Convocation à la police... Fin !

Sans continuer la parlotte, il se met à genoux à coté d’elle, place son bras autour de ses hanches pour qu’elle ne puisse pas trop bouger et commence à claquer, indifféremment sur une fesse et sur l’autre, des claques avec la main bien plate et les doigts bien serrés. Il ne compte plus le nombre, il sent sa main chauffée comme les fesses d’Aline. Il la tient bien car elle bouge de plus en plus.

• Bon on passe aux choses sérieuses, as-tu quelque chose à me dire ?
• Tu me fais mal
• Oh mais cela ne fait que commencer et au vu de ta façon de faire, ce n’est que le début
• Stp c’est bon j’ai compris
• Tu as compris quoi ?
• Mais aieeee
• Ok tu n’as rien compris

Et sans rien dire, il passe ses doigts dans l’élastique de sa culotte et la baisse, puis la retire et lui écarte de nouveau bien les cuisses, elle essaie de les refermer un peu, et il lui met deux claques à l’intérieur des cuisses, elle se replace immédiatement correctement.

Thierry se repositionne bien et la maintient encore plus car il va lui faire comprendre qu’il n’aime pas qu’elle se moque ainsi de lui. Il caresse ses fesses déjà bien rosées et chaudes mais maintenant sans aucune protection, elle va pouvoir faire des aie et des ouille, elle va jongler. Il reprend sa fessée, les claques résonnent dans la chambre comme une musique, en fonction de l’endroit où il claque, entremêlée de petits cris d’Aline qui fait le chœur de la chorale. Elle bouge de plus en plus. Thierry ne faiblit pas, il repense à son comportement et ne cédera pas. Les fesses d’Aline sont maintenant bien rouges et très chaudes, il sent qu’elle va craquer, il lui dit :

• Alors ? toujours rien à me dire ?
• Stp, je te demande pardon, dit-elle en éclatant en sanglots, j’ai trop honte de recevoir cette fessée, je ne recommencerai plus
• Et pourquoi tu reçois cette fessée ?
• Tu le sais, stp, ne m’oblige pas à le dire
• Si, je veux que tu le dises
• Non, stp, pas cela
• Très bien, la leçon n’a pas encore assez servie

Il passe la main sous le gros oreiller et sort le martinet.

• Et oui tu vois, je l’avais vu et je ne l’ai pas oublié
• Non stp pas cela, j’ai trop peur et j’ai déjà mal
• Tu t’en prends qu’à toi-même, je ne pensais te donner que 5 coups pour que tu saches que je ne plaisante pas mais comme tu t’obstines et qu’en plus tu l’as caché, ce sera plus.

Thierry se met debout, sur le coté du lit, il lève le martinet et laisse tomber le premier coup. Aline sursaute et crie un aie. Il n’a pas claqué fort, sa main fait beaucoup plus mal.

• Arrête ta comédie, sinon je double
• Non
• Donc le deal est, je claque avec le martinet jusqu’à ce que tu me dises pourquoi tu as reçu cette fessée.
• Oh mais non, je n’aime pas le dire, tu le sais
• Oui mais tant que tu ne le diras pas, tu ne reconnaitras pas le bien fondé de cette fessée

Thierry continue, sans forcer mais légèrement cinglant, Aline pleure et dit :

• C’est bon, je reconnais avoir été flashée en roulant trop vite et insulté un motard
• Mais surtout ?
• Que veux tu que je te dise de plus
• Si tu ne le sais pas, je continue, la mémoire va revenir
• Non ça y est, je sais, je n’aurais pas du te le cacher, donc je t’ai menti et j’ai fait preuve de mauvaise foi.
• A la bonne heure, tu es devenue très bavarde, il est bien ce martinet, il fait retrouver la mémoire.
• Pffffffff tu te trouves drôle
• Mais très, je trouve moi
• Et ben pas moi,
• ah je vois que tu es de méchante humeur, la fessée n’a pas été assez longue et efficace

Thierry l’attrape de nouveau par les hanches et claque très longuement ses fesses et très sèchement. Aline essaie de s’y soustraire mais là elle dépasse les bornes car même en position disciplinaire, elle poursuit ses sarcasmes et fait preuve de mauvaise foi. Au vu de la rougeur de ses fesses, elle va être sensible un bon moment.

• Pardon, pardon, stp c’est bon
• Je suis le seul à décider si c’est bon ou pas
• Stp, j’ai compris
• Très bien, donc encore une minute non stop  et 5 coups de martinet et ensuite tu iras au coin
• Tu es trop dur là
• Oui mais tu le mérites, donc on part pour une minute

Thierry sait que cela va être dur pour elle mais elle ne sait pas se taire, c’est impressionnant. Il regarde sa montre et commence à claquer, pas trop vite, mais quand les claques tombent, Aline sursaute, elles sont fortes, ses fesses sont cramoisies et brulantes. Une minute s’est écoulée, il lui donne les 5 derniers coups de martinet. Puis il l’envoie au coin, elle pleure mais il ne la prend pas dans ses bras, elle a besoin de se calmer seule et il lui faut assumer seule ses bêtises et sa punition. Il adore la voir ainsi, les fesses rouges et nues quand elle est au coin, elle est belle.

Au bout d’une demi-heure, il s’approche d’elle, la retourne, lui prend le menton entre ses doigts, lui lève le visage et lui dit :

• Alors Aline, as-tu compris la leçon ?
• Oui, j’ai compris, et promis je ne recommencerais plus
• Oui jusqu’à la prochaine fois, dit-il
• Non, j’ai compris, tu as eu raison de me punir, tu ne peux pas me faire confiance si je te mens.
• Très bien, allez viens dans mes bras pour un câlin.

Thierry l’entraine sur le canapé et l’assoit sur ses genoux. Elle grimace mais s’assoit quand même. Elle cale sa tête dans son cou, il lui passe la main dans le dos. Puis il attrape le tube de crème et l’installe confortablement sur ses genoux mais pour lui faire un doux et long massage sur ses fesses, elle ne bouge pas, les doigts de Thierry s’égarent tendrement dans son intimité. Elle écarte les cuisses, elle est très humide. Le pouce entre doucement dans le vagin et fait des mouvements doux pendant que les autres doigts vont tourner autour du clitoris, il tourne avec lenteur. Il n’accélère pas pour la laisser monter tranquillement. Elle essaie d’accélérer avec des mouvements de bassin mais avec son autre bras, il la maintient. Il la sent se crisper, il entend sa respiration se saccader, elle geint doucement. Il augmente la cadence légèrement et c’est à ce moment là qu’elle explose dans sa main. Il ralentit ses mouvements, bouge à peine, la laisse récupérer doucement. Puis il la retourne, la prend dans ses bras et l’emporte vers leur lit où il va lui prouver tout l’amour qu’il a pour elle. Mais là c’est une autre histoire !!!