot de passe qui signifie que dès que l'un
de nous deux ressent un malaise, il le prononce et l'autre a l'obligation
d'orienter le jeu différemment. C'est indispensable.
Chipinette, sitôt installée et restaurée, a été convoquée dans sa chambre pour une première fessée, largement méritée. Je n'aime pas commencer par les fesses nues, ainsi, la chipie a d'abord reçu une fessée sur son pantalon, en position " gamine" c'est à dire sur mes genoux. Puis elle est allée au coin, méditer sur la suite, c'est à dire sur la fessée " en culotte" qui allait suivre.
Comme convenu, Chipinette portait la culotte en coton blanc
obligatoire dans son trousseau de pensionnaire pendant ces cinq jours. C'est
dans cette tenue, que le nez au mur et les mains sur la tête qu’elle a attendu
le claquement de doigts lui intimant l'ordre de reprendre "sa"
position sur mes genoux. Sa culotte échancrée sur les rondeurs charnues de ses
fesses montrait bien la jolie couleur.
Contrairement à ce qu'elle affirme, j'ai
longuement caressé et frôlé du bout des doigts son épiderme échauffé par les
premières claques. Puis insensible à ses supplications, j'ai commencé à frapper
tantôt la fesse droite, tantôt la gauche, insensible à ses suppliques, ses
gémissements et ses crispations fessières. Elle a vite compris qu'il était inutile
de résister à son juste châtiment et que le mieux était de s'offrir le mieux
possible à la punition quelle méritait depuis longtemps. La fessée s'est
poursuivie. Claques sonores qui faisaient danser ses fesses. J ai échancré la
culotte pour qu’elle ait un avant-goût de la fessée déculottée qui allait
suivre. Matée, la punie, s'offrait, osant parfois serrer les fesses, mais les
relâchant bien vite car ainsi crispée, la correction devenait plus douloureuse.
Chipinette a été remise sur pieds. Face à moi, les mains sur la tête, elle subit
un humiliant déculottage. Car c'est cul nu que devait se dérouler la dernière
partie de sa fessée " d accueil" . Honteuse, Chipinette serrait les
cuisses, mais une claque sonore la rappelait à l'obéissance. Elle me montrait
ses poils et je lui ai rappelé l'épilation obligatoire prévue le lendemain.
Retour au coin pour quelques minutes de méditation, mains sur la tête et
culotte baissée. J'en ai profité pour lui caresser les fesses, déjà bien
cramoisies et bien chaudes. Puis Chipinette, soudain bien obéissante a retrouvé
sa place.
Après quelques claques, j'ai vu que ses épaules étaient secouées.
J'ai cru à un retour de ses désormais célèbres crises de fou rire, mais je me
suis aperçu qu'au contraire, ma chipie sanglotait. Ce n'était pas une de ses
éternelles comédies pour m attendrir, mais bien un de ces gros chagrins qui
vous fendent le cœur. Alors j'ai retourné la chipie et je l’ai prise dans les
bras pour un gros câlin. Elle avait de vraies larmes de petite fille. Du coup
le jeu a pris fin. Elle m'a rassuré: cela n'avait rien à voir avec une
quelconque sévérité de la fessée, juste un trop plein d'émotion qui emportait
ma chipie.
Je lui ai rappelé les règles élémentaire du " mot de
passe" à utiliser dès que le jeu ne devenait plus "excitant" .
Elle avait oublié! Ça valait bien une fessée supplémentaire mais j'ai préféré
lui appliquer un massage apaisant à la crème d’arnica sur les zones enflammées.
Et un gros câlin a suivi avant que je ne la borde et éteigne la lampe de chevet.
La chipie s'est endormie aussitôt du sommeil de l'innocente. La suite nous
prouva qu'elle ne l'était pas autant que cela (innocente).
C'est intéressant d'avoir les deux versions. Merci Monsieur l'Educateur !
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