Bonjour à vous qui pénétrez sur mon blog Mi-ange/Mi-démon. Tout d’abord, pour les personnes âgées de moins de 18 ans, merci de cliquer sur la petite croix rouge en haut à droite et BYE.

Bon maintenant que nous sommes entre adultes, je vous laisse découvrir ce blog. J’ai la chance de jouer dans le monde de la fessée, avec deux hommes, un que j’appelle « mon chenapan » et un autre qui est mon Educateur. Si j’ai fait ce blog, c’est pour vous faire partager la complicité que je vis avec l’un comme avec l’autre.

Vous trouverez donc des récits de l’éducation de mon chenapan, de mon éducation par mon Educateur, de fessées que j’ai reçues ou données avec d’autres personnes. Il y a aussi des récits tirés de mon imagination comme un long récit sur la vie au pensionnat, Aline et Thierry et d’autres.

J’ai essayé de classer cela par sujet et que j’alimenterai régulièrement. J’espère que vous vous y retrouverez et aurez plaisir à y revenir. Merci pour votre visite et n’oubliez pas les commentaires, cela fait toujours plaisir.

mercredi 28 janvier 2015

Weekend avec deux chenapans et Marie-Charlotte... janvier 2015 ... 1ère partie



Récit fait par Bruno

L’année 2015 commençait bien, Madame mary et Marie Charlotte avait décidé d’une nouvelle rencontre, j’étais bien sûr invité mais je ne serais pas tout seul à subir leurs (bonnes) volontés, le chenapan de Madame serait également de la partie.

Nous avions entendu parler de lui et lu sur le blog de Madame ses aventures et en terme de reprise en main, il ne faisait aucun doute que ce chenapan en avait terriblement besoin et à vrai dire je ne me sentais pas trop concerné par cette réunion car au niveau des bêtises ou autres sottises, je ne lui arrivais pas à la cheville. Je ne savais pas ce que Marie et Madame avaient prévu mais si des fesses devaient chauffer ce ne serait certainement pas les miennes !!! 

Ce petit séminaire était prévu chez Madame Mary, sur deux jours avec le rassemblement le samedi en fin d’après-midi avec cocktail de bienvenue, présentation, planning et objectifs  avec un  débriefing le dimanche.

La voiture était prête, je n’avais rien oublié, des douceurs pour Madame et une commande spéciale, des badines, trois jolies petites cravaches avec un code couleur en fonction de la faute commise par son intenable chenapan.
Nous étions un peu en retard, pas de ma faute pour une fois mais le passage à l’hôtel pour prendre possession de la chambre avait pris plus de temps que prévu à moins que ce ne soit le passage dans la salle de bains de Marie Charlotte ! 

C’est une belle région mais les routes sont étroites et peu sûres et je n’allais pas risquer un accident en me précipitant d’autant que ce rendez-vous promettait d’être savoureux et puis Madame n’ayant pas grand-chose à me reprocher, cela lui donnerait matière à me punir.

Madame Mary nous attendait, un sourire pour Marie Charlotte et un air plus  sévère à mon encontre, le ton de la réunion était donné !
Je décharge la voiture en oubliant volontairement certains objets dans le coffre et nous rentrons dans cette jolie maison.
Madame fait les présentations et nous découvrons ce chenapan en chair et en os, plutôt grand avec un sourire charmeur, pas intimidé pour un sou.

  • -        Bruno, monte te changer et vite !

Je suis tout de suite mis dans l’ambiance, mais je rétorque à Madame que j’ai oublié quelque chose dans la voiture, elle insiste mais cède devant mon petit caprice et me laisse retourner à la voiture, j’ai gagné et je voulais surtout montrer à son chenapan la façon dont il fallait s’y prendre avec Madame Mary !
Je reviens avec mes petits pots de confitures faites maison pour elle et les triques pour son chenapan.
J’ai réussi mon entrée et Madame est ravie, elle en oublierait presque ma tenue mais elle se reprend en m’ordonnant de me changer et rapidement.
Je monte me préparer en enfilant ma tenue de garnement mais je prépare une surprise en passant un boxer rouge du plus bel effet.
Je redescends, Marie a posé sur la table du salon son petit coffret de martinets et est en pleine discussion avec Madame, son chenapan est en cuisine et prépare l’apéritif, je vous le disais que ce serait une belle soirée pour moi. 

La musique d’ambiance est agréable et  Madame nous invite à nous installer pour prendre l’apéritif pendant que son chenapan se bat avec le goulot de la bouteille, mais parvient à extraire le bouchon sans faire trop de dégât. Les bulles montent dans les flutes et le fait de ne pas faire le service m’est très sympathique, pour une fois que ce n’est pas moi qui fait le serviteur auprès de ces dames et pour être franc je trouve que cela lui va très bien. Je me garde bien de faire la moindre allusion !

La soirée commence vraiment à cet instant, c'est-à-dire que le jeu débute et je peux à tout instant me retrouver au coin ou déculotter sur les genoux d’une de ces dames.
A peine ai-je eu le temps de me faire cette réflexion que Madame intime l’ordre à son chenapan de se mettre à genoux les mains sur la tête dans un coin de la pièce, je ne sais même pas ce qu’il a fait mais si il se  retrouve dans cette position, c’est qu’il le mérite ! Et en plus cela ne me déplait pas de le voir puni de cette façon. Je sais, cela n’est pas très sympathique pour lui mais pendant que Madame s’occupe de lui, elle me laisse tranquille.
Je regarde Marie Charlotte qui observe ce grand garçon à genoux et je me demande ce qu’elle peut bien penser de cette situation mais je me rends bien compte qu’elle approuve !
Si la solidarité n’existe pas entre garnements, elle existe bien entre fesseuses !!!
Madame étant également pragmatique, elle lève la punition car  il nous faut quelqu’un pour faire le service et je suis surpris d’être ainsi épargné mais je ne boude pas mon plaisir pour une fois que je ne suis pas le centre de leurs activités manuelles.

