Vendredi soir... avril 2014

Et voilà notre semaine s’achève, Italo vient de repartir, je l’ai déposé à la gare du RER et il repart chez lui. Mes yeux se remplissent de larmes quand je suis dans ma voiture, je déteste les « au revoir » ainsi sur un quai, de toute façon je déteste quitter les gens que j’apprécie ! Mais là, après cette semaine intense en plaisir, j’ai le cœur gros mais c’est ainsi, je connais les règles du jeu.

Tout d’abord le voici qui arrive avec le RER, il a du le prendre seul car je ne pouvais pas venir le chercher comme d’habitude à la gare à Paris. J’ai donc loupé l’épisode de la valise qui passe avec lui dans le tourniquet de la gare, ce fut un grand moment l’année dernière. Et cela m’avait valu une bonne fessée pour m’être moquée de lui et fait pipi dans ma culotte à cause du fou-rire. Je le récupère donc à la gare près de chez moi.

Puis se vont s’enchainer pleins de moments de jeux, de fessées, de rigolades, de câlins, petits et gros que nous garderons pour nous. Nous avons eu aussi un grand moment le mercredi avec la fessée de Lady et Lylye, une journée merveilleuse que je raconterai dans un autre récit. Et déjà arrive la fin, nous sommes vendredi soir où Italo va rester avec moi ce soir. Il me dit :

• Tu vas mettre ta robe et tu me rejoins en bas
• Hé mais ça va pas, il ne fait pas chaud aujourd’hui, on n’est pas en été
• Tu files et tu obéis, me dit-il en me claquant la cuisse
• Mais aieeeeeee euhhh
• Chipinette ne m’oblige pas à monter avec toi car cela va chauffer grave pour tes fesses

Je monte les escaliers en soufflant et tapant des pieds dans l’escalier. Il fait froid en plus, il est fou !! Je me mets en robe, j’hésite à mettre des collants mais je sens qu’il va me les retirer donc inutile de le contrarier, c’est fragile ces petites choses là.
Je redescends, et il vient vers moi, me soulève la robe que je m’empresse de baisser et il la relève en me claquant les fesses.

• Mais aie Monsieur, quand même vous abusez, vous n’avez pas tous les droits comme cela
• Non mais tu as fini là, qu’est ce que je t’ai déjà dit ?
• …
• Je t’écoute
• Mais c’est bon là
• Non ce n’est pas bon là Chipinette, un éducateur a tous les droits, me dit-il en me claquant les fesses à chaque syllabe pour que je comprenne mieux

J’évite de ressouffler, je sens qu’il ne va pas aimer.

• Donc ma Chipinette, je vais te donner une bonne fessée pour que tu restes sage au restaurant et comme tu as encore discutaillé et essayé de m’embobiner, tu seras privée de culotte et stop, dit-il quand j’allais ouvrir bouche pour parler, tu te tais, pas de négociation possible
• …
• Très bien, allez viens ici sur le canapé, une bonne fessée pour te faire tenir tranquille
• Mais non svp Monsieur
• Ne discute pas, viens ici, et tiens-toi tranquille

Il m’attrape la main et me fait basculer sur ses genoux. Il lève d’emblée la robe, baisse ma culotte et claque directement sur les fesses. Pas cool de faire ainsi, mes petites endorphines ne vont pas arriver ainsi, de suite, aie aie aie !!!

Je commence à bouger car il claque fort, il veut que la fessée rentre bien dans ma tête, pourtant la tête est loin de mes fesses, ben oui je suis grande quand même ! Mais bon pareil, je me le dis dans ma tête, pas la peine de l’énerver un peu plus. Puis les claques diminuent et elles se remplacent par des caresses. Ahhh je préfère !! Puis il me dit :

• Je te préviens Chipinette, si tu fais le pitre ou si tu me provoques au restaurant, je t’en colle une la bas devant tout le monde
• Non mais ça ne va pas Monsieur, vous ne pouvez pas faire cela
• Oh mais si, si cela peut me garantir ma tranquillité pendant mon repas.

Je souffle très fort dans ma tête mais il n’entend pas, c’est bien cela, je peux dire ce que je veux et il ne m’entend pas !! Du coup cela me fait sourire et il croit que je me moque de lui, là ce n’est pas drôle car il recommence à me claquer les fesses.

• C’est bon tu es calmée ?
• Oui Monsieur (avec un M majuscule) mais cela je le dis dans ma tête aussi, hein ???
• Bon alors on part, me dit-il en se baissant pour me baisser ma culotte entièrement et en la mettant dans sa poche.

Arrivés au restaurant, nous faisons la queue devant le restaurant et je n’ai pas chaud à mes fesses, malgré la chaleur de la fessée.

• Monsieur, lui dis-je doucement à l’oreille
• Oui que veux tu ?
• J’ai froid à mes fesses, vous pouvez me rendre ma culotte svp
• Non, et tais toi si tu ne veux pas que je te fesse devant les personnes là
• Mais chut
• Quoi chut ? depuis quand tu me dis de me taire ?
• J’ai rien dit, oubliez
• Je préfère

Un serveur vient nous chercher et nous accompagne à notre table. Nous passons notre commande, un plateau de crustacées et des moules marinières, mmmm on va se régaler.

