Une punition bien méritée... Novembre 2013

Et voilà le weekend se termine, mon chenapan a fini sa valise et repart chez lui ! C’est toujours difficile de se quitter après avoir passé 3 jours ensemble dans un jeu intense, le retour dans le monde réel est émouvant. Un dernier bisou, il me prend dans ses bras et on se dit à bientôt, quand j’aurais déménagé, ce sera super, on n’aura plus à faire attention aux voisins, le bruit des claques ne gênera plus.

Mais bon avant de vous parler de la fin, je vais commencer par le début. Et oui un weekend est prévu, enfin on va se revoir et on a décidé de jouer sans discontinuité, pas d’arrêt, juste un jeu de trois jours. On a jamais fait cela, on a toujours des moments d’arrêts pour discuter, sortir, etc... Mais là non juste le jeu. Il m’a à plusieurs reprises cherchée, provoquée, laissée entendre que j’étais une gouvernante de pacotille, j’ai donc décidé de frapper fort à son arrivée pour que je puisse profiter à fond de mon weekend sans provocation de sa part.

Lors d’un jeu avec un chenapan que j’avais déjà fessé, j’ai décidé de reprendre mon idée et de ne pas aller au devant de mon chenapan quand il arrive. Il a reçu un sms avant son départ de m’envoyer un sms quand il arrive devant chez moi et que je lui répondrai de monter si je suis prête. J’ai tout préparé, le mot sur la porte pour qu’il suive mes consignes dès qu’il franchit le pas de ma porte, la mise en scène de ma chambre, je sais que cela va faire monter en lui les papillons.

Ding, tiens un sms de mon chenapan, et voilà il est en bas, je lui réponds : « tu montes et tu suis les instructions sur le porte du salon en face de toi, à tout à l’heure ». Je me précipite dans une autre pièce pour qu’il ne me trouve pas en arrivant mais d’où je suis, je le verrai arriver. J’entends la porte s’ouvrir et je le vois entrer, il crie un « bonjour Madame, je suis là », je lui envoie un sms « tais toi et suis les consignes », je le vois lire son sms et il perd son sourire, et voilà notre jeu est parti. Je prends mon iphone et décide de filmer cette scène au cas où il ferait preuve de mauvaise foi et dise que c’est moi qui ai fait tomber ses vêtement, ou fais exprès de les froisser. Il s’approche de la porte et lit doucement les consignes. Il doit se mettre nu, mettre ses vêtements sur le carton à coté et doit m’attendre à 4 pattes sur le lit, les jambes bien écartées, les mains devant lui. Je le vois se déshabiller et poser ses vêtements en vrac, cela se réglera plus tard. Tout est dans mon portable, je le vois se dandiner et il en profite pour se caresser un peu le sexe. Il n’est autorisé à ne le faire qu’avec mon autorisation. Ses punitions augmentent. Il ne pense pas que je le vois. Il se dirige vers ma chambre et je le vois s’arrêter, il observe ma mise en scène, je sais que la pression est grande. Il faut dire que depuis une semaine je l’ai faite monter cette pression.

J’arrête mon iphone car d’où je suis, je ne le vois plus. Je l’entends qu’il s’allonge sur le lit, il a ordre de placer la serviette sous son sexe pour qu’il ne salisse pas mon lit. Je sais que cela lui met toujours la honte quand je me protège pour ne pas être salie, il mouille tellement et il en a honte. J’arrive doucement pour voir comment il est placé, s’il m’a obéi. Et là j’admire son petit cul tout blanc, sans poil. Ses cuisses ne sont pas écartées et il a posé ses fesses sur ses pieds. Il n’a pas respecté la position demandée, je prends une photo, et je repars en arrière sans faire de bruit. Puis je marche en faisant du bruit et je le vois immédiatement se faire en position demandée. Parfait il avait très bien compris ma consigne mais ne l’a pas respecté exprès.

-          Bonjour Chenapan, je vois que tu es dans une bonne position comme j’aime, ton petit trou bien dilaté pour que je puisse y accéder comme je le veux

-          Oh Madame, svp, pas cela dès mon arrivée, j’ai été très obéissant.

-          Tout d’abord, on me dit bonjour, lui dis-je lui claquant sévèrement les fesses

-          Euhh oui bonjour Madame

-          Ah quand même et pour ton obéissance, on règlera cela plus tard, j’ai une petite surprise pour toi. mais pour l’instant, nous avons un compte à régler pour que nous puissions passer un long weekend tranquille. Tu sais ce qu’il t’attend ?

