La vie dans le pensionnat ... 18 ème épisode

Les deux jeunots rentrent dans le bureau, le bureau de pénitence est débarrassé et une bassine remplie d’eau est en plein milieu.

• Allez, nous allons vous laver, on ne voudrait pas que vous sentiez une odeur malodorantes tout au long de la journée. Venez ici ma sœur, je vais m’occuper de vous, dit le père et la mère sup va s’occuper de votre don juan. Vous écartez bien les cuisses, je vais vous enlever votre culotte, vous lavez, puis je la remettrai. Je vérifierai bien évidemment le bon fonctionnement de l’appareil et si vous êtes sage et obéissante, je verrai si je vous ferai un petit plaisir. Ai-je été bien clair ?
• Oui mon père, dit la sœur
• Et vous jeune homme, dit la mère, il en sera de même pour vous, c’est bien clair ?
• Oui ma mère, dit Petit Coquin

Les culottes retirées, les jeunes gens sont lavés dans le moindre recoin, tout y passe, on peut faire confiance au père et à la mère. Les deux punis sont allongés sur les genoux de leur bourreau et comme promis, un petit plaisir leur est accordé. Le père augmente progressivement la vibration de l’œuf et la sœur ayant très envie, ressent un violent orgasme la soulever. Le père n’hésite pas à faire des commentaires :

• Dis donc, une rapide notre petite sœur là, il faudra bien la surveiller
• Oui je vois cela, dit la mère

Puis la mère en fait de même avec le jeunot, elle met un préservatif et augmente la vibration du rosebud. Petit coquin ne connait pas de plaisir à cet endroit et il est surpris par la violence de ce plaisir. Il laisse échapper un cri. Le père et la mère rient et se moquent de lui. Il est rouge comme une pivoine. Puis les deux jeunes gens sont de nouveau équipés et ils repartent à leur occupation. Ils n’osent pas se parler mais leur regard en dit beaucoup !! Un amour nait entre ces deux là !!!

Le père et la mère sup sont devant la porte qui mène aux classes. La cloche sonne et les élèves se mettent en rang. Quand le silence est revenu, le père dit :

• Je vous rappelle que le règlement stipule que vous ne devez avoir aucun argent sur vous et qu’il doit avoir été donné à votre responsable de chambre. Donc ce matin, pendant que vous serez en cours, une fouille aura lieu et si nous trouvons des objets illicites à notre gout (argent, téléphone portable, etc…), vous serez fessées devant vos camarades puis exposées pendant les récréations qui suivent. Vous pouvez rentrer en cours avec vos professeurs respectifs et travaillez bien Mesdemoiselles.

Certaines élèves n’avaient pas l’air d’être dans leurs baskets, auraient-elles oublié de donner certains objets à leur responsable ?

Chipinette demande à Lilou où elle a mis l’argent du pari, et Lilou la tête un peu inquiète, lui dit qu’elle l’a laissé dans un petit trou au coin de la fenêtre. Elles espèrent qu’ils ne les trouveront pas.

Le père et la mère se réjouissent de cette fouille surprise. Ce qui les intéresse c’est de trouver l’argent qui a circulé l’autre jour et que Lilou a pris. Ils vont par principe vérifier chez les autres pensionnaires, on ne sait jamais, puis vont dans le coin de lady, là on trouve des bonbons et gâteaux, encore une règle à mettre. Chez Hélène, rien de suspect, du coté de Chipinette non plus, ils se dirigent vers le lit de Lilou et ils mettent de l’ardeur à chercher l’argent, le père soulève le matelas et il émet un petit sifflement en disant :

• Non mais regarde ce que je trouve là, ma mère
• Fais voir mon père, mazette, mais dis donc, on a des petites vicieuses dans nos pensionnaires, un petit canard vibrant, on le confisque et on va lui mettre la honte devant ses camarades ce midi dans le réfectoire
• On va le tester devant tout le monde ce midi ? après une bonne fessée ? elle va être tellement honteuse qu’elle va se tenir à carreau après. Mais bon on cherche toujours l’argent.
• Elle doit l’avoir sur elle ? dit la mère
• Je ne crois pas, elle ne prendrait pas ce risque, explique le père
• Alors si j’étais une écolière de 18/20 ans et que j’avais fait un pari avec mes coupines, où mettrais-je l’argent en sécurité ? dans mon soutien-gorge ou ma culotte ? non je ne prendrais pas le risque d’une fouille corporelle, mais si on ne le trouve pas, on va devoir le faire mon père, dit la mère avec un sourire perverse
• Tu es pire que moi ma mère. Alors petit, petit, où es tu ? tu as regardé le long de la fenêtre ?
• Non vas-y regarde, on ne sait jamais. De toute façon avec le canard, elle est déjà grillée, elle va recevoir une bonne fessée devant ses camarades.
• Mais c’est quoi cela ? un petit trou qui sert de cachette à ??? oui de l’argent, ça y est ma mère, on a trouvé, 50, 100, 150, 200, 250€ dis donc ça parie dur par ici.
• Parfait, double punition, bon maintenant mettons un peu de bazar dans les autres chambres et rendons nous dans sa classe, on va lui mettre la pression, dit la mère sup.

