Pendant
ce temps, le repas commence à être servi aux autres élèves, qui mangent tout en
regardant le spectacle qu’offrent le père et Lilou. Mais le bruit des couverts,
des assiettes et du repas, couvre la discussion de Lilou et le père. Certaines
aimeraient bien savoir ce qu’ils se disent.
Je vous ai posé une question, Lilou, dit le
père en commençant à lui donner quelques claques sèches pour ne pas avoir
répondu à sa question
- Euhhh comme je vous l’ai dit, je le fais vi..
Et
des claques plus fortes car il sait que Lilou se moque littéralement de lui.
- Je répète ma question mademoiselle Lilou : que faites vous avec ce canard ?
- Mais aie, que voulez vous que j’en fasse de ce canard, lui dit-elle très provocatrice
- Ah bon, vous le prenez ainsi, et ben nous allons accélérer la cadence
- Mais non mon père, mais que voulez vous que je vous dise, que je me caresse pour obtenir un orgasme ?
- Absolument, dites moi la vérité et racontez moi commence cela se passe
- Mais mon père, c’est intime cela, je ne peux pas vous dire cela comme ça
- Mais si mon enfant, un prêtre peut tout entendre en confession et je ne le répèterai pas, même à vos parents, dit le père très intéressé
- Mais il y a trop de monde là, dit Lilou
- Mais non, elles sont toutes occupées à manger et le bruit de mes claques couvrent vos paroles, alors je vous écoute, vous vous caressez et vous cherchez l’orgasme ? dit le père plus caressant
- Oui mon père, je sais que ce n’est pas bien, mais j’en ai grand besoin pour me calmer
- Très bien ma fille, dit-il en lui claquant les fesses tranquillement, je vais donc vous mettre votre canard entre les cuisses et vous savez qu’il vous sera interdit de jouir, sinon vous serez fessée au martinet
- Mais vous êtes très dur mon père, cela va être difficile, dit Lilou d’une toute petite voix
- Je le sais mais le plaisir sera plus intense ce soir quand vous viendrez me rejoindre pour la fin de votre punition
- Ah bon, mais vous ne l’aviez pas dit, dit Lilou étonnée mais réjouit au fond d’elle
- Et bien je vous le dis mais cela restera exclusivement entre nous, aucune de vos coupines devra être mises au courant
- Bien mon père
Le
père passe ses doigts dans l’élastique de la culotte de Lilou, et la fait
descendre doucement, tout doucement jusqu’aux pieds, il passe une jambe entre
ses cuisses et la force à s’ouvrir en pliant les genoux. Sa main claque
toujours un peu les fesses de Lilou et parfois un doigt s’égare entre ses
petites lèvres, il lui fait honte en lui disant qu’elle est très humide. Lilou
est aussi rouge sur ses joues du visage que ses fesses. Le père prend le canard
qui est sur la table, et vient le passer contre le sexe de Lilou. Il met en
marche dans une intensité faible, le but étant de l’exciter mais pas de la
faire jouir, il s’occupera d’elle ce soir après sa réunion. Lilou est toute
émoustillée. La fessée reprend de plus belle pour que les fesses de notre Lilou
soit bien rouges et bien chaudes. Puis il lui ordonne de remonter sa culotte en
haut des cuisses, pour que l’on puisse voir ses belles fesses rouges et qu’elle
tienne ainsi le canard contre son sexe. Puis il la fait se mettre à genoux au
coin, les cuisses bien serrées. Il attache la jupe dans la ceinture de sa jupe.
Toutes les filles peuvent admirer le chef d’œuvre du père. Nous ne connaitrons
pas les pensées de Lilou à cet instant précis mais on pourrait presque les
deviner si nous pouvions voir son joli sourire.
Les
religieux repartent après le repas et après avoir autorisé Lilou à prendre son
repas. Cette dernière est intérieurement très heureuse par cette magnifique
fessée qu’elle vient de prendre et ne se plaindra pas auprès de quiconque ou
alors fera semblant juste pour faire croire. Elle attend avec impatience 23h
pour rejoindre le père dans le bureau de la mère sup pour poursuivre leur
« conversation ».
Le
père ferme la porte derrière lui, s’assoit sur une chaise, attrape le poignet
de notre mère sup, et la tire vers lui sur ses genoux. Ses mains se posent sur
ses fesses et il respire profondément en pensant à la suite de la journée. Il
attrape la télécommande de l’œuf vibrant, le met en position 2, la mère émet un
petit gloussement, puis commence la danse des mains sur les fesses de la
religieuse. Le père relève les jupons de la mère, il replace doucement la
culotte sur ses fesses, augmente à 4 la vibration et la mère pousse un petit
cri. Le père poursuit la danse sur les fesses, la mère respire par saccade de
plus en plus rapide, elle sait qu’elle a l’interdiction de jouir, le père ne le
veut pas. Puis le père baisse doucement la culotte de la mère, un long frisson
parcourt le corps de la mère. Les doigts du père se font inquisiteurs et
descendent vers le sexe de la mère pour vérifier si l’œuf est en bonne
position. Il reprend la fessée, les fesses de la mère sont déjà bien chaudes et
rouges, il écarte une jambe qu’il coince entre ses deux jambes, elle essaie de
se débattre car il a une vue magnifique sur son sexe. Les claques se font de
plus en plus sensibles. La mère tend une main vers ses fesses, le père la
bloque dans le dos. La mère essaie de se frotter sur la jambe du père, le désir
se fait de plus présent, elle a du mal à se retenir. Le père le sent et arrête
l’œuf, la mère proteste et il lui dit :
- Que dit-on ?
