Un chenapan qui s'est bien fait avoir ... avril 2018

Le visage que j’arbore n’est pas vraiment possible à décrire, je n’ai pas de mots qui sortent, je regarde mes pieds sous le regard et le sourire moqueur de ma gouvernante et de Madame Mary. Et elles ont bien raison de rire car je me suis fait rouler dans la farine et de bien belle manière. Et oui le chenapan que je suis, a été attrapé et bien ficelé dans la toile tissée par les deux diablesses. Je vais recevoir une correction mémorable qui n’était pas prévue, j’en ai reçu une la veille sur ma demande pour rien, nous avons acheté et offert avec ma gouvernante en cadeau pour Madame  Mary, un instrument qui va servir pour mes propres fesses. Mais pour comprendre il faut remonter 24 heures en arrière.

Acte 1 : une punition pour rien

Nous sommes en route pour un hôtel proche de Paris avec ma gouvernante. Le lendemain est chargé avec courses dans paris et surtout nous sommes invités le soir à manger chez Madame Mary. Ce rendez-vous pourrait être très dangereux pour mes fesses vu le nombre de fois où j’ai osé la provoquer mais je ne risque rien. Sa fille ne travaillant pas, il n’y aura pas de jeu. Oufffff.

Aussitôt arrivé à l’hôtel nous filons manger et dès le repas fini Mademoiselle Lylye semble pressée de remonter, on se demande bien pourquoi. Dès le retour en chambre, ma gouvernante m’intime d’aller de suite au coin. J’y suis depuis à peine 5 minutes, que Madame  Mary  appelle ma gouvernante. Au vu de mon comportement envers elle et vu que demain elle ne pourra pas me punir, je demande à lui parler et lui propose, si elle est d’accord, une punition punitive donnée par ma gouvernante, proposition qu’elle accepte de suite. Je me sens soulagé car mes actes vont être punis et hop on en parlera plus. Mademoiselle Lylye se met de suite au travail avec une fessée sur le slip, slip vite enlevé pour continuer à chauffer les fesses.  Cet intermède passé, nous passons dans un premier temps à la fessée préventive à la brosse à cheveux. Mademoiselle est maitre dans cet instrument (ce n’est pas le seul hein) et je dois compter les coups sniff. Puis après Mademoiselle, pour la punition de Madame Mary, me fait choisir un instrument et 3 fois de suite je tombe sur le paddle en bois qui fait très mal. Nous terminons par le martinet et c’est avec les fesses brulantes que je me couche.

Acte 2 : le cadeau

Il est 15 h et d’un coup avant de partir passer la soirée chez Madame Mary, ma gouvernante me propose de lui acheter un petit cadeau chez domina. Elle ajoute que ce sera un beau jouet qu’elle pourra utiliser sur ses chenapans. Je trouve l’idée excellente, surtout quand c’est pour les fesses des autres. Aussitôt arrivé nous nous rendons dans le rayons fessée, rayon où sont alignés tout ce qui fait le bonheur des gouvernantes : paddle, martinet et badine sont fièrement exhibés et n’attendent que de rougir les fesses des vilains garçons ou filles lol. Le choix de ma gouvernante se porte sur un paddle en cuir épais, instrument qui me semble redoutable. Effectivement après l’avoir essayé sur la paume de ma main aie aie aie. Je plains de tout cœur les chenapans de Madame Mary, ça va claquer dur sur leurs pauvres fesses. Je ne peux m’empêcher de sourire en coin et les imaginant danser sous les coups.  Nous payons et partons chez Madame Mary.

Acte 3 : le piège et la surprise

Nous arrivons chez Madame Mary qui nous attend à la porte en compagnie de sa fille. Je suis soulagé de voir que ma sauveuse est là héhé. Les bonjours et la discussion commence et Madame Mary annonce que nous allons prendre l’apéro dehors mais la table est sale. En bon chenapan je me dévoue et une fois la tache effectuée je rejoins ses dames au salon. En entrant je vois une assiette sur la table et je demande pour qui c’est et là, la fille de Madame Mary me dit avec un grand sourire que c’est pour elle car après elle va travailler. Houla, un truc pas du tout prévu, je regarde ma gouvernante et Madame Mary et comprends de suite que je viens de me faire avoir. Et oui je me pensais tranquille et ben le programme va être tout autre : ça va barder. Et c’est peu dire car aussitôt la fille de Madame Mary partie, le jeu démarre. Madame Mary devient le temps d’un soir la gouvernante en chef et Mademoiselle Lylye m’amène pour une sérieuse remise au point. Mais avant tout, je donne le cadeau à Madame Mary qui de suite adore et le fait claquer dans sa main en me regardant avec un sourire pleins de promesses «houla ca claque bien mon grand, tu vas te régaler tout à l’heure ….. » 

