Eloge des culottes courtes

Mon chenapan s'est donné du bon temps cet été et la discipline s'est relâchée. Vous me connaissez: rien de tel qu'une bonne reprise en main pour remettre mon garnement dans le rang.

Au moment où je vous écris, il médite au coin sur les inconvénients d'une conduite insolente. Croyez moi, il n'en mène pas large. Je l'ai mis à genoux sur son paillasson. Il fait moins le malin maintenant. Je le surveille et gare à lui si je le vois bouger. Il est cul nu et ses fesses sont bien marquées par une cuisante fessée. Inconfortable non? Moi je m'étire dans mon fauteuil en vous écrivant cette petite lettre. Pour m'avoir manqué de respect (il a écrit m'dame au lieu de Madame) il vient de faire 100 lignes assis sur son coussin préféré (le paillasson!). Rien de tel pour l'inciter à s'appliquer.

Nos jeux ont bien évolué depuis le début, mais il y a une chose à laquelle je tiens c'est qu'il reste un chenapan en culottes courtes. J'ai du mal à imaginer mon grand dadais en pénitence sur son paillasson vêtu d'un jean. Il est au régime fessée et jambes nues! Rien de plus infantilisant qu'un bermuda court qui laisse les cuisses à l'air. A la moindre impertinence quelques claques bien sonores sur la peau nue lui rappellent aussitôt sa condition. Je suis une adepte des chenapans en culottes courtes. Pour la fessée, rien de plus facile pour déculotter: un bouton à défaire et le short tombe tout seul autour des chevilles. Un chenapan en culottes courtes est aussi vulnérable qu'une chipie en jupette.

Autre avantage dont je ne me prive pas : rien de tel pour mater l'arrogance de ce petit coq, que de passer les doigts par l'entrejambe du short pour lui tâter ( voire presser) ses petites choses dont il est si fier à travers le slip ou à nu, pendant que je le gronde. Un short assez large me permet de palper ses fesses et il doit se laisser faire même si mon doigt s'égare! Un chenapan en culottes courtes se sent en permanence un gamin soumis au régime de la fessée. Mais l'hiver me direz-vous? Bien sûr mon chenapan a droit au pantalon. Mais dès son retour à la maison, il doit quitter ses atours de grand garçon pour retrouver ses culottes courtes. Parfois, c'est la " mise en slip" sil a dépassé les bornes et que j'ai la main qui me démange. Je me souviens qu'un soir où j'avais invité une amie qui était venue avec son chenapan, nos deux " garnements" qui se sont montrés particulièrement dissipés ont diné "en petite culotte" dans l'attente de leur fessée en guise de dessert.

Mais je vois que mon petit puni n'en peut plus. Mettons fin à sa pénitence et à mon court récit. Je vous invite à lire mon livre pour en connaitre d'avantage sur les méthodes disciplinaires à appliquer à nos adorables " garnements" pendant nos jeux sévères.