La fessée bretonne de Chipinette ... avril 2014

Un mail m’annonçant un message privé (MP), tiens qui peut bien m’écrire ? Ah un fesseur ! Cela fait quelques mois déjà que nos interventions se croisent sur ce forum de fessée. Il me demande si ma phrase disant que je viens en Bretagne est une invitation à me fesser !

Euhh ben non, je ne fais que préciser que bientôt j’y serai ! J’ai toujours été franche, donc je lui fais cette réponse. Il accepte ma réponse et me propose de discuter si je le désire. Et pourquoi pas, j’aime beaucoup ses interventions sur le forum et une correspondance commence. Bon je suis plus rapide que lui à répondre mais il me dit avoir beaucoup de travail. Mais cela ne nous empêche pas de continuer à discuter avec quelques taquineries de ma part mais si peu, ce n’est pas dans ma façon d’être. En revanche, malgré mes objections, il me prévient clairement que je serai déculottée, et qu'il en profitera pour vérifier que je suis bien une vraie rousse. C'est devenu un sujet de taquineries sur le forum. De plus, il sait parfaitement que j'ai déjà été déculottée pour la fessée, il a même vu certaines de mes vidéos, pourtant je fais semblant de résister. C'est que c'est encore un inconnu, malgré nos échanges ! Le mois d’avril arrive et je dois aller en Bretagne, et pourquoi pas une petite rencontre ? On essaie de s’organiser un après-midi de libre, entre lui son travail et moi mes vacances et voilà chose faite, ce sera le vendredi après-midi.

Et puis deux jours avant notre rencontre, je reçois un SMS, il s’amuse à me mettre la pression, non j’y crois pas, il n’a pas le droit de faire cela. Et il poursuit ce petit jeu jusqu’au matin même de notre rencontre, c’est bon, je suis complètement stressée. On se retrouve sur le parking de l’église de la commune où j’ai une location. Et je l’emmène jusqu’à chez moi. Je ne me sens pas du tout à l’aise. On a beau eu parler pendant plusieurs mois, parler au téléphone la semaine d’avant, mais tout se bouscule dans ma tête. Il m’avait menacée de punitions si je rongeais mes ongles, mais là c’est plus fort que moi, je suis beaucoup trop angoissée. Mais il le sait et ne me dit rien. Cela se voit de toute façon. On parle, on parle et encore, et d’un coup, il me dit « bon on passe aux choses sérieuses ? » et là je me dis qu’il n’a pas oublié pourquoi il venait. Il me demande où on peut s’installer. Je lui propose ma chambre, on y sera plus à l’aise. Et voilà c’est parti. On discute encore debout dans ma chambre et puis il prend la décision de commencer, oui car s’il attendait après moi, un an après on aurait pris racine et la fessée n’aurait toujours pas eu lieu.

Il s’assoit sur le lit, je lui précise qu’avec mon dos, je ne peux pas prendre n’importe quelle position, cela ne lui pose aucun problème, il s’adapte. Et là surprise pour moi, il me dit de venir vers lui et commence à déboutonner mon pantalon, gloupsss il n’a pas l’intention de commencer directement sur la culotte quand même ? Je lui demande et il me dit « eh si, et parce que c’est la première fois, sinon ce serait sans culotte », et ben, quelle chance j’ai, le pantalon protège pourtant bien. Et là hop il me place dans l’autre sens que celui dont j’ai l’habitude, et oui il est gaucher, une première pour moi encore, et je m’installe confortablement sur le lit, c’est un minimum pour recevoir une fessée.

Il commence à claquer, je confirme, le pantalon protège bien car là les claques, je les ressens très bien. J’essaie de m’isoler dans ma bulle, mais impossible, et en plus il me parle, comment voulez-vous vous concentrer avec tout cela ? Je suis même obligée à plusieurs reprises de lui faire répéter ce qu’il me dit car apparemment il attendait une réponse de ma part. Cela commence à bien piquer, aïe aïe, mais bon je ne vais pas lui dire ! On ne sait jamais. J’essaie de ne pas trop bouger non plus. Et là d’un coup, il décide de me relever pour baisser ma culotte, oui ben faut pas abuser, je la trouve très bien sur mes fesses, même si je sais qu’une fessée se donne déculottée mais moi je l’aime ma culotte sur mes fesses. Je me retrouve honteuse face à lui, et il me baisse la culotte mais je serre les cuisses : il ne verra que mon pubis et la preuve qu'il recherchait, pas le reste, mais devoir être ainsi debout sous le regard d’un fesseur, je peux vous garantir que c’est un grand moment de solitude. Evidemment que je n’avais pas menti sur ma vraie couleur de cheveux, mais se sentir obligée de le montrer, moi qui suis quand même pudique, j’ai eu beaucoup de mal à l’accepter mais j’étais là et je devais assumer. Puis il me recouche et recommence la fessée. Et hop une main arrive me protéger car ça commence à beaucoup piquer et il me la bloque immédiatement dans le dos et la deuxième fait son apparition et elle rejoint la première mais comme je suis forte, j’arrive à en retirer une pour éviter que ça claque de nouveau, je bouge dans tous les sens, je lui fais un peu la misère. Attendez, je ne vais pas non plus lui faire la belle vie et laisser ainsi faire comme lui l’entend !