Mademoiselle Lylye commence par faire le bilan de mon attitude, bilan très très très très surestimé et pas du tout véridique. Je tente de me défendre mais Madame Mary me tire fort l’oreille en m’intiment de me taire. Face à cette sévérité et au regard noir de ma gouvernante j’opte pour le silence. Les deux gouvernantes me demandent de quitter mon pantalon et mon slip et d’enfiler un tablier. En effet ce soir c’est les fesses à l’air que je vais faire le service et gare en cas de bêtises. Je m’exécute et file au coin en attendant la suite des évènements.

J’entends Madame Mary mettre la table et annoncer bien fort que je vais recevoir une mise en bouche avant le repas. J’attends de longues minutes, de très longues minutes, les deux gouvernantes discutent sur le canapé, Madame Maryappelle au tel son soumis et le temps passe. C’est presque pire que d’être puni, je suis dans l’ignorance, je perçois juste des phrases, le temps me semble interminable. Enfin Madame raccroche et je l’entends monter à l’étage et revenir. Ma gouvernante elle sort dehors et revient quelques minutes après. Bruit de frottement, de bois qui s’entrechoque, de claquement de cuir puis on m’annonce que finalement on va manger et que je serais puni après.

Je jette un œil sur la table du salon et vois qu’un large panel d’instruments s’y trouvent, large panel est un euphémisme puisqu’il y a tout : 3 martinets, paddle en cuir et en bois, brosse à cheveux, brosse de bain, cravache, stappe aie aie aie aie.

Le repas se déroule sans accros car je fais très attention à ne pas faire de bêtises et dès la fin du repas les fessestivités commencent. Madame Mary s’installe sur le canapé et m’invite à venir me positionner en travers ses cuisses. Je me positionne et les premières claques tombent sur mes fesses nues. D’entrée de jeu ça ne rigole pas, Madame Mary claque très fort, la punition promet d’être magistrale. La fessée se poursuit 5 minutes et hop direction le coin pour méditer.

Cela fait du bien cette pause mais malheureusement de courte durée puisque c’est maintenant ma gouvernante qui est installée et qui reprends les choses en mains, enfin plutôt en claques, et pim et pam ça tombe dru et cela me brule de plus en plus et ce n’est que le début. En effet, maintenant que les fesses sont à bonnes températures on va passer aux choses sérieuses.

Tout d’abord, ma gouvernante me demande d’avouer à Madame Mary ma bêtise du matin. Sous son regard sévère je suis obligé de lui avouer que j’ai fait une comédie pour ne pas mettre mon slip blanc en coton. Madame Mary saisie la brosse de bain et me dit que l’on va arranger cela. La punition commence par des coups de brosses très fort avec en prime les recommandations de Madame Mary : le slip blanc en coton est obligatoire et elle va se charger de me le faire comprendre.

Au bout de 15 coups j’ai très bien compris mais ma gouvernante veut en être bien sûr : elle se saisie à son tour de la brosse pour bien marquer son pouvoir et son territoire, c’est-à-dire mes fesses.

Là je commence sérieusement à regretter mon comportement et Madame Mary annonce qu’il est temps de gouter au cadeau. Moi qui me réjouissais de ce qui allait se passer pour les fesses des chenapans de Madame, et bien ce n’est pas la même musique. J’ai beau tenter de bouger les fesses, l’instrument tombe toujours au bon endroit et ça brule de plus en plus. Le pire est que je dois compter les coups pfffff.

Puis viens le martinet, 20 coups que je compte avec plus de difficultés. Au bout des 20 coups j’entends un chuchotement et vlan vlan un coup de martinet sur chaque fesse. Madame Mary et Mademoiselle Lylye ont pris chacun un martinet et montre à un vilain garnement qui commande et qui va avoir les fesses cramoisies.

Le paddle en bois, paddle qui fait très mal prends le relais et Madame Mary termine  par son prototype de martinet. Un dernier coup et c’est la fin des fessestivites.

Je tenais à remercier Mademoiselle Lylye ma gouvernante et Madame Mary pour cette surprise marquante. J’ai été sévèrement puni et recadré mais au vu de mes provocation c’était amplement mérité. Mille mercis pour ce super moment qui m’a fait comprendre bien des choses.