Madame dort encore.
Il faut lui préparer son petit déjeuner. Tout d'abord les oranges pressées.
Puis le lait au réfrigérateur. Sur la table elle a laissé les consignes sur un
post-it: "tu me réveilles à neuf heures. En douceur. Tenue : tout nu, pinces
aux seins et rosebud".
Un début d'érection
me rappelle que mon sexe est toujours en cage. À l'étroit. Accroupi, j'ajuste
le rosebud dans mon petit trou. Je tire sur les pointes de mes tétons et
referme les cruelles mâchoires des pinces reliées par une petite chaîne.
Douleur et excitation bridée.
Je prends le plateau.
Vérifie que je n'ai rien oublié. Madame dort. Je pose le plateau sur la table
de nuit. Elle est à plat ventre sous les draps. Je n'agenouille au pied du lit.
Je relève la couette. Je dépose de petits baisers sur ses petons. Sa peau est
chaude. Je lui embrasse les mollets puis la peau sensible au creux des genoux.
Elle fait semblant de dormir. Je le
devine. Mais j'ai trop envie d'aller plus haut. Elle a retiré sa culotte. Je me
fouine entre ses cuisses. J'aime son odeur. Je ne peux résister à l'envie de
tendre ma langue. De frôler de la pointe la bordure des petites lèvres. Le
clitoris. Madame est mouillée. Je la lèche. Sa respiration s'accélère. Je
continue à titiller sa petite perle jusqu'à ce qu'elle jouisse en crispant ses
cuisses autour de mon cou. Son jus coule sur ma bouche. Je sais que je vais
être puni malgré le plaisir qu'elle a pris. Toujours prisonnier entre ses
cuisses comme pris dans un carcan, je sens qu'elle repousse les draps. Fesses à
l'air j'attends ma punition. Elle
s'empare du martinet et me fouette avec force en me traitant de sale
petit vicieux. Une vingtaine de coups de martinet sanctionnent mon audace
matinale.
Puis elle me veut à
genoux, mains au dos pour presser mon sexe à travers la cage de chasteté. Elle
me presse les testicules jusqu'à ce que je demande pardon. Mais pardon de quoi?
De lui avoir donné du plaisir?
Elle veut son verre
de jus d'orange. Pendant qu'elle boit à petites gorgées gourmandes, elle passe
l'autre main entre mes cuisses pour jouer avec le rosebud, provoquant des ondes
de plaisir au plus profond de mon ventre. Plus cruelle, elle s'amuse de mes
grimaces douloureuses tandis qu'elle fait bouger les pinces au bout de mes
tétons.
Pendant qu'elle
déjeune, Madame me veut au coin. Depuis quelques temps le coin se fait à
genoux, les mains sur la tête. Elle m'y envoie à tout bout de champ. Quand elle
veut être tranquille, lire, regarder la télé ou qu'elle discute sur internet
avec ses copines. Elle claque juste des doigts. Pointe son index vers le coin.
À ta place! Nez au mur! À genoux!
J'y reste un bon
moment. Parfois je crois qu'elle m'a oublié, alors j'ose me retourner ou bien
prendre un peu de repos en posant les fesses sur mes talons. Mais elle a l'œil.
Un coup de martinet me fait vite remettre à ma place avec en prime cinq minutes
supplémentaires.
Elle a fini de
déjeuner. Repose sa tasse sur le plateau. Elle m'annonce le programme de la
journée. La dernière avant qu'elle rentre chez elle.
Après la toilette
nous irons au marché. Puis je ferai la cuisine. Elle précise que comme il est
écrit dans mon cahier de punitions, je prépare le repas en jupe et sans
culotte. Il est également prévu une sieste obligatoire. Pas une sieste
crapuleuse, je m'en doute bien. Mais une mise au lit punitive avec une
couche-culotte. La punition de la couche est prévue de longue date suite à un
contrôle-surprise de culotte où Madame à détecté quelques gouttes de pipi sur mon slip. Bref je ne vais pas
m'attarder là dessus. On ne meurt pas de honte mais quand même. Le pire aura
lieu après la sieste... Mais je réserve la surprise.
Pendant que Madame se
rend dans la salle de bain, je fais mon travail de bonne à tout faire. Je fais
le lit, j'aère la chambre et je range la vaisselle. Madame arrive toute
pomponnée. Élégante et parfumée.