Le plaisir est de courte durée, Marie s’aperçoit de mon contentement trop visible à son goût et  me souffle à l’oreille que je ne perds rien pour attendre. A se demander si les dominatrices ne sont pas télépathes car Madame Mary me demande de me lever de m’installer penché sur le canapé.
Un profond sentiment d’injustice me saisit, j’ai juste haussé un peu le ton dans notre discussion animée, certes envers Marie et je me retrouve immédiatement en position d’être corrigé. Madame Mary me donne la raison du regain d’entrain envers ma personne, elle me trouve insolent envers mon épouse et de plus  elle ne se rappelle plus de l’effet du fameux martinet rouge de Marie sur les fesses d’un garnement et veux se rassurer au plus vite et d‘après Madame  il n’y a pas de meilleur moment qu’après un apéritif et juste avant d’attaquer le plat principal. Je m’apprête à la contredire sur ses motivations mais la raison l’emporte et je me résigne à supporter son désir d’apprentissage en maniement du martinet. Il y a juste un détail qui me contrarie, c’est d’être puni devant son chenapan, je pensais bénéficier d’un régime de faveur mais Madame Mary en a décidé autrement et un sentiment de honte commence à m’envahir. Je ne vois pas le visage de son garnement mais un sourire de contentement doit commencer à s’y dessiner.
Madame n’a pas son pareil pour déculotter et de sentir sa main chercher le bouton qui maintient le short en place me fait toujours autant d’effet  et je savoure déjà sa surprise quand elle va découvrir la couleur du slip !

  •  Mais, mais ?  Tu sais bien que seule la couleur blanche est de rigueur ! fait- elle !!
  •   …….
  •   Alors ?
  •  Oui Madame !

Son chenapan rajoute même :

  •  Il abuse quand même ! 

 On ne lui a pas demandé son avis au cuisinier !
La douceur n’est plus de mise, elle a le déculottage rageur Madame Mary lorsqu’elle est contrariée et moi qui pensait que le rouge l’adoucirait et bien je me suis trompé.

A peine ai-je pu me rendre compte que j’avais les fesses à l’air que le premier coup de martinet s’abat et avec force s’il vous plait et je peux constater que Madame a encore des progrès à faire, cette première cinglée me saisit au niveau de la hanche, un endroit extrêmement sensible, elle réajuste ses coups qui arrivent à présent sur les fesses et c’est presque un plaisir comparé au début car la douleur sur le côté est encore très vive.
Elle ajoute même :

  • Tu vois Bruno, je me félicite de cette fessée car j’ai encore des progrès à faire et je te remercie de m’en donner l’occasion.

Ce martinet est vraiment terrible et la fin de la correction est une délivrance. Madame me demande d’aller m’excuser auprès de Marie pour mon insolence.
Je m’exécute et suis invité à me rasseoir autour de la table. Au moins j’ai échappé au coin.

9 commentaires:

  1. Oh le vilain chenapan qui ose faire de moi un tableau bien ridicule. Ça ne s'est pas passé tout à fait comme ça. Bruno le poltron pleurnichait comme une chipie sous les coups de martinet de Madame. Ce sale effronté désobéissant s'est permis de venir en dandy arrogant comme au théâtre, esperant assister au spectacle de ma fessée. J'ai bien ete puni par Mademoiselle Marie Charlotte, et c'est vrai qu'elle a la main leste. Par contre j'ai encaissé sa fessee comme un grand sans chouiner comme Bruno semble le suggére. Lui par contre a vite déchanté. Je le croyais plus courageux. Mais c'est comme beaucoup de chenapan: la langue bien pendue...mais on la met en veilleuse quand on se retrouve cul nu ( et ça rime en plus)

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    1. oh oui alors, pas très joli ce manque de solidarité entre chenapans, heureusement que nous les fesseuses ne sommes pas ainsi!!!
      vivement la suite de ce récit!!

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  2. oui Chenapan la solidarité il connait pas en plus il ose mettre Madame mary au lieu de Madame Mary avec un double M majuscule

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    1. Merci Lady de me l'avoir fait remarquer, je vais sévir la prochaine fois!!

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    2. Chipinette les coupines c'est fait pour ca ^^

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    3. "cette première cinglée me saisit au niveau de la hanche,"

      il a bougé c'est pour ca parce que tu sais bien te servir du martinet quand c'est sur mes fesses donc ya pas de raison que tu saches plus sur lui

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    4. absolument d'accord, il dit des mensonges encore, car je ne m'en rappelle pas plus que cela!! ce que je me rappelle c'est que ses fesses étaient bien rouges.

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  3. Je me demande si c'est une histoire de solidarité entre fesseuse ou entre filles. Je pencherai plutôt pour le "entre filles". ^^ Chipinette, tu as raison de vérifier la sensibilité de chaque zone. Et puis, c'est parfait pour le mettre rapidement dans le bain. D'ailleurs ce boxer rouge était une provocation qui ne méritait qu'une réaction de cette amplitude.

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    1. je suis contente que tu sois d'accord avec moi, c'était de la pire provocation mais cela lui a couté cher!!

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