-          Euhh pas trop Madame

-          Tu as perdu la mémoire ? je vais te la rappeler, tout d’abord tu vas recevoir une fessée qui va te faire un cul de babouin, tout rouge, (j’ai piqué cette expression à un ami) tu vois ce que je veux dire ?

-          Euhh oui Madame,

-          Parfait, ensuite tu vas aller au coin mais d’une façon particulière, nous verrons cela plus tard.

-          Euhh vous êtes dure avec moi Madame

-          Dure ? moi ? tu trouves ? dis moi donc pourquoi tu es puni Chenapan

-          Euhhh ben je ne sais plus trop

-          Je vais te raviver la mémoire avec le martinet

-          Euhh non non Madame, je me rappelle d’un coup, j’ai été insolent avec vous

-          Très bien, ta mémoire revient, et encore

-          Euhhh c’est tout ?

-          Parfait, tu te moques de moi, lui dis je en lui caressant les fesses et les cuisses avec mon martinet, tu sais que j’ai appris à m’en servir sur les fesses de Bruno, donc ne pense plus que je chasse les mouches maintenant

-          Ah oui aie aie, j’ai vu et lu le récit de Bruno.

-          Très bien, lui répondis-je en lui donnant le premier coup de martinet

-          Aie aie, non Madame, ça y est je me rappelle, j’ai mis en doute vos capacités de gouvernante, je me suis moqué de vous

-          Ahhhhh voilà un coup de martinet et tu retrouves toute la mémoire. Mais la punition est déjà décidée, tu seras donc fessé sévèrement et tu iras au coin

-          Oui Madame, je le mérite

-          Tu le reconnais, super

Je m’approche du lit et pose ma main sur ses fesses, j’en ai envie depuis que j’ai vu qu’il retirait sa culotte, Mmmmm elles sont douces, ma main s’égare entre ses cuisses et il contracte les fesses, la première claque tombe, ce n’est pas que la première d’une longue série avant que je lui caresse de nouveau ses fesses qui sont déjà rosées. Il sait que cette fessée sera très sévère, je ne plaisante pas sur le respect qu’il me doit. Il avait déjà été puni avec une semaine de cage de chasteté mais je n’avais pas pu lui mettre la fessée qu’il méritait. Et là je ne m’en prive pas, je lui claque les fesses fortement, sévèrement, sans répit, il se dandine, crie des aie, des ouilles, mais je ne faiblis pas, cette fessée est punitive, elle doit rester dans sa mémoire à jamais. Je fais une pause et lui demande de se redresser à genoux. Je prends les pinces et lui installe sur les seins. Il est très excité et je lui dis :

-          Dis donc tu es très excité, tu sais que tu n’as pas le droit de te caresser ni de jouir sans mon accord, et en plus tu mouilles, tu es vraiment une fille, pour la peine, tu passeras une journée en jupe.

-          Oh non Madame, svp

-          Pas de madame qui compte, tu te moques tout le temps des filles qui mouillent, tu es pareil, donc tu seras en jupe comme les filles

-          Oui Madame

-          Allez en position

Et je reprends la fessée mais je change, plus de mains, je passe au martinet, je commence doucement, entre chaque coup, je caresse ses fesses avec les lanières, et j’accélère les coups et de moins en moins de caresses. Ses fesses commencent à montrer de belles traces de lanières. Puis j’arrête, je lui caresse les fesses qui sont bien chaudes et bien rouges. Et arrive l’instrument qu’il redoute, la ceinture, j’ai eu l’occasion d’apprendre dernièrement comment s’en servir, et je lui ai promis 10 coups de ceinture. Et quand je promets, il sait que je tiens toujours mes promesses, même s’il espérait que j’allais oublier. Je pose la ceinture devant ses yeux et lui dit :

-          Alors tu penses que j’ai oublié ma ceinture ? regarde comme elle est belle cette ceinture, en cuir en plus, comme le cuir de tes fesses, elle va te chauffer les fesses

-          Oh non pitié Madame, pas la ceinture, j’en ai jamais eu et j’ai très peur

-          Tu ne connais pas donc comment tu peux en avoir peur

-          Je ne sais pas, me dit-il en chouignant

-          Donc ça suffit et tu vas compter haut et fort les 10 coups que je vais te donner, ensuite tu iras au coin pendant 15 minutes pour réfléchir à ce que tu vas me présenter comme excuses

-          Oui Madame

Je le repositionne bien, je passe mes mains sur ses fesses, ses cuisses, ma main s’égare entre ses cuisses, son sexe est dur et bien tendu. Puis je monte ma main jusqu’à ses seins et je tire doucement sur ses pinces. Il pousse un petit cri et souffle très fort. Je sais que cela l’excite encore plus, j’adore le mettre dans cet état.

