Vous
me demandez de vous décrire mes sensations après une première semaine d’épreuves
imposées pendant l’heure du déjeuner. Il s’agit d’une petite mortification
quotidienne imposée, à l’image des cilices que portaient certaines religieuses
par pénitence.
Tout
d’abord je dois rappeler que le lundi et le jeudi, je dois décalotter mon sexe.
Le mardi et le vendredi, c’est le jour du rosebud. Et enfin le mercredi et le
samedi, je dois placer des pinces au bout des seins.
Ça
parait tout simple comme ça, mais devoir quotidiennement à heure fixe s’imposer
une petite pénitence, s’oblige à penser à sa gouvernante. Bien sur devoir
décalotter son sexe pendant une demi-heure, n’a rien à voir avec les
mortifications que les s’imposaient les nonnes qui enfilaient des culottes en
crin, des chaines piquantes autour des cuisses.
Mais
sentir à chaque mouvement mon gland frotter contre ma culotte, me fait
ressentir au fond de moi ma dépendance volontaire à votre égard. Je me sens
sous votre autorité. Je sais qu’à chaque instant vous pouvez vérifier si je
vous ai obéi et vous ne vous gênez pas pour m’imposer des contrôles surprises. Le
gland retroussé génère un mélange de plaisir et de gêne voisine de ce que je
ressens quand vous m’imposez la cage de chasteté. Je mouille beaucoup et la
gêne d’être dans une culotte humide s’ajoute à l’humiliation de cette épreuve. Une
file pourrait parler de "pleins de papillons dans le ventre".
Le port du
rosebud provoque des sensations voisines. L’anus garni obligé en permanence à
ne pas oublier ma condition, même pendant un temps non érotique comme la
préparation du déjeuner.
Le port des
pinces s’apparente plus au cilice. Une douleur diffuse provoquée par les tétons
pincés et qui bougent à chaque mouvement qui se mêle à la stimulation de ces
petites pointes sensibles et érectiles.
Si l’on
devait résumer, rosebud et gland retroussé provoquent une gêne délicieuse. L’humiliation
domine dans les sensations.
Les pinces
provoquent une douleur/plaisir. C’est un peu comme la mise au coin, debout nez
au mur : punition humiliante. Et la mise à genoux : punition
humiliante et un peu douloureuse quand même.
Ces épreuves
me rendent plus dociles. Cette prise en main quotidienne renforce ma tutelle. Je
me sens vraiment sous votre coupe et je vous offre ces mortifications comme
gage de mon obéissance. A midi c’est le "moment de Madame" celui des mortifications,
non pas pour punir un mauvais comportement, mais juste pour lui offrir mon
obéissance.
J’espère
avoir bien exprimé mon ressenti et je vous souhaite un bon dimanche.
Votre chenapan
respectueux
vivement le prochain post de Chenapan ^^
RépondreSupprimerMerci Lady!!! j'en ai un autre à mettre mais quelques difficultés avec les photos!! mais je vais y arriver!!
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