Pendant que Bruno se fait
tirer les oreilles par Marie Charlotte, Madame me convoque dans sa chambre. Ca
ne laisse présager rien de bon. Je me demande ce qu'elle me veut.
A l'heure
convenue, je monte au premier. Frappe à la porte de sa chambre. Entre, chenapan,
dit-elle. Madame est sur son lit. Assise. Je remarque tout de suite mon cahier
de punitions ouvert sur le couvre-lit. Je ne fais pas le malin parce que la
liste de mes bêtises (et donc des punitions)
est longue. La note va être salée. Madame inscrit tout, la moindre
entorse au règlement, les oublis, les impolitesses, Je reste debout, les mains au dos, n'ayant
pas été invité à m'asseoir. Déshabille toi, m'ordonne t-elle. Je commence par
retirer mes chaussures, puis le pull, ensuite le polo. Je plie mes vêtements
avec soin. Le bermuda suit. Tout. Retire tout! Oui Madame. Je me déculotte.
Gêné par son regard sur mon sexe qui commence à se raidir. D'un geste pudique
cache mon entrejambe. Enlève ta main. Tu n'as rien caché à ta gouvernante.
Pardon Madame' Me voici tout nu. Mains au dos. Sexe dressé.
Madame parcourt mon
cahier de punitions. Tu vas aller chercher ta cage, ton rosebud et l'huile de
massage. Bien Madame. Tout nu dans le couloir. Heureusement je ne croise
personne, ni Marie Charlotte, ni Bruno qui ne manquerait pas de se moquer. De
retour dans la chambre de Madame, je m'aperçois qu'elle a enfilé un gant médical
à sa main droite. De l'autre, elle tient un tube de vaseline. J'ai parfaitement
compris ce qui m'attend. C'est heureusement une punition rare. Je sais qu'elle
figure dans mon cahier.
Tout a commencé un mois auparavant avec la liste de mon
trousseau à apporter pour ce séjour. Madame avait donné la liste des vêtements
à prévoir et les objets obligatoires à mettre dans ma valise. Elle avait rajouté
à la liste un objet que je déteste plus que tout. Ca m'avait fait bondir, me
faisant oublier le respect que je lui dois: La poire à lavement? Je pense qu'il
s'agit d'une erreur. Pourquoi pas une couche-culotte! Et puis le plug gonflable,
le fouet? Outrée par le ton employé, Madame avait répondu: Excellente
idée. Tu les rajoutes. Merci
A ce petit
jeu là, je ne risquais pas de sortir gagnant. Pourtant ma fierté me rendant
insolent, j'ai lâché avec imprudence: Pas question. La sanction ne s'est pas
fait attendre: Tu as gagné la punition que tu adores: la gymnastique anale et
si tu continues ce sera devant Nicole. Réfléchis bien avant de me répondre car
tu sais de quoi je suis capable. Sur ce, elle avait raccroché après m'avoir
ordonné d'inscrire la punition sur mon cahier. Ce que j'ai fait. Mais sur le
moment, ma convocation était encore loin et je m'en fichais un peu. Mais le
moment était arrivé. Une punition promise est une punition à faire. Quoi qu'il
arrive. Madame n'oublie jamais et ne
revient jamais en arrière. Heureusement la sentence allait se dérouler dans le
huis clos de sa chambre. Il allait en être ainsi tout le long du séjour, les
punitions infligées dans le cadre de notre jeu à tous les deux, se dérouleraient
en privé....sauf si Madame en décidait autrement. Car elle a tous les droits.
Tu connais la position. Oui Madame. Me voici à quatre pattes. Elle me fait
écarter les genoux. Puis mettre les épaules au sol. Cambrer les reins. Elle me
donne de petites tapes sur les cuisses pour me faire obéir. J'imagine le
spectacle indécent que je lui montre. Je me fais docile. Si je la contrarie,
elle est capable de convier Marie Charlotte à mon humiliante exhibition. Les fesses très écartées, j'attends que
Madame m'étale une noisette de vaseline sur mon petit orifice qu'elle masse de
ses doigts gantés. Elle m'assouplit le petit trou. L'index se
plante en moi. J'ai honte. Puis la " gymnastique" commence. Madame
mène la danse: Serre. Plus fort...
Décrispe... Mieux que ça... Pousse... Bien ouvert....tousse.... Serre... Plus
fort.... Ouvert..... La bague élastique de mon anus se contracte et se relâche
autour de l'index de ma Gouvernante. C'est affreusement humiliant. C'est la
punition la plus honteuse que je connaisse. Quand elle estime que l'épreuve a suffisamment
duré, elle retire son doigt et le remplace par le rosebud que je vais devoir
garder jusqu'au soir.
