Un bon petit repas... fin!!

Et sur ces mots, elle prend le fromage et la salade et part dans la salle à manger. Thierry la suit. Le repas se poursuit, Thierry peut enfin manger quelque chose, et il appréhende le dessert car il sait qu’elle n’a pas du faire un truc qu’il aime. Aline avait acheté le gâteau, une mousse à la framboise, évidemment il n’aime pas les framboises. Mais quelle peste cette femme, il a compris la leçon, il n’aurait pas du insister, elle avait besoin de se reposer, il lui a imposé son client et son épouse. Mais pour l’obliger à manger ce qu’il n’aime pas, elle sera punie. Et bien punie. 

Après une soirée bien réussie, malgré tout, leurs invités sont heureux de leur soirée et lui dit que la prochaine fois, cela se fera chez eux.

Aline commence à débarrasser la table, Thierry lui dit qu’ils feront cela après, Aline refuse, c’est maintenant, ensuite, elle n’en aura plus le courage, elle est fatiguée et veut aller dormir.

• Tu crois que tu vas dormir de suite ? dit Thierry
• Ben oui, je te rappelle que j’étais en repos et que grâce à toi, j’ai passé mon après-midi aux fourneaux, donc là ensuite je vais dormir
• Tu dormiras mais avec les fesses chaudes et rouges pour m’avoir provoqué.

Aline se retourne, les mains sur les hanches, prête à combattre, contre cette injustice caractérisée.

• Il en est hors de question, cela te fait du bien de manger des choses, je suis sure que tu as aimé mais que tu fais exprès de dire cela
• Ah bon, et ma main sur tes fesses, avoue que tu l’as fait exprès ?
• Non, je ne me rappelais plus
• Mais quelle menteuse !! et quelle mauvaise foi ! dit Thierry sidéré. Tu vas m’attendre dans la chambre immédiatement et dans le coin, les mains sur la tête, le temps que je finisse de débarrasser
• Certainement pas, tu vas encore casser un verre

Il l’attrape à bras le corps, la soulève sur son épaule, et l’emporte vers la chambre, il finira de débarrasser ensuite mais là elle ne se calmera pas et il veut qu’elle reconnaisse qu’elle l’a fait exprès.

Aline se débat et lui tape avec ses poings dans le dos. De sa main libre, il lui claque les fesses. Puis la descend et après s’être assis sur le lit, la tire sur ses genoux. Elle ne se laisse pas faire, mais il la bloque sur ses genoux avec son bras gauche et ses jambes entre les siennes. Il n’essaie même pas de discuter, elle a besoin de se calmer et il ne connait que cette solution pour le faire. Il commence à claquer ses fesses sur sa jupe, des claques bien sèches, celles qui piquent malgré l’épaisseur des vêtements. Il lève a main bien haute et la laisse retomber et garde une cadence sans faiblir. Il sent Aline qui se calme doucement, elle se débat de moins en moins, elle accepte provisoirement, il ne se fait pas d’illusions, il la connait, elle peut reprendre au moindre relâchement de sa part. Mais il tente quand même un essai de discussion :

• Alors Aline, tu n’as rien à me dire ?
• …
• Dis donc, tu n’es plus très bavarde ?
• Mais va te faire voir, et je reste polie
• J’apprécie que tu ne tombes pas dans la vulgarité mais là tu as gagné qu’elle soit déculottée ta fessée
• Ah certainement pas ! tu me lâches immédiatement, on a assez rigolé
• Ah parce que là tu rigoles ?? très bien, je passe aux choses sérieuses