C'est à mon tour de
faire ma toilette. La toilette du chenapan, selon le règlement établi par
Madame, se fait au lavabo et au gant de toilette. Nu comme un ver. Avec juste
ma cage de chasteté qui ne me quitte toujours pas depuis l'arrivée de Madame.
Pas question d'intimité : la porte de la salle de bains reste ouverte et Madame
surveille mes ablutions et se rapproche au moment de la toilette intime. Elle
déverrouille le cadenas et mon pénis peut enfin prendre un peu de liberté. Mais
ce n'est pas une permission de plaisir. Elle procède elle même au savonnage vigoureux de mon gland qu'elle
décalotte sans douceur. Rinçage à l'eau froide. Friction. Puis le petit puni
reprend sa place dans la cage. Bouclé. Cadenassé. Demi-tour. Madame me savonne
les fesses au gant de toilette. Elle n'oublie aucun détail. Surtout pas le
petit orifice que je dois présenter fesses ouvertes à deux mains.
Me voici propre. Ma
tenue du matin m'attend sur le lit : un polo classique, un short bleu marine,
des socquettes blanches et le traditionnel slip blanc en coton côtelé.
Heureusement qu'il fait beau. Je ne risque pas d'être le seul, jambes nues au
marché. Mais avant de partir, pour je ne sais qu'elle bêtise j'ai fait, je
reçois une fessée dans l'entrée. Madame me ploie contre sa hanche comme un tout
petit garçon qu'on corrige. Elle me claque fort à travers le short, mais aussi
sur les cuisses (ce qui fait plus mal. Aïe!). Puis elle déboutonne mon short
qui tombe aussitôt en bas à mes pieds. La fessée continue de plus belle sur le
slip qui ne tarde pas à rejoindre le short. Une bonne fessée, selon Madame, est
toujours une fessée déculottée. Je trépigne sous l'avalanche de claques qui
n'épargnent pas mes cuisses. Ça me cuit. J'en ai presque les larmes aux yeux,
mais je suis trop fier pour la supplier d'arrêter. Je subis ma correction
jusqu'au bout.
Nous sortons à Vichy.
Je porte le panier et de l'autre main je me frotte les cuisses. Je tire sur
l'ourlet du short pour le rallonger. J'ai l'impression que tout le monde voit
mes cuisses rougies. Madame a un sourire satisfait devant ma moue honteuse.
Nous achetons des fruits et des légumes. J'ai toujours les fesses bien chaudes
quand nous rentrons. Pendant que je range les achats dans le réfrigérateur,
Madame me prépare ma tenue. Je vais être en jupe pour avoir osé répondre, un
jour qu'elle m'avait demandé de passer l'aspirateur, que c'était un "truc
de fille". J'aurais dû tourner sept fois ma langue dans ma bouche avant de
dire une telle bêtise. C'est une jupette plissée, genre jupe de tennis que je
dois porter sans culotte.
Pendant que je prépare le repas, Madame n'arrête pas de passer la main sous ma jupe, de me peloter les fesses, de tâter mon sexe. Elle me trousse pour me donner de petites tapes sur mon cul nu. Ça m'excite. Mais comme l'érection reste bloquée, je mouille abondamment. Madame se moque me traitant de "petite mouilleuse". Je prépare tant bien que mal le repas. Juste avant de passer à table elle m'impose une nouvelle honte : elle me fait enfiler une culotte en dentelle garnie d'une serviette périodique. Comme je refuse, j'ai droit à une nouvelle fessée. Mais cette fois basculé en travers de ses genoux. Elle me claque jusqu'à ce que j'accepte cette humiliation parce que je "mouille comme une fille". Le derrière en feu, je peux enfin me mettre à table. Bien sûr je fais le service et c'est moi qui débarrasse.
Pendant que je prépare le repas, Madame n'arrête pas de passer la main sous ma jupe, de me peloter les fesses, de tâter mon sexe. Elle me trousse pour me donner de petites tapes sur mon cul nu. Ça m'excite. Mais comme l'érection reste bloquée, je mouille abondamment. Madame se moque me traitant de "petite mouilleuse". Je prépare tant bien que mal le repas. Juste avant de passer à table elle m'impose une nouvelle honte : elle me fait enfiler une culotte en dentelle garnie d'une serviette périodique. Comme je refuse, j'ai droit à une nouvelle fessée. Mais cette fois basculé en travers de ses genoux. Elle me claque jusqu'à ce que j'accepte cette humiliation parce que je "mouille comme une fille". Le derrière en feu, je peux enfin me mettre à table. Bien sûr je fais le service et c'est moi qui débarrasse.
