La vie dans le pensionnat .. 22ème épisode

Le père poursuit ses questions sur sa sexualité au grand désespoir de Lilou mais elle a tellement envie qu’il la caresse, qu’elle répond tout en ronronnant sur ses genoux, tellement il est doux. Il augmente doucement l’intensité et lui dit :

• Allez ma petite Lilou, laisse toi aller à ton 1^er orgasme donné par un homme, tu vas me jouir dans la main et tu seras presque une femme. Je n’irai pas plus loin car j’ai fait vœu de chasteté mais je vais pénétrer la tête du canard dans ton vagin et je te caresserai le clitoris, tu vas pouvoir crier si tu le ressens. Mais que l’on soit bien clair, cela restera entre nous
• Ohhhhhhhhhhh oui mon pèèèèèèèèèèèère, dit Lilou avec beaucoup de difficultés pour se contrôler, sentant un puissant plaisir monter dans son ventre et son sexe

Mais vous connaissez le père, et sa perversité et quand il sent que notre Lilou est au bord de la chute, il retire le canard et arrête ses mouvements autour de son clitoris. Lilou gigote pour qu’il reprenne et gémit en disant :

• Mais mon père, pourquoi arrêtez vous ?
• Parce que plus tu feras attendre ton plaisir et plus il sera puissant, et en plus tu ne me l’as pas demandé poliment
• Hein ? dit Lilou
• On ne dit pas hein, dit le père en reprenant sa fessée pour lui redonner des couleurs à ses jolies fesses.
• Désolée mon père, dit Lilou, mais je ne comprends pas ce que vous avez dit
• Tu ne m’as pas demandé l’autorisation de jouir ?
• Euh ben non, pourquoi faire ? demande Lilou
• Si tu ne le demandes pas, tu ne jouiras pas, dit le père calmement en claquant les fesses de Lilou de plus en plus fort
• Mais aieeee, mais svp, mon père, je veux jouir
• Mauvaise réponse Lilou, dit-il en claquant les cuisses de cette pauvre Lilou qui n’y comprenait pas grand-chose
• Mon père, m’autorisez vous à jouir, svp, dit-elle enfin
• Parfait, tu vois que quand tu fais un effort, tu peux être obéissante, je t’autorise, donc on reprend.

La tête du canard retrouve l’entrée du vagin de Lilou, et le doigt se pose naturellement sur son clitoris. L’intensité passe progressivement de 2 à 4 puis 6. Notre Lilou laisse monter cette vague de plaisir dans tout son corps et pousse un cri de jouissance tout en laissant échapper des petits jets d’urine dans la main du père. Le sourire de satisfaction de ce dernier laisse deviner ses pensées vicieuses en s’imaginant les moments de plaisir qu’il allait passer dans ce pensionnat avec ses élèves.

Lilou retourne dans son lit et tout le monde dort. C’est surprenant de la part de Chipinette mais elle devait être fatiguée.

Le lendemain les questions fusent autour de Lilou qui raconte succinctement sa soirée avec le père.

• Tu vois, je te l’avais dit, lui dit Hélène, qu’il a des doigts de fée
• Ohhhhhhhh ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiii, dit Lilou encore sur son nuage

La cloche sonne et toutes les élèves forment un rang devant les classes en fonction de leur niveau. Le père et la mère sup sont présents et ils annoncent qu’ils allaient passer dans les classes pour une inspection. Les élèves se regardent et se demandent bien une inspection de quoi.

Toutes les filles rentrent en cours, et le père et la mère suivent un groupe. Ils en ressortent dix minutes plus tard et rentrent dans une autre classe et ainsi de suite, jusqu’à arriver dans la classe de nos chipies.

• Mesdemoiselles, j’avais exigé de vous et des religieuses, que vous soyez toutes épilées intégralement. J’espère que cela a été fait. Vous connaissez la sentence en cas de non respect du règlement ? dit le père
• Oui mon père, disent les élèves
• Parfait, vous montez toutes sur vos chaises, vous relevez vos jupes et baissez vos culottes, je vais passer dans les rangs pour faire un contrôle

Un brouhaha indigné se fait entendre dans la classe.

• Que se passe t-il ? demande la mère, vous êtes toutes des filles, et vous prenez vos douches ensemble et quant au père, il est présent lors des douches de contrôle donc pas d’histoire, exécution.

Les filles n’osent plus protester et montent sur les chaises. Elles relèvent leur jupe et la coince dans leur ceinture puis honteusement baissent leur culotte. Le père passe dans les rangs, ses yeux sont à hauteur des pubis des élèves et fait écarter les cuisses de certaines et passent des doigts par ci par là pour vérifier qu’il n’y a plus un poil dans les foufounes. Il fait quelques petits commentaires à l’une ou à l’autre du style : « on mouille Mademoiselle Hélène » ou « pas règlementaire cette culotte Mademoiselle Lilou » ou alors « Mademoiselle Lady, il reste des poils là sur les grandes lèvres » et en profite pour insérer ses doigts dans les petites lèvres. Puis il arrive soudain au niveau du pubis de Chipinette, tout poilu. Bon elle est rousse et elle n’a pas beaucoup de poils mais elle n’est pas épilée. Le père lève la tête pour vérifier à qui appartient cela et dit :

• Mademoiselle Chipinette, pourquoi ne suis-je pas étonné de cette provocation ?
• Ce n’est pas une provocation mon père, mais j’ai lu dans un article qu’il n’était pas hygiénique de s’épiler à cet endroit et voire même dangereux et peut apporter des infections ou mycoses. Je ne veux pas prendre ce risque même si cela doit vous déplaire
• Baliverne, ce n’est que pure provocation, ce soir, vous serez punie pour votre insolence d’hier et pour votre désobéissance d’aujourd’hui, au donjon sous le regard de toutes les religieuses et élèves. Vous allez morfler, je vous le garantis, je ne vous ferai aucun cadeau.
• Je n’en attends pas moins de vous mon père, dit l’effrontée Chipinette

Le père la fait descendre et l’attrape par l’oreille, la tire jusqu’à l’estrade, la courbe sous son bras, relève sa jupe, descend sa culotte et lui administre une sévère fessée. Ses fesses rougissent très vite sous la sévérité des claques. Puis il la met au coin et dit à la religieuse qu’elle restera ainsi toute la matinée. La sœur acquiesce. Les deux religieux sortent de la classe et le père dit à la mère :

• Je vais la mater celle-ci, elle m’exaspère, elle est insolente, effrontée, et me provoque à chaque instant. Elle va morfler ce soir, je te le dis.
• Allez calme toi mon père, elle recherche cela pour te mettre en colère et elle gagne en plus
• Oui je suis en colère, elle m’énerve.