Bonjour à vous qui pénétrez sur mon blog Mi-ange/Mi-démon. Tout d’abord, pour les personnes âgées de moins de 18 ans, merci de cliquer sur la petite croix rouge en haut à droite et BYE.

Bon maintenant que nous sommes entre adultes, je vous laisse découvrir ce blog. J’ai la chance de jouer dans le monde de la fessée, avec deux hommes, un que j’appelle « mon chenapan » et un autre qui est mon Educateur. Si j’ai fait ce blog, c’est pour vous faire partager la complicité que je vis avec l’un comme avec l’autre.

Vous trouverez donc des récits de l’éducation de mon chenapan, de mon éducation par mon Educateur, de fessées que j’ai reçues ou données avec d’autres personnes. Il y a aussi des récits tirés de mon imagination comme un long récit sur la vie au pensionnat, Aline et Thierry et d’autres.

J’ai essayé de classer cela par sujet et que j’alimenterai régulièrement. J’espère que vous vous y retrouverez et aurez plaisir à y revenir. Merci pour votre visite et n’oubliez pas les commentaires, cela fait toujours plaisir.

dimanche 29 mai 2016

La vie dans le pensionnat... 25ème épisode


La mère supérieure cache sa tête dans son cou, elle est morte de honte de ce que lui fait subir Monseigneur. Une fessée en public, elle n’aurait jamais osé fantasmer dessus tellement c’était improbable. Elle sait que ses fesses vont virer dans différents rouges qui existent sur cette terre. Mais elle gardera ce souvenir à jamais dans sa mémoire quand elle devra subir sa vie au couvent.

-      Alors chères élèves et religieuses, vous allez vous diriger dans le calme vers l’armoire du fond, et choisir chacune un instrument. Puis vous rejoindrez le devant de la scène pour claquer à 5 reprises les fesses de cette sœur. Ne lui faites aucun cadeau et celle qui n’oserait pas claquer fort, recevra de la main la même chose au centuple. Je veux qu’elle soit sévèrement punie. Vous Chipinette et vos amies, vous passerez en dernier, je garde le meilleur pour la fin.

-      Oh Monseigneur, non pas elle, elles vont claquer si fort, qu’elles m’arracheront la peau des fesses, se plaint la mère

-      Ah bon ? et pourquoi feraient-elles une chose pareille ? dites moi donc ? auraient-elles quelques ressentiments à votre égard ?

-      … …

-      Ah je vois, vous êtes toutes des victimes de ces deux pervers ?

-      Oui Monseigneur, disent collégialement nos coupines

-      Parfait, vous passerez donc en dernier

-      Merci

Toutes les filles se placent en rang les uns derrière les autres et examinent leurs instruments qu’elles tiennent dans leur main, les tournent et certaines les font claquer dans leurs mains. Un doux bruit sonne aux oreilles de la mère.

-      Allez, approchez vous, avant de claquer les fesses de cette femme, vous annoncerez l’instrument que vous tenez à la main et si vous ne le savez pas, le père nous fera un plaisir de nous le nommer, n’est ce pas mon père ?

-      Oui Monseigneur.

-      Ah oui une autre petite chose que j’ai oublié de dire, comme je ne veux pas vous laisser avoir du plaisir devant ce ravissant spectacle auquel on va assister, vous ne serez pas fessé mais vous allez mettre votre cage de chasteté maintenant avant d’arriver au monastère. Voir votre complice de jeu se faire fesser, jouir et que vous ne puissiez pas avoir de plaisir est certainement une très bonne punition.

-      Oh non Monseigneur, pas cela, svp

-      Prenez une chaise, le petit séminariste et attachez le dessus, je vais lui mettre moi-même cette cage.

Le père se retrouve attaché à la chaise, le pantalon baissé et les mains agiles, voire trop agiles, de l’évêque placent la cage de chasteté sur le sexe du père. Les pensées du père s’évadent et il pense qu’heureusement qu’il n’ait pas eu l’idée de lui mettre un rosebud. Ce serait une honte, lui a toujours fessé les sœurs, été un homme dominant, se retrouver dans cette position, c’est un déshonneur. Jamais il n’aurait pensé, être dans cette position un jour. Quelle honte. Il se vengera un jour de cette Chipinette et de toutes ses coupines, il se vengera.

-      Allez que la 1ère commence, que tenez vous dans la main ?

-      Un martinet Monseigneur

-      Très bien, allez 5 coups bien en travers des fesses, vous vous placez bien sur le coté pour que tout le monde puisse bien voir.

-      D’accord

La fessée de la ex mère sup commençait, la 1ère élève se place sur le coté, lève le bras et fait retomber sur les fesses de la mère, un bon coup de martinet. La mère sursaute, ses fesses sont sensibles avec toutes les fessées qu’elle a reçu depuis que le père est arrivé. A ce moment là, l’évêque prend la télécommande des objets vibrants et les positionnent sur 1, la mère se tortille quand le 2ème coup tombe puis les 3 suivants.

-      Vous n’avez pas compté, punie, vous mériteriez que l’on recommence.

-      Oh non svp, je vais le faire maintenant.

-      Vous êtes trop bon Monseigneur, moi j’avais oublié et elle a recommencé à 0, dit Aline

-      Ah tiens donc et ben on recommence, allez Mademoiselle, la même.

-      Ce n’est pas vrai Monseigneur, dit la mère

-      Oh si, répondent en majorité les filles

-      Et en plus vous mentez, pas joli cela, dit l’évêque, allez demoiselle recommencez mais plus fort pour son mensonge.



L’élève recommence, et les 5 autres coups laissent apparaitre des traits rosés. La 2ème élève arrive et montre son instrument en le nommant comme une brosse à tapis. Et les élèves et religieuses passent les unes derrière les autres avec différents instruments comme le paddle, le tawse, le ceinturon, des cannes diverses et variées, le fouet, différents martinets… bref un super arsenal que la mère possédait. Elle compte de 1 à 5 à chaque changement d’instruments.

Au fur et à mesure que les filles passent, l’évêque augmente les objets vibrants. La respiration de la mère se fait haletante, elle gémit. Mais elle n’est pas la seule, le père aussi gémit car son pénis prend de l’ampleur dans sa cage mais il est écrasé et ne peut se redresser. Son sexe est décalotté et il mouille sur son pantalon. Il commence à comprendre ce que sans plaisir et sans jouissance, ce que cela va signifier pendant les longues années qui vont suivre.

2 commentaires:

  1. Ah là là ... Naïvement, je pensais qu'on allait s'orienter vers un pardon, une rédemption, même (pourquoi pas ?) et que toutes ces novices allaient prendre en pitié la mère supérieure, voire le père...
    Il n'en est rien ! A leur tour, elles se transforment en fouetteuses sadiques, et je n'ose même pas imaginer ce que vont faire celles qui vont passer en dernier! Mon dieu!
    Car enfin, ce n'est plus un pensionnat, c'est un perversionnat, oui ! Quelle débauche de lubricité!

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  2. mdrrrrrr et oui, mais me connaissant, tu devais bien te douter que je n'allais pas faire des excuses ainsi!!! rappelle toi que je suis Chipinette!!!

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