Aline
baisse la tête, elle sait qu’elle n’a pas le courage de Chipinette. Elle lève
la tête et croise le regard de son amie qui lui dit que non. Aline répond à la
Mère qu’elle ne partagera pas la punition de Chipinette.
La
Mère se retourne vers le public et demande si quelqu’un veut partager le sort
de Chipinette. Toutes les élèves baissent la tête. Personne ne veut être à sa
place. La Mère se retourne vers notre Chipinette et lui dit :
- Vos amies vous abandonnent ma chère demoiselle, vous allez devoir subir seule vos 10 coups de martinet. Vous préférez les prendre 5 par 5 avec une pause ou les 10 d’un coup ?
- Les 10 d’un coup ma Mère, je préfère !
- Très bien, il en sera fait comme vous le désirez, lui répond la Mère
La
Mère passe le martinet le long des fesses et des cuisses de Chipinette, elle
prend son temps, recherche à faire monter son appréhension.
La
Mère lui rappelle pourquoi elle est punie, elle parle, parle, tout en caressant
les fesses de Chipinette, tantôt avec le martinet, tantôt avec sa main.
Chipinette
sent les papillons de son ventre se faire de plus en plus nombreux, elle sent
une grande moiteur au niveau de sa vulve. Elle pense aux caresses qu’elle se
donnera quand elle pourra s’échapper d’ici. La Mère lui avait dit qu’elle
serait attachée cette nuit mais là c’était l’après-midi, elle aurait le temps
ensuite.
Elle
en était là dans ses pensées quand soudain elle sentit le cuir des lanières
claquer ses fesses, pas très fort, mais suffisamment pour la sortir de ses
pensées. Chipinette retient quelques petits cris pour ne pas donner
satisfaction à la Mère Supérieure !! Elle en compte déjà 5, elle en est à
la moitié !!
Puis
la religieuse s’arrête et la prévient que les cinq derniers coups seront plus forts
pour qu’elle se souvienne que l’on ne se moque pas impunément d’elle comme elle
le fait régulièrement !!
Chipinette
ferme fort les dents et les lèvres pour assumer les 5 derniers coups !! le
premier vient claquer sur le bas des fesses, les lanières s’enroulent sur le
coté, le 2ème, vient claquer un peu plus haut. La mère supérieure
s’arrange pour faire claquer sur toutes les fesses pour qu’elles soient ainsi
bien marquées pour que les élèves comprennent la leçon. La punition se termine
pense Chipinette, mais elle oublie l’exposition de ses fesses à tout le
pensionnat. Elle attend sagement que tout se termine.
La
Mère supérieure fait passer les élèves et les religieuses devant les fesses des
deux punies. On entend parfois des petits cris d’horreur, certaines pensent
qu’elles n’aimeraient pas être à leur place.
La
mère supérieure propose aux élèves de toucher la chaleur des fesses d’Aline et
Chipinette mais elles n’osent pas. Du coup, elle attrape les poignets de deux
d’entre elles et les force à toucher les fesses de nos deux fessées en disant :
- Allez, touchez Mesdemoiselles Hélène et Lilou, un jour ce sera votre tour et surement rapidement d’après ce que j’ai entendu me rapporter par Sœur Brigitte.
- Oh non ma Mère, cela ne se reproduira plus, nous avons compris la leçon, n’est ce pas Hélène, dit Lilou
- Je l’espère ma petite Lilou, je l’espère.
- Et notre petite Lady, a-t-elle compris la leçon en attrapant la demoiselle par le chemisier, elle était entrain de se moquer de ses camarades, avez-vous envie de tester de mon martinet Mademoiselle Lady ?
- Oh
non ma Mère, dit-elle en ravalant son fou-rire.
-
Parfait, alors tout le monde dehors, et je ne
veux rien entendre dans les rangs. Mes Sœurs, je vous charge de faire régner le
silence.
On
entend plus que le bruit des pas et froissement d’uniforme dans le donjon
jusqu'à ce qu’il ne reste plus que nos deux pensionnaires et la Mère
Supérieure.
Elle
détache Aline et lui ordonne d’en faire autant avec Chipinette. Elles se
retrouvent toutes les deux devant la Mère Supérieure, les fesses rouges et bien
chaudes, les mains essayant de cacher leur sexe. Elle leur ordonne de mettre
les mains sur la tête et les contourne pour admirer son chef d’œuvre. Elle en
profite pour passer les mains sur les fesses de chacune d’elles. Chipinette se
recule, elle reçoit une bonne claque sur les fesses pour ce geste.
Chipinette
se permet de souffler et en reçoit une 2ème qui résonne dans le
donjon. La mère lui dit :
- Dites donc jeune demoiselle, cette punition a été encore de trop courte durée que vous vous permettiez ce genre de comportement, désirez vous un petit surplus ?
- Non ma Mère, je vous prie de bien vouloir m’excuser, c’est la douleur qui m’a fait ainsi réagir.
- Parfait, j’espère que cette douleur restera quelques jours pour que vous n’oubliez pas ce que je suis capable de faire aux effrontées et menteuses de votre genre et croyez moi que je suis capable de beaucoup plus, lui répondit-elle avec dans le regard un éclair de sadisme. Vous pouvez disposer Mesdemoiselles et vous viendrez ce soir récupérer vos vêtements dans mon bureau. En attendant vous resterez les fesses nues pour que toutes vos camarades puissent vous admirer et vous n’êtes pas dispensées de cours pour le reste de l’après-midi !!! Vous resterez au coin dans chaque cours, les mains sur la tête.
Elles
repartent honteuses sans culotte en essayant de se cacher comme elles peuvent. Toutes
les filles allaient se moquer d’elle, c’était sur. Elles restent dans un coin
de la cour, en sentant le regard des filles sur elle. La Mère supérieure passe
dans la cour et remonte vers son bureau. C’est le signal pour que toutes les
filles se précipitent auprès d’elles. Les questions fusent de tous les cotés,
ont –elles mal, quel effet cela fait, et là une question est posée : et si
on se vengeait ? Un bourdonnement de « oui » et des suggestions
partent dans tous les sens. Aline demande le silence et leur propose que toutes
les filles qui le désirent, écrivent sur un papier une idée de vengeance et on
voterait la plus proposée. Un « hourra » retentit sans la cour de récréation
juste avant que sonnent la fin de la pause et la reprise des cours.
La
Mère Supérieure les observe de son bureau avec un petit sourire en imaginant
certaines élèves sur ses croix Saint-André ou tabourets à fessées. Quelques
noms lui viennent en tête comme Hélène, Lilou et cette petite insolente Lady.
Ses mains la démangent de plus en plus.
Elle
s’installe à son bureau et commence une lettre pour Père Educateur, elle va
avoir besoin de son aide pour poursuivre sa mission de mettre dans les rangs
toutes ses élèves indisciplinées.
j'adore , recit tres bien ecrit , palpitant et je m'imagine tres bien la scene
RépondreSupprimermerci VG, je me suis bien amusée à écrire ce récit!!
SupprimerCourageuse petite Chipinette! Elle a du cran, car apparemment, la mère supérieure n'y est pas allée de main morte!
RépondreSupprimeroui c'est un sacré numéro, et elle tient tête, un vrai petit électron libre!!
Supprimersuper comme toujours ^^ j'attend la suite avec impatience ^^ Chipinette et Aline sont courageuses j'ai l'impression que les copines aussi aimeraient bien recevoir ce petit traitement
RépondreSupprimermerci ma belle!! nous verrons bien ce qui les attend!!
SupprimerDe la rébellion dans l'air....
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