Bonjour à vous qui pénétrez sur mon blog Mi-ange/Mi-démon. Tout d’abord, pour les personnes âgées de moins de 18 ans, merci de cliquer sur la petite croix rouge en haut à droite et BYE.

Bon maintenant que nous sommes entre adultes, je vous laisse découvrir ce blog. J’ai la chance de jouer dans le monde de la fessée, avec deux hommes, un que j’appelle « mon chenapan » et un autre qui est mon Educateur. Si j’ai fait ce blog, c’est pour vous faire partager la complicité que je vis avec l’un comme avec l’autre.

Vous trouverez donc des récits de l’éducation de mon chenapan, de mon éducation par mon Educateur, de fessées que j’ai reçues ou données avec d’autres personnes. Il y a aussi des récits tirés de mon imagination comme un long récit sur la vie au pensionnat, Aline et Thierry et d’autres.

J’ai essayé de classer cela par sujet et que j’alimenterai régulièrement. J’espère que vous vous y retrouverez et aurez plaisir à y revenir. Merci pour votre visite et n’oubliez pas les commentaires, cela fait toujours plaisir.

vendredi 18 avril 2014

Samedi matin... avril 2014


Il est 8h30 et j’entends des pas dans les escaliers, c’est Italo qui arrive pour me réveiller, la porte s’ouvre, je fais semblant de dormir. Il approche et je sens une main se poser sur mes fesses et il les caresse. Il aime, j’aime, on ne se prive pas. Puis un petit bisou atterrit sur ma joue, et il me dit :


  • bonjour ma Chipinette, tu as bien dormi ?
  • mmmmmmmm oui alors, et vous ?
  • très bien merci, allez, on va déjeuner, on a beaucoup de choses à faire ce matin
  • oui Monsieur,
  • tu descends ainsi, tu déjeuneras sans culotte
  • non, mais ce n’est pas possible, je n’aime pas, vous le savez, lui répondis-je aussitôt réveillée et prête à affronter Italo
  • ne recommence pas, si tu n’avais pas fait la maline hier soir, tu aurais eu une culotte ce matin mais comme tu n’as pas respecté les consignes, tu es privée de culotte. Et ne souffle pas si tu ne veux pas que je te fesse immédiatement

Je souffle dans ma tête (héhé), me lève, et je descends en haut de pyjama, et évidemment il n’est pas long. Je déteste être sans culotte, c’est vraiment une punition très sévère pour moi. On déjeune, puis il me dit :

  • tu viens t’allonger sur mon lit là
  • pourquoi faire Monsieur
  • quand apprendras-tu à obéir sans discuter ?
  • ben ça je crois que c’est jamais
  • Chipinette, tu viens là de suite

Je viens vers Italo en trainant des pieds, il me montre le lit, je le regarde, puis le lit, puis lui et il me claque la cuisse pour que je m’allonge. Il me tire sur le bras pour que je bascule sur le lit.

  • Je sens que tu as besoin d’une fessée et comme cela va être la dernière, elle va être très longue
  • Mais j’ai rien fait moi !!
  • Si, tu contestes, discutes, essaie de m’embrouiller, m’embobiner, etc..
  • Pffff ce n’est pas vrai d’abord
  • Tu souffles encore ?

Je me positionne bien sur le lit avec un gros oreiller sous le ventre. Il commence à claquer doucement, puisque cette fessée sera longue. Au bout d’un certain temps, il décide que je dois écarter les jambes et les cuisses et moi je n’aime pas du tout. Donc je résiste, je n’avais pas vu qu’il avait pris le martinet et là surprise j’en reçois deux coups secs.

  • Aie mais vous n’avez pas le droit de faire cela, ça fait mal
  • Ouvre tes cuisses
  • Mais nonnnnnnnnnnnn

Deux autres coups de martinet tombent et de nouveau je lui dis aieeeeeee.

  • Je te promets Chipinette que là tu vas obéir et je ne cèderai pas
  • Pfffffff et ben moi non plus
  • Pas de souci, avec le martinet et les claques, tu ouvriras les cuisses et tu t’offriras à ton éducateur que je suis

Il insiste, il essaie de m’ouvrir les fesses, mais moi je ne veux pas. Il me redonne des coups de martinet. Cela va durer un long moment jusqu’à ce que j’accepte d’ouvrir les jambes et que je ne sers plus les fesses. Un vrai rapport de force qu’Italo n’avait pas l’intention de perdre, il sait, me connaissant, qu’il est perdu s’il lâche. C’est très humiliant d’être ainsi dans cette position. Mes fesses piquent et chauffent, j’ai reçu au moins une quarantaine de coups de martinet et je ne compte pas les claques. Je suis très têtue, hé hé je suis bretonne (et fière de l’être).

