La mère supérieure cache sa
tête dans son cou, elle est morte de honte de ce que lui fait subir
Monseigneur. Une fessée en public, elle n’aurait jamais osé fantasmer dessus
tellement c’était improbable. Elle sait que ses fesses vont virer dans
différents rouges qui existent sur cette terre. Mais elle gardera ce souvenir à
jamais dans sa mémoire quand elle devra subir sa vie au couvent.
- Alors
chères élèves et religieuses, vous allez vous diriger dans le calme vers
l’armoire du fond, et choisir chacune un instrument. Puis vous rejoindrez le
devant de la scène pour claquer à 5 reprises les fesses de cette sœur. Ne lui
faites aucun cadeau et celle qui n’oserait pas claquer fort, recevra de la main
la même chose au centuple. Je veux qu’elle soit sévèrement punie. Vous
Chipinette et vos amies, vous passerez en dernier, je garde le meilleur pour la
fin.
- Oh
Monseigneur, non pas elle, elles vont claquer si fort, qu’elles m’arracheront
la peau des fesses, se plaint la mère
- Ah
bon ? et pourquoi feraient-elles une chose pareille ? dites moi
donc ? auraient-elles quelques ressentiments à votre égard ?
- … …
- Ah
je vois, vous êtes toutes des victimes de ces deux pervers ?
- Oui
Monseigneur, disent collégialement nos coupines
- Parfait,
vous passerez donc en dernier
- Merci
Toutes les filles se placent
en rang les uns derrière les autres et examinent leurs instruments qu’elles
tiennent dans leur main, les tournent et certaines les font claquer dans leurs
mains. Un doux bruit sonne aux oreilles de la mère.
- Allez,
approchez vous, avant de claquer les fesses de cette femme, vous annoncerez
l’instrument que vous tenez à la main et si vous ne le savez pas, le père nous
fera un plaisir de nous le nommer, n’est ce pas mon père ?
- Oui
Monseigneur.
- Ah
oui une autre petite chose que j’ai oublié de dire, comme je ne veux pas vous
laisser avoir du plaisir devant ce ravissant spectacle auquel on va assister,
vous ne serez pas fessé mais vous allez mettre votre cage de chasteté
maintenant avant d’arriver au monastère. Voir votre complice de jeu se faire
fesser, jouir et que vous ne puissiez pas avoir de plaisir est certainement une
très bonne punition.
- Oh
non Monseigneur, pas cela, svp
- Prenez
une chaise, le petit séminariste et attachez le dessus, je vais lui mettre
moi-même cette cage.
Le père se retrouve attaché
à la chaise, le pantalon baissé et les mains agiles, voire trop agiles, de
l’évêque placent la cage de chasteté sur le sexe du père. Les pensées du père
s’évadent et il pense qu’heureusement qu’il n’ait pas eu l’idée de lui mettre
un rosebud. Ce serait une honte, lui a toujours fessé les sœurs, été un homme
dominant, se retrouver dans cette position, c’est un déshonneur. Jamais il
n’aurait pensé, être dans cette position un jour. Quelle honte. Il se vengera
un jour de cette Chipinette et de toutes ses coupines, il se vengera.
-
Allez
que la 1ère commence, que tenez vous dans la main ?
-
Un
martinet Monseigneur
-
Très
bien, allez 5 coups bien en travers des fesses, vous vous placez bien sur le
coté pour que tout le monde puisse bien voir.
-
D’accord
La
fessée de la ex mère sup commençait, la 1ère élève se place sur le
coté, lève le bras et fait retomber sur les fesses de la mère, un bon coup de
martinet. La mère sursaute, ses fesses sont sensibles avec toutes les fessées
qu’elle a reçu depuis que le père est arrivé. A ce moment là, l’évêque prend la
télécommande des objets vibrants et les positionnent sur 1, la mère se tortille
quand le 2ème coup tombe puis les 3 suivants.
-
Vous
n’avez pas compté, punie, vous mériteriez que l’on recommence.
-
Oh
non svp, je vais le faire maintenant.
-
Vous
êtes trop bon Monseigneur, moi j’avais oublié et elle a recommencé à 0, dit
Aline
-
Ah
tiens donc et ben on recommence, allez Mademoiselle, la même.
-
Ce
n’est pas vrai Monseigneur, dit la mère
-
Oh
si, répondent en majorité les filles
-
Et
en plus vous mentez, pas joli cela, dit l’évêque, allez demoiselle recommencez
mais plus fort pour son mensonge.
L’élève
recommence, et les 5 autres coups laissent apparaitre des traits rosés. La 2ème
élève arrive et montre son instrument en le nommant comme une brosse à tapis.
Et les élèves et religieuses passent les unes derrière les autres avec
différents instruments comme le paddle, le tawse, le ceinturon, des cannes
diverses et variées, le fouet, différents martinets… bref un super arsenal que
la mère possédait. Elle compte de 1 à 5 à chaque changement d’instruments.
Au fur et à mesure que les
filles passent, l’évêque augmente les objets vibrants. La respiration de la
mère se fait haletante, elle gémit. Mais elle n’est pas la seule, le père aussi
gémit car son pénis prend de l’ampleur dans sa cage mais il est écrasé et ne
peut se redresser. Son sexe est décalotté et il mouille sur son pantalon. Il
commence à comprendre ce que sans plaisir et sans jouissance, ce que cela va
signifier pendant les longues années qui vont suivre.
Ah là là ... Naïvement, je pensais qu'on allait s'orienter vers un pardon, une rédemption, même (pourquoi pas ?) et que toutes ces novices allaient prendre en pitié la mère supérieure, voire le père...
RépondreSupprimerIl n'en est rien ! A leur tour, elles se transforment en fouetteuses sadiques, et je n'ose même pas imaginer ce que vont faire celles qui vont passer en dernier! Mon dieu!
Car enfin, ce n'est plus un pensionnat, c'est un perversionnat, oui ! Quelle débauche de lubricité!
mdrrrrrr et oui, mais me connaissant, tu devais bien te douter que je n'allais pas faire des excuses ainsi!!! rappelle toi que je suis Chipinette!!!
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