Désirant échapper à
une nouvelle fessée, je me prépare sans discuter à la sieste obligatoire. Madame
me déshabille. Puis me tirant par le poignet, elle me conduit aux toilettes. Avec
la cage, impossible de faire pipi debout. C'est assis, comme une fille que je
dois faire et Madame tient à regarder. La honte bloque mon envie. Je lui dis
que si elle reste je ne vais pas pouvoir faire. Mais elle insiste et me menace
d'une fessée. Alors je finis par céder. Elle exige des cuisses bien écartées
pour voir le jet jaillir des trois petits trous faits pour ça au bout de la
cage. Madame me fait mettre sur le lit, les jambes en l'air et me met ma
couche. Au lit. Elle me menace d'une bonne fessée et d'un suppositoire pour me
calmer si elle entend le moindre bruit. Elle tire les rideaux, ferme la lumière
et me voici bordé. Est ce l'effet de la fatigue, ou l'apaisement qui suit
toujours une bonne fessée, car je m'endors aussitôt.
J'essaie d'oublier
dans le sommeil l'épreuve annoncée pour la suite et prévue de longue date sur
mon cahier : un lavement punitif.
C'est une première.
Je n'ai jamais reçu un lavement. Mais ce n'est qu'après mon lavement que Madame
me retirera ma cage.
Au réveil, Madame,
vient vérifier si ma couche est bien nette. Elle en profite pour me tâter le
sexe à travers son étui de silicone. Érection muselée. Elle s'amuse de mon
dépit. C'est tout nu qu'elle m'administre mon lavement. Prosterné sur le
carrelage de la salle de bains. Comme je n'obéis pas assez bien à son goût,
elle me donne des coups de martinet, jusqu'à ce que je me mette en position.
Épaules au sol, derrière relevé, cuisses écartées. Une noisette de vaseline sur
mon petit trou que la posture dilate. Puis le contact froid de la canule qui
investit les lieux....
Puis la caresse interne de l'eau tiède qui me remplit..... Puis l'obligation de rester en position tandis que Madame, amusée, observe mes efforts désespérés pour retenir la pression. Puis enfin, au moment où je ne vais plus résister bien longtemps, l'autorisation accordée d'aller soulager mon envie...
Puis la caresse interne de l'eau tiède qui me remplit..... Puis l'obligation de rester en position tandis que Madame, amusée, observe mes efforts désespérés pour retenir la pression. Puis enfin, au moment où je ne vais plus résister bien longtemps, l'autorisation accordée d'aller soulager mon envie...
Retour au salon.
C'est l'heure du câlin. Madame déverrouille le cadenas et mon sexe peut enfin
s'étirer en toute liberté. Nous avons encore deux heures avant le départ pour
la gare...
super récit mon chenapan, et un weekend super que nous avons passé ensemble comme d'habitude!!!
RépondreSupprimerMais comment cela on passe sur les détails?? non non, tu avais fait des gouttes de pipi dans ta culotte et pour cela tu le sais que tu es puni, à toi de faire attention!! et t'inquiète pas, tu ne vas pas mourir de honte, j'ai encore trop de choses à vivre avec toi!!!
Madame
pauvre chenapan !! franchement savoir que tu vas aimer et qu'il sera puni le pauvre 0:D
RépondreSupprimeret oui, la vie est injuste!! c'est ainsi!!! mais je te rassure, il adore!!! lol!!!
RépondreSupprimerc'est vrai que t'es super en fesseuse comme en chipie lol et que tu fais que se qu'on "aime" lol
Supprimerrhhhhooooo tu vas me faire rougir, dis toi!! je ne suis pas une super fesseuse, j'essaie juste de m'adapter à a personne!! comme j'aime qu'on le fasse pour moi quand je suis en mode chipie!!!
SupprimerCe commentaire a été supprimé par un administrateur du blog.
RépondreSupprimerÀ quand le bock ou le sac à lavement?
RépondreSupprimerje ne sais pas, j'aime bien la poire de lavement, car en fonction du nombre que j'ai décidé, cela fait plusieurs fois où je dois retirer et enfoncer l'embout!
Supprimeret les autres lavements, je suis infirmière et je ne suis pas sure que cela m'éclate de faire à mon chenapan ce que je fais au travail!! on verra si cela me tente ou pas!!
Oh! Me pardonnerez-vous une petite question?