Bon, résultat des courses, je me retrouve quand même cul nu offert au châtiment. La vie est trop injuste pour la chipie que je suis. Et là les claques reprennent de plus belle. Mais ce n’est pas possible, il a au moins 10 mains pour claquer ainsi partout, il admire son travail et claque par-ci par-là, pour équilibrer la rougeur dit-il ! Mais bon moi je commence à bien gigoter quand même ! Je bats un peu des pieds par-ci par-là, je me sauve de ses genoux, ah ben oui, il faut me tenir sinon je me sauve moi ! Il me rattrape et semble satisfait en me disant « ah ça commence à vibrer ».

Oui, ben je vibre comme je veux, et évidemment les « aïe » et les « ouille » sont de sortie. Puis il s’arrête et il décide de vérifier, comme il m’avait prévenu dans ses mails, si je suis bien une femme et que je devais accepter le regard d’un fesseur sur mon sexe. Oui mais bon il y a une grande différence entre ce qu’il a écrit sur ses mails et que j’ai répondu que non, pas la peine, et lui certifiant que j’étais bien une femme, et là maintenant la réalité où lui a décidé qu’une fessée se prenait les jambes écartées et que je devais accepter cela. Il m’écarte les cuisses, car évidemment je ne suis pas très coopérative. Sentir son regard ainsi est mille fois plus honteux que de se faire déculotter même par un fesseur pour une première fois. Là, ma tête est cachée dans mes bras et je suis sûre que je suis aussi rouge sur mes joues que sur mes fesses. Il me parle mais bon je n’ai rien compris.

Puis il reprend quelques claques et me demande si j’ai un appareil photo sur mon portable. La chipie, qui est loin d’être devenue sage, lui répond que non bien sûr, mais il ne me croit pas et me claque les fesses en me demandant si c’est bien vrai ce mensonge et là malgré la position dangereuse où je suis, je me permets de le taquiner en éclatant de rire, ce qui me vaut quelques claques supplémentaires. Après lui avoir dit où il pouvait trouver mon téléphone portable, il me lève et m’emmène dans un coin de la chambre, derrière la porte à coté du radiateur et me demande de ne pas bouger, tourner vers le mur et qu’il revient. Il m’autorise à frotter mes fesses. Non mais je rêve, moi au coin, c’est une plaisanterie, à peine parti dans les escaliers, je me retourne et je frotte mes fesses car j’en avais bien l’intention même sans son autorisation, mais cela il a du s’en douter, et les pose sur le radiateur bien froid. Ahhhhhhh ça fait du bien. Les fesses me cuisent quand même, et malgré mes appréhensions j'ai été réellement bien fessée, mais dans une relative quiétude, sans jamais paniquer vraiment, malgré la honte que j'ai ressentie, moi qui étais tout à l'heure tellement angoissée. Je suis beaucoup plus calme et détendue maintenant. Il sait y faire, finalement. Je l’entends remonter, et comme même pas peur, je reste ainsi. Il arrive et me regarde et me dit :

- Tu fais quoi là dans ce sens ?

- Ben je m’ennuyais de l’autre coté et en plus j’ai peur des araignées, lui répondis-je avec un petit air attendrissant

- Viens ici avec moi, me dit-il, pas du tout attendri !

Il m’attrape par le bras, et m’emmène dans le couloir devant une psyché pour me prendre en photo puis quelques photos sur le lit. Il me demande bien évidemment de les lui envoyer. Ce que je m’empresse de lui dire que oui, on ne sait jamais au cas où il lui prendrait l’envie de poursuivre la fessée, or là mes fesses sont méga sensibles. Et j'ai tenu parole ! J'ai assez confiance en lui pour lui confier ces clichés. Je sais qu'il ne me trahira pas. Et il me dit que la prochaine fois il faudrait avoir de la crème d’arnica car il pense que je vais avoir quelques restes de ma fessée quelques jours. Ce qui s’est passé, sans excès toutefois, les marques bénignes se sont rapidement effacées, mais j’ai une peau très sensible et je marque vite. Malgré la relative intensité de la fessée, dont vous pouvez juger sur la photo, j'avais récupéré une véritable sérénité doublée d'une certaine fierté pour avoir supporté bravement une punition plus sévère que ce que j'avais imaginé recevoir au départ. Je n’avais jamais reçu une fessée comme celle-ci.

Et voilà la fessée est terminée, on continue de parler, du moins je l’écoute beaucoup, je plane encore, et je le ramène à sa voiture, encore quelques minutes de discussion, et on monte chacun dans notre voiture. Nous reverrons-nous ? Seul l’avenir nous le dira ! Et le désir de chacun de poursuivre ou pas ! Mais si cela arrive, je sais que je serai directement déculottée. Pourquoi pas ?