- Oh non pas cela
- Je t’écoute, lui dit-il en remettant l’œuf à 2 et en reclaquant les fesses
- Stp laisse moi jouir
- Mieux que cela, tu peux faire mieux
- Tu m’agaces père
- Tant pis pour toi, je vais te laisser l’œuf à 2 toute la journée et la culotte de chasteté et tu vas souffrir. Dit le père
- Tu es ignoble
- Je sais mais tu aimes, donc que dit-on ?
- Père, me donnez vous l’autorisation de jouir svp ? demande la mère
- Très bien mon enfant
Le
père augmente l’œuf, met un doigt sur le clitoris de la mère et tourne autour,
la respiration de la mère s’amplifie et l’orgasme la submerge. Il aime ce
pouvoir sur la jouissance des femmes comme cela. Les voir se tortiller car
elles ont envie mais les empêcher d’aller jusqu’au bout, sauf quand lui en
décide. C’est vrai qu’il est un pervers.
Le
père pense à la petite Lilou qui ce soir sera sur ses genoux à la place de la
mère sup. Elle va aussi devoir le supplier d’augmenter l’intensité de son
canard.
- Allez debout ma mère, le travail nous attend. Nous avons une réunion à préparer pour ce soir.
- Oui c’est vrai. Je ne me sens pas tranquille de devoir quitter le pensionnat quelques heures
- Mais que veux-tu qu’il se passe, lui répond-il, nous le laissons sous l’autorité d’une sœur expérimentée
- Oui je sais, allez au travail
Il
est 19h et les deux religieux quittent le pensionnat, sous le regard des
chipies d’internat. Chipinette se précipite dans le secrétariat du bâtiment
administratif et écrit un long mail à l’Evêque :
Monseigneur,
Je suis une élève du
pensionnat de saint cul-te et j’aimerais porter à votre connaissance des faits
qui s’y passent, assez particuliers. Vous en conviendrez surement comme moi
quand je vous les aurais expliqués.
Le père et la mère sup
utilisent des méthodes pédagogiques assez bizarres et surtout ils ont des jeux
entre eux, qui nous surprennent, nous un petit groupe d’élèves. Nous sommes
assez choquées de voir cela dans un établissement ayant une si bonne réputation
de discipline et de résultats scolaires.
Demain soir une élève sera
punie au donjon et recevra devant tout le pensionnat (élèves et religieuses)
une fessée déculottée. Certaines ayant déjà subi cela, ont même eu un orgasme
dû aux caresses du père.
Vous comprendrez notre grand
étonnement face à cette situation et nous comptons sur votre présence parmi
nous pour vous montrer cela. Nous vous ferons rentrer par l’arrière du
pensionnat et vous ferons monter au grenier du donjon pour que vous puissiez
voir de vos propres yeux la scène.
Respectueusement
Une élève
PJ : des photos et
vidéos prises à leur insu
Chipinette
appuie sur « entrée » et voilà le mail est parti, espérons qu’il
vienne demain soir.
vive les jouets pour adultes !
RépondreSupprimertu trouves aussi?? lol
SupprimerEt bien voilà! Après d'interminables semaines d'attentes, l'épisode 20 est enfin sorti!
RépondreSupprimerIl était temps : je n'étais plus que l'ombre de moi-même; j'errais, hagard, pas rasé, pas lavé, dans les bas-fonds de la capitale. Je me morfondais dans des bars sordides en m'envoyant des tord-boyaux frelatés et en fumant des mégots ramassés ça et là ...
Mais aujourd'hui, je revis : j'ai redécouvert les vertus de l'eau! Je me suis délecté à la lecture des aventures délicieuses et revigorantes des protagonistes du pensionnat.
Moi, je dis : ce blog devrait être remboursé par la sécu!
Chère Chipinette Noëlle, serait-il possible d'avoir l'épisode 21, le 24 décembre au soir, sous mon sapin , s'il te plaît ?
vi, Chipinette nous manque trop quand elle est pas là...
Supprimerah oui tout cela?? je suis surprise des vertus de ce blog, mais si tu le dis Max, c'est que c'est surement vrai!!!
SupprimerMaintenant comme je suis aussi une chipie, quand un fesseur me réclame un récit, juste pour le taquiner, et ben je ne le mets pas!! je sais je suis une zhorrib!! :p
héhé comme dab bien joli recit fait par notre chipinette d'amour hihi
RépondreSupprimermerci VG!!
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