Nos deux acolytes se dirigent vers la classe des rebelles, toutes les élèves se lèvent lorsque le père et la mère entrent dans la classe.

Leur visage est sévère. La mère prend la parole :

• Nous revenons de la fouille des chambres et nous sommes extrêmement déçus par le comportement de certaines, du moins de l’une d’entre vous. Nous avons retrouvé un objet honteux qui est strictement interdit dans cet établissement. J’espère que la coupable va se dénoncer, nous savons qui elle est. Nous lui laissons jusqu’au repas de ce midi et au réfectoire, elle devra venir à nous pour se dénoncer. En attendant, au travail Mesdemoiselles et en silence.

Ils sortent de la salle et après avoir fermé la porte, ils se regardent et pouffent de rire de l’effet qu’ils ont fait dans la salle de cours. Ils reviennent au bureau de la mère sup tout excités.

• Si avec cela, elles arrivent à travailler, je leur tire mon chapeau et la miss Lilou, elle doit avoir la peur au ventre de devoir se dénoncer et qu’elle sait que nous savons que c’est à elle.
• Cela va être la récréation, on va observer le groupe par la fenêtre, elles vont moins faire les malignes maintenant, dit le père

La cloche sonne et les élèves s’éparpillent dans la cour. Le petit groupe des 5 rebelles vont sous leur arbre préféré et cela discute sec. Chipinette prend Lilou dans ses bras. Les observateurs pensent que c’est pour la consoler, quand soudain, ils se rendent compte qu’elles sont mortes de rire. Elles se mettent à danser comme des folles.

• Tu es sure que c’était son lit à Lilou ? demande le père
• Oui j’ai vérifié avant et en plus on a trouvé l’argent du pari
• Oui c’est vrai, cela ne l’affecte pas du tout
• Quand je te dis qu’elles sont désespérantes, dit la mère
• Attends qu’elle est reçu une bonne fessée avec son canard et mis au coin, elle va moins rire mais elle va danser sous mes claques c’est sur.

Les filles discutent sec entre elles.

• Ils vont me le payer d’avoir osé toucher mon coin-coin, c’est intime ces choses là quand même, dit Lilou fâchée en regardant vers la fenêtre pour être sure qu’ils ne sont plus là.
• T’inquiète, le plan est mis en route, ils vont regretter toute leur vie de s’en être pris à nous. Déjà là ils doivent être écœurés que cela ne nous atteint pas, tu as vu le sourire pervers quand on était en cours, et l’autre qui nous dit : « En attendant, au travail Mesdemoiselles et en silence. » dit Chipinette en singeant la mère sup

Les 4 autres filles applaudissent Chipinette pour sa parfaite imitation.

• Tu es trop forte de l’imiter ainsi, dit Hélène
• Bon allez je vais supporter les mains du père sur mes douces fesses, dit Lilou en riant, je suis sure que cela va être très agréable
• Oh oui dit Hélène, tu verras ses mains sont douces et cajoleuses
• Et ben pas avec moi, dit lady la boudeuse, moi je n’ai pas trouvé cela drôle ni cajoleur, cela m’a fait très mal
• Mais tu es une douillette lady, lui dit Aline, bon ok moi aussi je suis douillette, j’avais eu mal le soir de notre punition collective.
• Tu vois, dit lady en tapant du pied, c’est trop nul

Lilou prend lady dans ses bras et lui fait un câlin. Puis le groupe repart dans l’élucubration de leur vengeance.

• Demain j’envoie le mail à Monseigneur l’Evêque et on lui demande de venir de toute urgence au pensionnat pour qu’il soit témoin de scènes obscènes qui se passent ici. Car ce soir, j’ai rdv à 18h avec le père sup, mais je suis sure qu’il va vouloir me fesser devant tout le monde, et sinon je le provoquerai assez pour qu’il le fasse de toute façon demain soir, je vais réfléchir à ce que je vais pouvoir faire pour qu’il m’en colle une au donjon.
• Bonne idée, ma belle, dit Hélène, on montera avec l’évêque au grenier et il verra ainsi ce qu’ils nous font.
• Oui très bien.

Les 5 filles sont fières de leur plan. Il n’y a plus qu’à attendre le bon moment.