Mais ce n'est pas terminé pour autant. Madame parcourt le cahier de punition et me rappelle que je suis condamné au port de la cage de chasteté, pour m'être caressé sans son autorisation. Il me faut donc sous son contrôle enserrer la bague de silicone à la base des testicules et y fixer la cage. L'étui pénien qui accueille mon sexe, l'oblige à rester décalotté et le contraint à s'incliner vers le bas. Je dois forcer un peu pour le maintenir en place car une semi érection le fait se redresser. Mon pénis se trouve très vite à l'étroit dans sa prison de silicone. Je me sens contraint, bridé et cela attise la sensation de soumission au plus intime de moi. Sensation renforcée par la présence du rosebud entre mes fesses. Le moment le plus fort de cette mise en cage est quand Madame referme le petit cadenas. Ce cliquetis qui marque son pouvoir qu'elle impose au plus intime de mon corps. Je suis autorisé à me rhabiller. Quand je lui demande combien de temps je vais garder la cage, elle répond, évasive et ironique: Je ne sais pas. Plusieurs jours peut être. Tout dépend de ton comportement. En vérité j'ai porté ma cage pendant trois jours. Jour et nuit. Sans interruption. C'est la première fois qu'une mise en cage aura duré si longtemps.
Mais ce n'est pas terminé pour autant. Madame parcourt le cahier de punition et me rappelle que je suis condamné au port de la cage de chasteté, pour m'être caressé sans son autorisation. Il me faut donc sous son contrôle enserrer la bague de silicone à la base des testicules et y fixer la cage. L'étui pénien qui accueille mon sexe, l'oblige à rester décalotté et le contraint à s'incliner vers le bas. Je dois forcer un peu pour le maintenir en place car une semi érection le fait se redresser. Mon pénis se trouve très vite à l'étroit dans sa prison de silicone. Je me sens contraint, bridé et cela attise la sensation de soumission au plus intime de moi. Sensation renforcée par la présence du rosebud entre mes fesses. Le moment le plus fort de cette mise en cage est quand Madame referme le petit cadenas. Ce cliquetis qui marque son pouvoir qu'elle impose au plus intime de mon corps. Je suis autorisé à me rhabiller. Quand je lui demande combien de temps je vais garder la cage, elle répond, évasive et ironique: Je ne sais pas. Plusieurs jours peut être. Tout dépend de ton comportement. En vérité j'ai porté ma cage pendant trois jours. Jour et nuit. Sans interruption. C'est la première fois qu'une mise en cage aura duré si longtemps.
Pendant que je remets mes vêtements, Madame, elle, se
déshabille. Elle se met à plat ventre sur son lit. Maintenant Chenapan, tu vas
masser ta Gouvernante. Je laisse juste une petite lumière et mets une musique
douce en sourdine. Je réchauffe entre mes mains le beurre de karité et commence
de lents effleurages sur son dos. Sa peau est douce et chaude. Elle semble
assoupie. Je m'applique à lui masser les cuisses et les fesses, puis mes mains
remontent sur les épaules et la nuque. Ses tensions s'apaisent. Elle
s'abandonne à la douceur du massage. Je n'oublie aucun endroit et insiste sur
ses pieds car je sais qu'elle adore ça.
Mes doigts pétrissent, insistent sur les points de tensions. Je m'applique
à la combler. A lui donner le plus de plaisir possible. C'est le privilège des
Gouvernantes d'être massées et servies comme des princesses.
Voilà... Encore un privilège que de se faire masser par son chenapan. Décidement la vie d'une domina a du bon.
RépondreSupprimerpour ton plus grand plaisir aussi!!
SupprimerCette gouvernante fort sympathique a une excellente mémoire, est très attentionnée et ouverte au dialogue! Bref : la femme parfaite, quoi !
RépondreSupprimertu n'en doutais pas j'en suis sure mon cher Max!!
SupprimerElle a une mémoire de poisson rouge, mais elle marque tout. Elle a même informatisé le cahier de punition. Impossible de passer entre les mailles du filet.
RépondreSupprimerà l'aire de l'informatique, je suis à la page!!
SupprimerEt bien ma foi il se passait de drôle de choses à l'étage !!!
RépondreSupprimerJ'ai bien fait de ne pas m'y risquer :)
oh oui tu as eu raison!!! c'était il parait très honteux!!
RépondreSupprimersuper recit , je pense que bruno aurait bien besoin d'un tel traitement moua
RépondreSupprimervg
Un tel traitement ? mais mais je ne le mérite pas !
SupprimerEncore qu'il y a des petites punitions intéressantes
Tu te laisses dire que tu as une mémoire de poisson rouge ? :o
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