Aline le provoque, il le sait, elle n’est pas en état d’accepter de se remettre en cause, il sait qu’elle ne cédera pas de suite, il lui faudra du temps mais il est patient et à tout son temps. Il reprend donc les claques pour qu’elle arrête de bouger. Quand elle se calme un peu, il soulève sa jupe et découvre qu’elle porte des bas, il trouve cela très joli, et caresse les fesses d’Aline. Il a hâte de passer à la dernière phase mais pour l’instant, il doit rester concentré même s’il se sent très à l’étroit maintenant dans son pantalon. Si cette chipie le sent, elle va en profiter. Il recommence à claquer sur la culotte, elle est noire en dentelle comme il aime. Elle avait joué le grand jeu ce soir, elle croyait vraiment qu’elle allait y échapper, elle ne doute de rien. Sa main claque tantôt une fesse, tantôt l’autre, ou tantôt deux ou trois fois la même. Il aime ce doux son qui résonne dans la chambre, la musique change en fonction de l’endroit où il claque, il se prend pour un mélomane, il ne connait rien à la musique, mais peut-être fait-il des notes sans le savoir. Il s’arrête et lui demande :

• Alors ma chérie, toujours rien à me dire ? tes fesses sont déjà bien rouges et chaudes mais je peux continuer à mettre le feu
• Tu te crois drôle, dit-elle dans un léger sanglot mais elle ne laissera rien paraitre, ces longs mois et années de vie commune, lui ont appris à repérer ses moments où elle va lâcher
• Je vois que tu n’as pas perdu ta langue de peste, alors nous allons baisser ta culotte, j’ai l’impression que tu n’as pas encore assez honte de recevoir la fessée à ton âge comme une sale gamine qui s’est bien amusée à mes dépens en me ridiculisant devant mon client
• C’est de ta faute, tu me fais le coup à chaque fois, j’espère que tu as compris le message
• Oh mais bien sur, j’ai très bien compris le message mais toi tu n’as pas encore compris le mien mais je vois que tu reconnais l’avoir fait exprès
• Mais pas du tout, je ne me rappelais plus que tu n’aimais pas le choux fleur et lâche moi immédiatement
• Tu ne t’en rappelais plus, et ben je te promets que tu ne l’oublieras plus jamais, il n’y a que 3 choses que je n’aime pas à manger, ce sont les crevettes, le chou fleur et les framboises et tu les as faits tous les trois, avoue que c’est une coïncidence mystérieuse ?
• Oui c’est sur, mais c’est la vie, dit-elle en essayant de se libérer et en tapant des pieds

Thierry ressert sa jambe sur les siennes et de sa main libre, passe ses doigts dans l’élastique de sa culotte et la baisse doucement, très doucement, en lui disant :

• Tu aurais reconnu de suite que tu l’avais fait exprès, on s’en serait arrêté là mais comme tu ne le dis pas, et qu’en plus tu es insolente, effrontée, tu recevras cette fessée déculottée comme la sale gamine que tu peux être.
• Je te déteste, lâche moi de suite, tu n’as pas d’ordres à me donner, tu n’es qu’un macho et si tu ne me lâches pas, je te mords
• …
• Tu m’entends ?? dit-elle de plus en plus en colère
• Oui je t’entends mais je réfléchis à ce que je vais te faire pour que tu te calmes rapidement
• Lâche pas, c’est tout
• Il n’en est pas question, et encore un mot et je te bâillonne
• …
• Voilà qui est mieux

Thierry sait qu’Aline a peur d’être bâillonnée, et la menace fonctionne, il a réussi à la faire taire. Thierry continue donc son sermon tout en claquant les fesses d’Aline, il claque tous les 3 ou 4 mots en arrêtant pour qu’elle comprenne bien pourquoi elle est fessée.

• Je te fesse… car tu fais preuve … de mauvaise foi…, j’aurais préféré … que tu me dises … un non ferme … et définitif tout à l’heure … pour le repas…  et je n’aurais pas … continué à insister …  mais là tu as dit oui … et tu te venges,…  et je suis sur … que ton oui … tu l’as dit…  en pensant déjà … à ta vengeance. Et cela … ce n’est pas digne de toi … et pour cela… tu es fessée,… et le cinéma … que tu as fait …  devant mes clients…, tu t’es littéralement … moquée de moi…

Aline ne dit plus rien, elle reçoit cette fessée en silence. Se rend elle compte qu’elle n’aurait pas du faire cela, Thierry se pose la question, son silence l’inquiète brutalement. Il claque fort et pas un aie, ouille. Ses fesses sont pourtant bien chaudes et rouges. Il n’a pas l’intention de s’arrêter là mais il a l’impression de ne faire que des caresses.