Puis une idée germe en moi, je me laisse faire, je ne bouge plus, me laisse aller même si cela me coute grave.

  • Ah voilà ma chipie est matée, elle ne résiste plus, enfin elle a compris quel était son intérêt. Tu sais que ton éducateur a tous les droits, tu dois obéir…et bla bla bla
  • ......
  • bla bla bla

Il continue ainsi un petit moment tout en me caressant les fesses et les cuisses et plus… et me voyant sans réaction, il me dit :

  • Tu as compris Chipinette ?
  • Tu peux me répondre là me dit-il en me secouant un peu
  • Mmmmmmmmmmmm hein ? mais qu’avez-vous dit ? je n’ai pas entendu
  • Je t’ai demandé si tu avais compris ?
  • Compris quoi ? je ne sais pas, vous m’avez réveillée, lui dis-je morte de rire intérieurement
  • Non mais je rêve, tu as les fesse rouges, chaudes, en position disciplinaire et tu oses encore me provoquer, ce n’est pas possible ça

Et là j’éclate de rire, je sais que je vais le payer cher, mais c’était trop tentant, j’essaie d’échapper mais il me tient bien et là 20 coups de martinet bien sévères ont atterri sur mes pauvres fesses mais j’étais fière de moi. Fière de ma blague !! J’adore taquiner Italo même si ensuite je sais que mes fesses en pâtissent !

Le temps nous est compté, il faut que l’on se dépêche, il reprend le train mais on va manger avant au restaurant pour notre dernier repas ensemble. Il doit faire sa valise, se laver. Je file me doucher et je le taquine sur le temps qu’il met, pire qu’une midinette. Je m’habille et on part.

Il me regarde et me dit :

  • Dis donc toi, tu as vu comment tu es habillée ?
  • Oui Monsieur, en jeans
  • C’est nouveau ça ?
  • Oh non, cela fait au moins 2 ou 3 ans que je l’ai !! il est bien, vous ne trouvez pas ?
  • Tu te moques de moi là ??
  • Pourquoi ? lui dis-je en sachant où il voulait en venir
  • Et ta robe ?
  • Quelle robe ?
  • Tu sais que tu as l’obligation d’être en robe quand tu es avec moi
  • Ah bah vous ne me l’avez pas dit tout à l’heure donc trop tard, je lui dis en pouffant, il ne peut plus rien faire
  • J’espère que tu as au moins une culotte blanche ?
  • Euhhhhhhh, je ne crois pas
  • Mais quelle peste tu es, tu es vraiment incroyable !! une vraie chipie hors classe mais adorable

Et voilà un bon repas au restaurant et je le dépose à la gare de RER.

Merci à toi Italo pour ces quelques moments remplis de fessées certes mais aussi des moments de fou-rire, de taquineries et de câlins petits et gros ! J’ai pris une bonne dose, pas de sagesse, tu t’en doutes, mais de bonheur pour attendre la prochaine rencontre.
Pour les amateurs des photos de mes fesses roses, désolée, on n'en a pas pris cette fois ci, trop pris dans notre jeu!

7 commentaires:

  1. j'adore ^^ t'en de compliciter c'est super

    Atte de lire de nouveau vos aventures ^^

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    1. merci ma puce!! et tu as vu comme je lui en fais baver??? non mais on ne va pas se laisser faire par les fesseurs en plus!! mdrrrrr

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    2. franchement depuis quand on doit faire se que nous demande les fesseurs ou fesseuses d'ailleurs ?? mdr

      faut bien leur donner un peu de taff pour qu'ils oublient pas l'essentiel ^^ que étourderie (pour pas dire betises) et chipie c'est va ensemble

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  2. Tien tien ça me rappelle des souvenirs là le RER et une chipie difficilement domptable mais il y arrivera j'en suis sur

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    1. me dompter?? Ours voyons, soyons réalistes, je ne suis pas domptable, impossible!! mais je le laisse espérer!! lol!!!

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  3. Excellent le coup de faire semblant de dormir, je l'essaierai, à l'occasion, tiens.

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    1. n'hésite pas, un pur moment de bonheur de voir la tête qu'ils font quand tu leur dis!!! mouahahahahahaha

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