SupprimerQuand j'étais jeune je croyais que les lavements évacuateurs étaient un traitement "historique" plus utilisé de nos jours, ou alors exceptionnellement.
Puis je suis allé aux USA et me suis aperçu que des "poches" à lavement (pour des raisons que j'ignore ils utilisent des sortes de sacs souples et non des bocks rigides) sont vendus dans tous les drugstores. Ma compagne en a reçu enfant quand elle était constipée, voire simplement "barbouillée".
Dans quelles circonstances ce traitement est-il utilisé en France?
les sacs sont je pense à usage unique, comme beaucoup de choses en milieu hospitalier! on n'utilise plus les bocks.
SupprimerEn France, on les utilise encore pour des lavements avec certains examens ou constipation, même si on fait maintenant plutôt des normacol!
Les sacs que l'on trouve aux États-Unis en drugstore (sorte de mélange de supermarché et de pharmacie, beaucoup de produits en libre service) ne sont pas à usage unique. Il s'agit de produits à usage familial et non hospitalier.
SupprimerCe sont des sortes de bouillottes en caoutchouc de 2 litres livrées avec en plus d'un bouchon "bouillotte", un tuyau se vissant à une extrémité à la place du bouchon, avec une espèce de pince servant de robinet et un pas de vis à l'autre extrémité. C'est livré avec une canule rectale assez courte et étroite, avec un trou au bout, et une canule vaginale en forme de croix avec des petits trous sur les côtés. Il y a un crochet pour tenir ou accrocher le haut du sac, par exemple à un porte-serviette.
http://www.walgreens.com/store/c/walgreens-combination-douche%2C-enema-and-water-bottle-system/ID=prod17207-product
Certains modèles, au lieu d'un seul trou où visser le tuyau, ont le tuyau en bas et un trou ouvert en haut... je déconseille car c'est très facile à renverser. C'est comme ça:
http://en.wikipedia.org/wiki/File:Combination_enema_and_douche_syringe.jpg
J'ai vu une étude américaine sur la médecine familiale de la fin des années 1970 montrant qu'à cette époque encore une minorité assez importante des familles se servaient d'un tel équipement pour leurs enfants. C'était le cas dans celle de ma future épouse.
Lorsque je suis arrivé aux États-Unis dans les années 1990 les seules mentions de lavements contemporains (pas les clystères de Molière...) que je connaissais étaient les lavements barytés, et je pensais que la douche vaginale était un moyen de contraception dépassé. J'ai donc été très surpris en constatant que ce genre de kit à lavement était en vente dans tous les drugstores, alors qu'il s'agit d'un matériel qu'on n'a pas à remplacer souvent. Cela laissait supposer un assez large usage dans la population.
En tout cas, lorsque je me suis plaint de constipation ma future épouse a sauté sur l'occasion de m'administrer ce traitement...
Il y aussi en drugstore des lavements jetables, sans doute l'équivalent du Normacol. Pour avoir expérimenté, c'est assez désagréable car la solution est visiblement prévue pour irriter. On trouvait aussi des poires rectales et vaginales.
Chipinette, il semble que mon épouse, moi et vous avons des goûts semblables.
RépondreSupprimerNous pratiquons parfois le contrôle de fond de culotte, pour le pipi et le reste, ainsi que le contrôle du "derrière" et du "devant"; hors de question que ça sente le gamin ou la gamine mal lavé(e). En cas de besoin, c'est savonnage soigneux de l'entrefesse, de l'aine, des bourses et du sexe, avec pour moi décalottage complet (quand c'est moi qui le lui fait je prends du Saforelle, tout de même).
Parfois aussi c'est pipi assis sur WC ou sur un pot de chambre à l'ancienne (pas de pipi debout, ça en met partout).
Le suppo chez nous c'est soit le paracétamol (pour fièvre ou mal de tête) ou Pholcones ou Biquinol pour le mal de gorge. Vous donnez quoi pour "calmer"?
"Une fessée et au lit", oui.
(Un détail que je trouve personnellement fort humiliant c'est le protège-slip glissé derrière dans le slip contre les fuites de suppo...)
Le lavement, c'est avec une poche, soit une petite quantité pour nettoyer le rectum avant des pratiques anales (renouveler si ça ressort sale), soit 2 litres "évacuation" pour constipation, "ventre chargé"... ou en plus d'une fessée pour faire évacuer la mauvaiseté.