• Alors Aline, tu reconnais que tu n’avais pas à faire cela
• …
• Tu peux répondre là
• …

Il la soulève, la regarde et il s’aperçoit qu’elle rit, oui elle rit, pas un seul petit mouvement de remord

• Je suis trop fière de ce que j’ai fait, j’espère que tu auras compris la leçon et que plus jamais tu ne me feras cela
• Cela te fait rire ? tu es fière de toi ? me ridiculiser devant mon client et sa femme ? très bien, puisque je te fais rire, tu te lève, et tu vas au coin, pour te calmer et ensuite je poursuivrais pour que tu puisses continuer à rire.
• Tu es vraiment mauvais joueur quand même
• Oui c’est cela, tu vas voir si tu vas encore rire

Aline se met au coin, les mains dans le dos, la culotte aux genoux. Son dos se secoue de spasmes de rire. Elle a un fou-rire impossible à réfréner. Thierry est sidéré par Aline, mais quelle pestouille quand même. Il va chercher sa ceinture et lui montre.

• Ah non, pas cela, ce n’est pas du jeu, on est en tort tous les deux sur ce coup là
• Je n’avais pas l’intention de te punir sévèrement, justement parce que j’ai insisté mais tu aurais du me dire non et ne pas accepter juste en espérant de te venger, cela ce n’est pas correct. Mais tu te moques de moi depuis tout à l’heure et tu sais que c’est inadmissible, tu ne me respectes pas et je ne peux pas le concevoir. Donc tu recevras de la ceinture jusqu’à ce que tu t’excuses et de vraies excuses. Tu les comptes jusqu’à ce que tu me présentes tes excuses

Thierry lui fait mettre les mains sur le lit en se penchant, la tête sur le matelas et les jambes bien écartées. Aline se laisse faire, elle a très peur de la ceinture et cela va la faire réfléchir rapidement et elle ne rit plus du tout.  Thierry donne le premier coup sur les cuisses, Aline commence à compter avec un petit « aie » après chaque fois que la ceinture lui claque soit les fesses, soit les cuisses. On en est à 10, Aline commence a comprendre que Thierry ne lâchera pas et que s’il ne lâche pas, c’est qu’elle a été trop loin dans sa vengeance, de plus elle a été très insolente avec lui, la leçon commence à porter et les larmes coulent doucement sur ses joues. Il a raison, elle aurait du lui dire non ou alors assumer sa réponse et ne pas se moquer de lui ainsi. Ses fesses chauffent de plus en plus et surtout piquent beaucoup. Elle n’en supporte plus et est prête à s’excuser. Elle dit :

• Stp Thierry, je suis vraiment désolée, j’ai compris ce que tu essaies de me faire comprendre, j’aurais du m’affirmer et non penser qu’à une vengeance enfantine. Je te prie de m’excuser

Thierry la retourne, lui prend le menton entre son pouce et son index et lui lève pour la regarder dans les yeux en lui disant :

• Je suis content que tu comprends la raison de ma punition, le fait que tu aies accepté de faire ce repas même si j’ai insisté, tu aurais du assumer jusqu’au bout et ne pas te venger. Tu dois apprendre à te positionner et assumer jusqu’au bout tes décisions. J’espère que cela te servira de leçons.
• Oui j’ai compris, stp, prends moi dans tes bras
• Oui viens

Thierry prend Aline dans ses bras, l’embrasse sur les cheveux, elle sent bon, lui caresse les cheveux et le dos, sa main descend sur ses fesses, les caresse tout doucement car elles doivent être sensibles. Il la soulève dans ses bras et l’allonge sur le lit, il attrape la crème dans le tiroir de la table de nuit, et commence à passer sur ses fesses très chaudes, une crème apaisante. Puis ses lèvres remplacent ses mains et il l’embrasse doucement puis sa langue parcourt ses fesses et souffle de temps en temps là il a passé sa langue. Il sent la chair de poule sur tout son corps et un premier frisson la prend dans tout son corps. Thierry éteint la lumière et on entend plus que des soupirs, des petits cris, des bruits de bisous….. mais là c’est du privé….