La vie dans le pensionnat... 3ème épisode

Les filles ne savent plus quoi se dire, elles sont anéanties. Elles ont trouvé cela excitant hier de regarder la sœur se faire fesser mais elles, devant tout le monde.

Les autres pensionnaires vont se moquer d’elles ensuite. On voit quand même un léger sourire sur les lèvres de Chipinette. Aline lui demande ce qui la fait sourire ainsi. Elle s’imagine à la place de la sœur et ressent pleins de papillons dans son bas ventre. Elle le dit à Aline. Elle aussi ressent cela depuis que la Mère Supérieure leur a annoncé leur sentence. Et là l’excitation fait place à l’anéantissement. Elles auront honte de se faire ainsi fesser devant leurs camarades mais elles rient en pensant à leurs orgasmes de la veille. Mais Chipinette dit à Aline :

      -      Et si cela faisait trop mal ? car j’en ai déjà reçu des fessées enfant et je n’ai pas 
          aimé. C’était douloureux.

-      Je n’en ai jamais reçu, dit Aline

-      Quoi ??? tu n’as jamais reçu de fessées quand tu étais jeune ? t’as de la chance, ma dernière date d’il y a 6 ou 7 ans. Pour avoir fait croire à mon jeune frère qu’il avait été adopté à la naissance. Il est cloche aussi, il y a cru !!

-      T’as fait cela ? demande Aline. Et ton frère est allé le dire à tes parents ?

-      Même pas, il est parti un matin pour aller à la recherche de ses vrais parents !! rigole Chipinette, la tête de mes parents quand ils ont lu le mot laissé sur la table. Bref quand ils l’ont retrouvé, il leur a dit que c’était moi qui lui avais dit cela.

-      Mais pourquoi tu as fait cela ? lui demande Aline

-      Parce que je voulais le taquiner, et je trouvais cela drôle !!

-      Moi je n’ai pas de frère ni de sœur, donc je suis tranquille ! et quand tu as reçu cette fessée, cela t’a fait la même sensation dans ton bas ventre ? lui demande Aline

-      Ben non rien du tout !! mais hier soir, quand je me suis caressée, j’étais toute mouillée  et toi ?

-      Moi aussi et je n’ai pas eu besoin de me caresser longtemps

Les filles sont en pleine réflexion sur ces premiers émois face à ce voyeurisme de fessées. Mais cela leur fera t-il la même chose si c’est elle qui la reçoive.

Les heures avancent vite car la honte devient de plus en plus importante de savoir qu’elles seront fessées devant leurs camarades et les religieuses de l’internat et pourtant les heures avancent très doucement en sentant grandir l’excitation monter en elles.

Dans le haut parleur de l’internat, on entend la Mère Supérieure faire une annonce, elle invite toutes les élèves à venir se ranger dans la cour centrale et les religieuses à surveiller les élèves. Elle convoque aussi Aline et Chipinette dans son bureau. Les deux filles se dépêchent car on ne fait pas attendre Mère Supérieure au risque de se prendre une punition. Elles frappent à la porte de son bureau. Elles sont complètement stressées. La Mère les attend avec un petit sourire moqueur. Elles leur demandent si elles sont prêtes ? Les deux demoiselles font un signe de la tête et au regard de la Mère, se dépêchent de répondre ensemble : « oui ma Mère ». La Mère leur dit de la suivre et en silence !

Elle les conduit au donjon et les fait rentrer dans cette grande pièce. Elles sont très impressionnées. Hier soir, elles étaient restées dans la porte entrebâillée, mais là elles rentrent et peuvent admirer la pièce ! Elle est impressionnante, le plafond est très haut, la pièce est ronde, et il y a des sièges tout autour en demi-cercle. Sur le pan de mur à gauche de la porte, on voit deux croix comme des signes de multiplications. La mère les pousse au centre de la pièce. Elle leur explique que c’est sur ces croix qu’elles seront attachées pour éviter qu’elles n’essaient de se protéger ou débattre. Elles recevront 60 claques chacune avec les mains puis seront exposées aux yeux de leurs camarades qui pourront venir toucher la chaleur de leurs fesses et admirer la rougeur de leurs fesses. Aline et Chipinette ouvrent la bouche pour protester que ce n’est pas possible. Un regard de la Mère supérieure les arrête aussi. Elle leur dit qu’elles n’auront que ce qu’elles méritent pour avoir fait preuve de voyeurisme, de mensonges, et surement de gestes honteux dans leur culotte le soir quand elles sont rentrées. Les deux filles baissent la tête et pensent à leurs méga plaisirs de la veille au soir. Elles espèrent en connaitre d’autres ainsi. Une boule d’angoisse pèse sur leurs estomacs en entendant un brouhaha de pas à l’extérieur. Les élèves arrivent accompagnées des religieuses.

Mère Supérieure leur explique qu’elles seront attachées, fessées et déculottées devant leurs camarades, tout cela progressivement en espérant que la honte les fera devenir des élèves exemplaires par la suite ! Chipinette sent comme une humidité entre les cuisses, elle se demande si elle n’a pas eu des petites gouttes de pipi dans sa culotte ! Mais non, ce n’est pas possible, elle avait été aux toilettes avant de rejoindre la Mère supérieure dans son bureau. Les papillons dans son bas-ventre devaient être à l’origine de cette humidité. Mère supérieur s’approche de la porte et un « silence » retentit dans le couloir puis un silence plane dans le donjon. Chipinette distraitement dit à Aline :

-      Je suis mouillée au niveau de mon sexe et toi ?

-      Oui moi aussi, je sens que cela coule, tu crois que cela nous excite, répond Aline

-      Je crois, j’ai peur que cela fasse mal mais en repensant à la sœur de hier soir, je ne peux pas m’empêcher d’être excitée et j’ai envie de prendre du plaisir maintenant, dit Chipinette

-      Tu ne vas pas faire cela maintenant quand même, interroge Aline

-      Mais non Bécasse, tu imagines ce que je prendrais en plus, rit Chipinette

Elles n’ont pas entendu la mère supérieure arriver.

-      Et bien Mesdemoiselles, qu’est ce qui vous faire rire ? la punition ? vais-je devoir vous rajouter une dizaine de coups de martinet pour vous faire devenir un peu plus raisonnables et craintives de ce qu’il vous attend

-      Oh non ma Mère, nous avons terriblement honte déjà ainsi et aussi très peur, répond Chipinette

-      Alors taisez-vous, un seul mot et vous augmenterez votre sort de 20 coups de martinet.

Les deux filles baissent la tête et acquiescent en cœur : « oui ma Mère ».