Par contre, nous n'utilisons ni couches ni cage de chasteté. Notre accord est de toute façon qu'on ne se "touche" pas sauf si éloignement du partenaire.
Et j'oubliais une autre pratique partagée: la température rectale. En cas de fessée pour énervement, ou tout simplement en cas de soupçon de fièvre ou de maladie (maux de tête, ventre, mal de gorge, etc.).
RépondreSupprimerPuisque vous êtes infirmière peut-être pouvez-vous d'ailleurs répondre à cette question: quand j'ai été opéré il y a plus de 30 ans les infirmières distribuaient des thermomètres en verre avec consigne qu'il fallait prendre la température rectale (j'avais commencé à le porter à la bouche mais l'infirmière m'avait détrompé, j'ai ensuite eu un instant l'impression qu'elle hésitait à le faire elle-même..). Je crois que de nos jours elles utilisent des thermomètres tympaniques. Quand cela a-t-il changé?
avant cela était des thermomètres de mercure, qui ont été remplacés par d'autres thermomètres! mais toujours rectal. On était convaincu qu'il n'y avait pas mieux que la température rectale au niveau justesse.
SupprimerEt puis d'autres thermomètres sont apparus, et plus ou moins efficaces.
Pour les enfants, cela évite les blessures s'ils bougent donc on a eu les tympaniques!
Mais cela date d'il y a 15/20 ans environ!
D'accord! J'ai connu chez moi le mercure, puis un modèle toujours en verre et rempli avec un liquide bleu (du gallium, apparemment), et toujours par voie rectale (même si assez tôt j'ai pu le mettre moi-même!). Mais j'avais été induit en erreur sur les pratiques hospitalières par des BD où l'on voyait toujours les malades avec un thermomètre dans la bouche... donc croyant bien faire, lors de mon hospitalisation, j'ai dirigé le thermomètre vers ma bouche, d'où un "non pas par là" et un regard insistant de l'infirmière. ;-) J'avoue que je me suis demandé plus tard ce qui serait arrivé si je n'avais pas immédiatement compris et obtempéré. ;-)
SupprimerSinon pardonnez moi pour mes questions, mais.. que donneriez-vous comme suppo pour calmer, comme vous menaciez votre Chenapan?
RépondreSupprimerEn effet chez nous, c'est parfois "une fessée et au lit" (et on ne se touche pas!) si mauvais comportement, "un suppo et au lit" si malade (fièvre, mal de tête, mal de gorge), et on pourrait essayer "une fessée un suppo et au lit" mais il nous semble un peu anormal de donner du paracétamol par exemple s'il n'y en a pas besoin!
Un autre truc culturel qui peut vous intéresser. Tandis que quand j'ai grandi en France la température rectale était la norme à l'hôpital et dans bon nombre de familles (en laissant le patient le mettre à partir de je ne sais quel âge, sans doute 6 ans environ), aux États-Unis on faisait ainsi: pour les enfants incapables de tenir le thermomètre dans la bouche sans le mordre pendant deux minutes (disons moins de 5 ans), dans le rectum avec vaseline ou KY, puis ensuite uniquement température orale.
RépondreSupprimerDonc ça a fait un petit choc à madame, américaine, quand je lui ai pris la température dans les fesses à l'âge adulte.
Et l'autre truc qui l'a surprise ce sont les suppos. Aux États-Unis on ne trouve couramment que des suppos laxatifs ou anti-hémorrhoïdaires, alors qu'on m'a mis plein de suppos quand j'étais gamin en France. Donc en gros madame n'avait jamais reçu ou mis de suppos quand je l'ai rencontrée, à part quelquefois à la glycérine.
RépondreSupprimerRésultat, madame a eu de grandes surprises quand je lui ai mis par cette voie du paracétamol pour le mal de tête ou du truc à l'eucalyptol pour le mal de gorge (surtout que ceux-là on les sent quand ils sont dedans...).
ah oui, la France est encore très attachée à ses suppositoires, et moi je me bats pour que l'on arrête d'en mettre aux enfants!! en revanche pour les adultes dans nos jeux, c'est très bien, et cela me donne des idées pour mon chenapan quand il sera malade la prochaine fois!!
RépondreSupprimerOui moi je détestais quand ma maman m'en mettait (je ne sais pas pourquoi mais, même si je prenais moi-même ma température, mais longtemps c'est elle qui mettait les suppos).
