Bonjour à vous qui pénétrez sur mon blog Mi-ange/Mi-démon. Tout d’abord, pour les personnes âgées de moins de 18 ans, merci de cliquer sur la petite croix rouge en haut à droite et BYE.

Bon maintenant que nous sommes entre adultes, je vous laisse découvrir ce blog. J’ai la chance de jouer dans le monde de la fessée, avec deux hommes, un que j’appelle « mon chenapan » et un autre qui est mon Educateur. Si j’ai fait ce blog, c’est pour vous faire partager la complicité que je vis avec l’un comme avec l’autre.

Vous trouverez donc des récits de l’éducation de mon chenapan, de mon éducation par mon Educateur, de fessées que j’ai reçues ou données avec d’autres personnes. Il y a aussi des récits tirés de mon imagination comme un long récit sur la vie au pensionnat, Aline et Thierry et d’autres.

J’ai essayé de classer cela par sujet et que j’alimenterai régulièrement. J’espère que vous vous y retrouverez et aurez plaisir à y revenir. Merci pour votre visite et n’oubliez pas les commentaires, cela fait toujours plaisir.

dimanche 16 août 2015

La vie dans le pensionnat... 12ème épisode


Le père prit une petite badine sur la table du réfectoire et se déplace entre les rangs des élèves à genoux. Il claque certaines fesses de pensionnaires qui ne sont pas droites. Mais pas un bruit ne se fait attendre. Le Père poursuit ses nouvelles règles :


  • Je disais donc, règle n°3, la douche, matin et soir, sera prise sous mon contrôle et je ferai des contrôles plus poussées. Règles n°4, aucun argent ne tournera dans le pensionnat, donc vous devrez déposer l’argent que vous avez dans le coffre-fort du pensionnat contre reçu. Vous pourrez le reprendre lors de vos weekends dans vos familles lors des permissions. Puisque je parle des permissions, elles ne seront autorisées qu’en fonction de votre comportement, cela ne sera plus systématiquement tous les weekends. Nous allons vous afficher le nouveau règlement et vous devrez le signer avant demain soir et le remettre à la religieuse responsable de votre dortoir. Suis-je clair ?
  • Oui mon Père, disent les élèves collégialement
  • Parfait donc après les règles, voici les punitions qui peuvent tomber en fonction de votre comportement, d’abord avec un comportement de gamine, la fessée comme une gamine sera donnée aussi bien avec la main, ma badine, dit-il en la montrant bien haut, le martinet, le coin sera aussi de nouveau investi, debout, les mains sur la tête ou à genoux. Les plus rebelles se retrouveront fesses nues devant leurs camarades. Pour les petites vicieuses qui se caressent le soir, elles se verront mettre une couche après avoir été fessées. Ceci est un début, j’étoufferais la rébellion qui commence dans ce pensionnat, j’en ai maté plus d’un et ce n’est pas maintenant que je vais accepter des petites rebelles mettre sans dessus dessous la vie tranquille d’un pensionnat.

Au sourire de la Mère Sup, elle jubile d’entendre ce discours. Chipinette commence à ruminer et à organiser son plan de vengeance envers les deux sadiques. Elle va mettre ses coupines au courant de ce qu’elle a vu et leur montrer les photos sur son portable. Il va falloir la jouer plus fin qu’eux car elle a son portable alors que c’est interdit et elle sent venir la fouille des chambres.

Le Père les autorise à se relever et s’assoir sur leurs chaises. Les filles se regardent sans échanger un seul mot mais leur regard est éloquent. Cela va commenter à la fin du repas quand elles seront dehors. Le repas se passe dans un silence de mort. On entendrait même une mouche voler. Comme décidé par le Père, il n’y a pas eu de dessert, c’était des compotes d’abricots.

Hélène est toujours dans son coin et a vraiment très faim, elle tente un regard vers Lady, qui ne pleure plus. Elle essaie de regarder derrière elle discrètement quand soudain elle voit la pointe noire de la chaussure d’un homme. Elle lève les yeux doucement et son regard plonge dans les yeux noirs du Père.

  • Alors on s’impatiente Mademoiselle Hélène ? vous êtes pressée de recevoir votre fessée ? avez-vous déjà reçu des fessées ?
  • Euhhh non mon Père, jamais, répond Hélène d’une petite voix
  • Et bien parfait, je serai le premier à vous en administrer une, dit-il en jubilant avec un sourire pervers. Vos camarades ont fini de diner, nous allons pouvoir les distraire un peu pour les consoler de leur privation de dessert.

Le Père attrape le poignet d’Hélène et l’emmène vers l’estrade où est placée une chaise.

Il lui demande de s’allonger sur ses genoux mais Hélène fait un signe de la tête que « non ».

  • Comment cela « non » ? Je vois, nous avons une des fortes têtes ici même et j’exige que vous vous allongiez sur mes genoux immédiatement
  • Même pas en rêve, réplique Hélène

Le Père est furieux et bascule Hélène sur ses genoux, la demoiselle se débat mais le Père est musclé et il maintient son buste de son bras gauche et pose sa main sur ses fesses.