Je me redresse et je prends la ceinture. Je la passe sur ces fesses, puis je fais claquer la ceinture contre ma main. Et je lui mets le premier coup, il sursaute, et compte 1. Je passe ma main à l’endroit où j’ai claqué, et je recommence et de deux. Il compte sans fléchir, il est très courageux. Je le caresse entre chaque coup, frotte même un peu pour le soulager. Et nous arrivons à 10. Je l’autorise à s’allonger sur le lit. Il souffle, il sait qu’il n’a pas le droit de frotter ses fesses. Il doit ressentir jusqu’au bout les picotements de cette fessée.

 

Puis je lui dis qu’il va avoir du coin mais à 4 pattes, il n’aime pas cela, mais il ne sait pas ce qu’il l’attend. Je m’installe sur mon canapé et lui dis de venir vers moi et je lui présente le plateau où il y a de la vaseline et un gant à usage unique. Il me regarde sans comprendre et je lui explique :

-          Alors vois tu, tu vas être au coin à 4 pattes, les fesses bien hautes, ne rechigne pas, je ne supporte pas, tu la mérites cette punition. Mais avant, tu vas me mettre mon gant, me lubrifier le doigt et ensuite tu te lubrifieras l’anus.

-          On non Madame pitié pas cela, oh non c’est trop honteux, je ne pourrai pas supporter

-          Tu sais chenapan, que tu n’as qu’un mot à dire et que j’arrête, mais tant que tu ne le diras pas, je considère que tu acceptes.

-          Oui je sais Madame, mais je vais le faire pour vous satisfaire

-          Très bien, alors au travail

Je m’installe confortablement au fond de mon canapé, un livre à portée de main. Chenapan se met à genoux devant moi, je lui tends la main, il me met le gant et enduit mon index de vaseline. Puis il en met une noisette sur son doigt et s’en passe sur l’anus. Je ne veux pas qu’il pénètre son anus avec son doigt, c’est moi qui le ferai. Il se positionne, les fesses en l’air à coté de moi, j’ai une vue superbe sur ces fesses bien rouges.

-          Oh mais quel beau fessier, et ce petit trou bien dilaté qui n’attend que mon doigt pour te rendre obéissant.

-          Oh svp Madame, ne dites pas cela, j’ai trop honte !

-          Je sais et surtout je l’espère. Maintenant tu vas faire 15 minutes dans cette position et en silence, je lis, je ne veux pas que tu me déranges.

-          Oui Madame

Je pose mon doigt à l’entrée de son anus, je le caresse, tourne autour, joue avec lui, puis doucement, je pénètre dans sa plus grande intimité, mon doigt est happé et serré, je l’enfonce doucement, le tourne dans un sens puis dans l’autre. Mon chenapan geint puis se décontracte. Je sais qu’il a honte mais il aime. Puis je prends mon livre de l’autre main et pendant les 15 minutes qui suivent, je vais lire tranquillement et tourner mon doigt pour lui rappeler la pénétration de mon doigt et de toute mon autorité que j’ai sur lui.

 

 

Au bout de 15 minutes, j’exige de lui des excuses dans cette position. Il bafouille un peu au début car les mots se bousculent à la sortie de sa bouche tellement il est mal à l’aise, car j’en profite pour lui titiller son petit trou.

Une fois terminé, il est autorisé à aller revêtir ta tenue de chenapan en short et polo. Il fait chaud chez moi, donc il peut s’habiller ainsi. Quand il revient, je lui ouvre mes bras et il vient s’y nicher. Je lui pardonne son comportement et il me promet (une promesse de chenapan, on sait ce que cela dure) de ne plus jamais recommencer. Puis je l’autorise à me faire un massage de pieds et de jambes pendant que je lis mon livre.