• Dites Monsieur, je peux aller aux toilettes svp, j’ai envie de faire pipi
• Tu n’aurais pas pu prendre tes précautions avant ?
• Ben si j’y suis déjà allée mais j’ai bu beaucoup d’eau cet après-midi et j’ai encore envie
• Bon ok vas-y et pas de bêtise !
• Oh non Monsieur

Je me dépêche d’aller aux toilettes, j’en profite pour faire pipi, mais pas très envie, et je sors de ma poche une culotte que j’avais pris la précaution de prendre. Il m’avait déjà fait le coup une fois de me priver de culotte au restaurant, donc il faut être pris pour être appris.

Je reviens vers lui, je m’assois face à lui donc pas de moyen de contrôler et il ne doit même pas penser que j’ai pu faire une chose pareille.

Nous dégustons nos crustacées puis nos moules, et youpi je ne suis pas privée de dessert, ben oui je me suis tenue à carreaux, pas envie de me faire fesser ici, il s’en moque lui, il n’est pas du coin, moi si !

Nous repartons doucement vers ma voiture et je m’installe. Et là Italo passe sa main sur ma cuisse, remonte ma robe et au moment où il met sa main, sur mon sexe, il découvre ma culotte.

• C’est quoi Chipinette cela ??
• Ben une culotte, voyons Monsieur
• Mais je vois bien que c’est une culotte mais tu peux me dire pourquoi tu en portes une ?
• Ben parce que l’on ne sort pas sans culotte, c’est indécent
• Indécent ? mais tu te rappelles que je te l’ai retirée en partant et qu’elle est dans ma poche
• Ben je n’en ai pas qu’une Monsieur, quand même, j’en ai plusieurs, lui dis je très naturellement mais avec une envie de rire
• Et tu te moques de moi ?
• Ben non pourquoi, je ne comprends pas
• Tu ne comprends pas, tu vas vite comprendre, tu t’arrêteras sur le bord de la route dans la forêt en rentrant
• Ben pourquoi faire, on peut rentrer chez moi directement
• Tsssssssssss tais toi, tu m’agaces là
• Pfffffffffffff pas très sympa de me dire cela
• Tu vas voir si je suis sympa

Je roule et d’un coup, il me dit de me garer dans le petit chemin, il fait nuit, je n’aime pas trop. 

Il me dit de descendre de suite, ce que je fais immédiatement. Il m’attrape par le bras et me pousse sur le capot de ma voiture, me soulève la robe, me baisse la culotte qu’il me retire immédiatement et me fesse sévèrement sur le champ. Oupssss il n’est pas content du tout, cela me chauffe très vite les fesses et me fait mal. je me mords la langue pour ne pas crier. Puis il s’arrête. Il me dit de remonter de suite dans la voiture et que l’on rentre et que je recevrais le reste la bas.

• Comment cela le reste Monsieur, mais j’ai très mal là
• Tu aurais du y réfléchir avant de me provoquer ainsi, je te trouvais bien calme au restaurant
• Mais Monsieur…
• Tais toi et fais attention à la route, on réglera cela à la maison
• …

Je rentre chez moi, et à peine la porte fermée, il m’attrape par l’oreille, aieeeeeeeeeeee, et m’attire sur ses genoux quand il est assis sur le canapé.

• Alors comme cela tu as pensé que tu pouvais te moquer de moi ainsi, tu en as reçu des fessées mais non, rien à faire, Chipinette me provoque encore, mais tu vas voir ce qui t’attend, tu feras plus la maline
• Mais Monsieur, je n’aime pas rester sans culotte, vous le savez
• Je m’en moque, tu obéis quand je te donne un ordre donc là tais toi et assume ta fessée

Et là une pluie de claques tombe sur mes fesses, j’ai l’impression qu’il a au moins 10 mains qui claquent car ça tombe partout ! ça brule, ça pique, aie aie ouille !!! je tente de mettre une main qui se retrouve immédiatement emprisonnée dans mon dos, une 2^ème de l’autre coté et hop idem, coincée dans mon dos. Je commence à bouger les jambes, et hop emprisonnées entre celles d’Italo. Je ne peux plus bouger, je suis prisonnière et ne peux qu’accepter cette fessée sévère. Quand il sent que je ne bouge plus, ne dit plus rien, il s’arrête progressivement, je n’ai plus envie de rire. Il me caresse doucement les fesses, me relâche les mains, me relève et me prend dans ses bras.

• Tu ne recommenceras plus ? me dit-il
• Je suis obligée de faire une promesse ?
• Non, car tu ne la tiendras pas, me dit-il en riant, tu es incroyable, tu as les fesses bouillantes et tu continues à me chercher
• Mais non Monsieur mais je n’aime pas ne pas tenir mes promesses
• Oui je sais, allez, fais moi un bisou

Je lui fais un gros bisou, il me caresse les fesses doucement, elles sont sensibles. Il me dit :

• Il est tard, tu vas aller te mettre en pyjama puis je viendrais te faire un gros câlin comme tu aimes dans ton lit
• Oui Monsieur

Une fois au lit, il vient s’allonger à coté de moi, me prend dans ses bras et me caresse les fesses doucement, je me laisse faire, plus envie de le taquiner, et puis j’aime les câlins. Ses mains se font baladeuses et me caressent le sexe, il me demande si je veux le crincrin pour me détendre entièrement et passer une bonne nuit. C’est une arme fatale pour calmer les chipies.

Après 3 orgasmes successifs, je suis prête à m’endormir dans ses bras, il me dit que je dormirai sans culotte cette nuit mais là avec mes fesses en feu, je ne dis rien et qu’il viendra me réveiller demain matin. Je suis déjà partie rejoindre les bras de Morphée.