SupprimerPour des jeux adultes je trouve cela très amusant: chez nous c'est paracétamol pour le mal de tête ou la fièvre, et Biquinol ou Pholcones pour les maux de gorge. On envoie le patient ou la patiente aux toilettes, on l'attend avec le lubrifiant, le suppo et souvent et le thermomètre. Vous pouvez renforcer la petite humiliation avec une protection hygiénique dans le slip sous l'anus...
Vous avez d'autres idées? Vous mentionniez de donner un suppo au chenapan pour le calmer avant de le mettre au lit, mais quel genre lui donner?
Donc voilà. Nous aimons bien chez nous les petites scènes "un suppo et au lit", ou "une fessée et au lit", voire "une fessée, un suppo et au lit". D'habitude, le suppo c'est paracétamol ou un truc à l'eucalyptol ou autres produits "odorants" pour le mal de gorge.
RépondreSupprimerÇa nous ennuie cependant d'administrer un vrai médicament lorsqu'il n'y a aucune raison de le faire. (Le mal de crâne est une raison suffisante pour prendre un Doliprane mais il ne faut pas en abuser.)
Donc nous avons cherché s'il n'y aurait pas des suppos simplement "calmants", de préférence homéopathiques (donc sans principe actif). Le Sédatif PC Boiron pour les "états anxieux et émotifs, les troubles légers du sommeil, l'irritabilité, la nervosité" semblait idéal, mais la forme suppo n'est plus en vente depuis 2009 (il est vrai que si on ne joue pas, le suppo ce n'est guère pratique).
J'ai fini par trouver quelque chose: http://goo.gl/Inz57f C'est un suppo homéopathique pour les nourrissons qui "font leurs dents" (concept fourre-tout pour tous les troubles inexplicables du nourrisson). Ça doit aussi convenir aux adultes un peu agités (même si on préfèrerait sans doute un suppo un peu plus gros). ;-)
je vous comprends que d'utiliser des suppos médicamenteux avec du paracétamol c'est pas super!! car c'est un médicament et que l'on peut faire des réactions si on en prend de trop!!
SupprimerOui il faut trouver un truc non toxique!
Avez-vous une autre idée que celui que j'ai cité? (Maintenant que j'y pense on peut aussi utiliser des suppos de Préparation H...)
SupprimerSinon il y a la glycérine mais il faut tenir compte de son effet prévisible...
SupprimerParmi les autres gages possibles pour votre chenapan: devoir aller lui-même acheter les instruments de son humiliation.
RépondreSupprimerOn peut parfois obtenir des réactions amusantes.
Achat de suppos contre le mal de gorge:
Pharmacienne - Pholcones? Ce sont des suppositoires!
moi - Oui, je sais.
Pharmacienne, qui me regarde d'un air surpris - Je demandais parce que souvent les gens n'aiment pas ça.
Achat de suppos de Doliprane: la pharmacienne va chercher dans ses rayons et revient d'un air triomphant, grand sourire: "et voilà les suppos!".
Achat d'un martinet en magasin de bricolage, rayon animaux:
Caissière qui sursaute en le voyant sur le tapis.
"Oh! - Pardon, nous n'en vendons plus beaucoup..."
puis me regarde dans les yeux "Quelqu'un va avoir mal".
(Notez le "quelqu'un" qui semble exclure le chien...)
Je ne sais pas si elle sous-entendait que j'étais un parent indigne (mais j'avais l'air jeune) ou si elle se demandait si c'était pour moi. Ce qui était le cas.
merci pour tous ces conseils, mais mon chenapan est habitué à tous ces moments de honte, j'adore faire cela. Nous avons été acheté son plug gonflant ensemble et il avait très honte devant le vendeur!!
SupprimerHé bien pour moi curieusement ça a été plus simple d'acheter des plugs ou gode-ceinture en sex-shop, parce que c'est un magasin spécialisé dont le vendeur peut difficilement jouer la mijaurée. J'ai l'impression que ce sont des gens discrets ou ils ne restent pas dans le business
SupprimerAlors que la pharmacienne qui me regarde d'un air surpris et un peu dégoûté, ou rigolard, quand je lui demande une boîte de suppos, ça me fait plus d'effet.
Ma femme a tenté les moments de honte dans des drugstores aux USA (par exemple faire la remarque en anglais devant le caissier que je serai traité dès mon retour, au moment de l'achat d'une bouillote à lavement), mais jamais de réaction. Je pense qu'il doit y avoir des consignes de ne jamais faire de remarques aux clients sur leurs achats.