  • Alors Mesdemoiselles, vous allez assister à la fessée de cette insolente qui sera en plus privée de manger. Une nuit sans dormir à cause de la faim devrait la faire réfléchir très longuement sur son comportement.

La main du Père se lève et la première claque tombe, le bruit fait sursauter toutes les filles présentes ainsi que les religieuses. Hélène se débat, tape des pieds, essaient de protéger ses fesses. Le père attrape ses mains et les maintient dans le dos, il lui est difficile de bouger sans se faire mal. Le Père ignore les cris et mouvements d’Hélène. Il continue de claquer les fesses d’Hélène comme si c’était un métronome. Clac-clac-clac-clac, sans aucune variation, toujours la fesse droite puis la gauche puis la droite puis la gauche, Hélène sent ses fesses chauffées.

  • Alors Mademoiselle, même pas en rêve ?? vous êtes bien allongée sur mes genoux et je vous mets une fessée et savez vous comment on met une fessée ?
  • Lâchez-moi de suite, ordonne Hélène
  • Je vous ai posé une question, dit le père en claquant très fort sur la cuisse
  • Aie vous me faites mal, dit-elle
  • Mauvaise réponse, dit-il en claquant l’autre cuisse
  • Je n’en sais rien, je vais prévenir mes parents qui vous mettront au tribunal
  • Comment ma Mère, ces demoiselles ne savent pas que leurs parents ont signé un papier nous donnant carte blanche pour leur éducation ? dit le Père avec un sourire enjoué.
  • Non mon Père, je n’en ai eu besoin que pour Aline et Chipinette
  • Ah oui ces deux demoiselles, il faudra me les présenter aussi.
  • Alors revenons à nos moutons, comme une fessée est donnée mademoiselle Hélène, demande le père tout en continuant de lui claquer les cuisses en dessous de la jupe, je commence à perdre patience
  • Comment voulez vous que je le sache, je n’en ai jamais reçu, lui dit insolemment Hélène en grimaçant
  • C’est votre première mais ce ne sera pas la dernière, vous aggravez votre cas Hélène, vous venez de passer commande d’une autre demain matin à votre réveil après votre douche. Alors qui peut aider sa camarade ? demande le Père dans la salle à manger

Un doigt se lève, le Père regarde la Mère qui donne l’autorisation de parler à Lilou.

  • Une fessée se donne déculottée mon Père, dit-elle d’une petite voix
  • Très bien mon enfant, une fessée se donne déculottée, répète t-il
  • Mais ça va pas, lui chuchote Chipinette, pourquoi tu as fait cela
  • Mais tu as vu comme il claque fort ses cuisses, si on ne répond pas, il va continuer
  • Pauvre Hélène, c’est un sadique, dit Aline
  • Il y a-t-il un problème là bas au fond ? demande la Mère
  • Non ma Mère, répondent les filles
  • Qui a osé parler sans autorisation là bas au fond, demande le père
  • C’est le petit groupe de rebelle, mon Père, dit la Mère Sup
  • Approchez mes enfants, venez voir de plus près ce qui vous attend bientôt, dit-il

Lilou, Aline et Chipinette s’approchent et regardent la rougeur des cuisses d’Hélène et ont mal pour elle.

  • Alors une fessée se donne déculottée n’est ce pas, dit le Père
  • Oui mon Père, répondent-elles
  • Parfait, on va donc relever cette jupe et baisser la culotte, ce qu’il s’empresse de faire avec beaucoup de délicatesse et de lenteur pendant qu’Hélène se débat pour l’empêcher de le faire. Regardez moi cela comme son insolence lui vaut de la rougeur et la chaleur sur ses fesses, dit-il ironiquement

 

14 commentaires:

  1. En faites la mere Supp c'est ton coté fesseuse Chipinette avoue et Italo le pere

    vous faites un bien beau couples de fesseurs lol

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  2. hé hé, bien sur, attends, je me suis éclatée dans ce récit!!

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  3. punaise et tu as pas eu peur du détriplement de personnalité ?

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  4. toujours aussi geniaux tes recits ma sunny ;)

    le pere educateur est tres severe et la mere sup on pourrait dire une sacrée vicieuse mdrr

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    1. oh si tu savais, elle est terrible!! elle ressemble parfois à quelqu'un que je connais! mdrrr

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    2. je ne vois pas du tout mdrr

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  5. du tres bon comme d'habitude , j'en redemande

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    1. merci VG, on verra cela dimanche prochain!!

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    2. on est dimanche .... tu peux mettre la suite si toooooo pllllaaaaaaiiiiiiitttttttttttttttttt

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    3. je ne sais pas car j'ai eu deux épisodes à la fois dimanche dernier!!

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    4. tu ne le vois pas mais je fais mon regard de pauvre chipie toute triste implorante devant mon pc tout en battant des cils

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  6. Quelle insolente, cette Hélène! ... Elle la veut, sa fessée....

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