Il existe de très nombreux moyens pour
corriger un chenapan dès qu'il s'écarte du droit chemin. Parmi ceux ci, il y en
a un dont on parle peu, et qui a pourtant son importance. Je veux parler des claques
sur les cuisses. Le vilain garnement fait une bêtise, même en public, une tape
bien sonore sur les cuisses, rappelle au délinquant les bonnes manières et
informe les témoins que ce grand dadais est encore soumis au régime fessées. Un
excellent petit livre anglais intitulé Thigh Smacking traite en détails de
cette punition. Je vous encourage à vous le procurer, si l'édition n'est pas
épuisée. 
Pour claquer les cuisses d'un chenapan, il est obligatoire qu'il soit
jambes nues. En ce qui me concerne, cela ne pose aucun problème, puisque la
tenue de rigueur d'un chenapan est de porter des culottes courtes de garnement
en toutes saisons. Quand pour des raisons climatiques ou pour se rendre à son travail il est autorisé à porter un pantalon, il retrouve en arrivant sa tenue de chenapan, ou bien je lui impose une " mise en slip". Il est inadmissible qu'un chenapan ne soit pas cuisses nues.
- Chenapan. Ça fait maintenant dix
minutes que je t'ai demandé de faire ton lit et de ranger la chambre. Et
toujours rien. Viens ici! (Le fautif s'approche. Je le saisis par le poignet et
ma main claque par deux fois la peau tendre de chaque cuisse.)
- Je te donne deux minutes pour tout
remettre en ordre. Et je t'interdis de frotter tes cuisses.
Le garçon, penaud, prend le chemin de
sa chambre. Sur ses cuisses la marque rouge
laissée par les claques est
parfaitement visible. Elle atteste qu'il a été corrigé aux yeux de tous.
Deux minutes plus tard, entrant sans
bruit, je surprends le petit paresseux en train de jouer avec sa tablette,
assis en tailleur sur son lit:
- Tu te moques de moi? (le saisissant par le poignet, je le
force à se relever) Remonte ton bermuda.
-
Le chenapan comprend qu'il est inutile
de plaider sa cause. Il se lève et remonte l'ourlet de son bermuda, dénudant le
haut de ses cuisses.
- Encore...
Il s'exécute. En général, il faut
qu'il retrousse son bermuda jusqu'à ce qu'on puisse voir un peu du coton blanc
de son slip. La sentence tombe:
- Deux claques devant, deux derrière,
deux sur les côtés et quatre à l'intérieur.
Pour les
claques à l'intérieur, j'oblige le puni à mettre le pied sur un tabouret (comme
l'illustration dans le livre Thigh Smacking). Il redoute plus que tout, les
claques à l'intérieur des cuisses, là où la peau est fine et sensible.
L'auteure du livre préconise les claques à la règle plate, à la brosse à cheveux,
ou la spatule en bois. Tout dépend de la gravité de la faute à punir.
Les
claques à l'intérieur des cuisses sont particulièrement recommandées quand le
chenapan à oublié de garder les jambes
ouvertes en ma présence. Ce que je déteste.
Il est évident que la punition des
claques sur les cuisses s'applique à un garnement en culottes courtes. En ce
qui concerne mes chenapans, la tenue de rigueur est le bermuda classique. Celui
des pensionnats anglais ou des boyscouts. Il doit être de couleur sombre. De préférence
bleu marine. Assez large pour être facilement remonté pour l'administration des
claques sur les cuisses. La longueur idéale est l'ourlet à mi-cuisses.
Cependant je peux faire porter à mon chenapan ce que j'appelle son " short
de punition". Un short de gymnastique très court à taille élastique.
Double avantage, il dénude
largement les cuisses et peut également se baisser
très vite pour l'administration d'une fessée.
- Chenapan, tu montes dans ta chambre et
tu fais tes cent lignes. Tu mettras ton short de punition, car nous avons un
petit compte à régler ensuite.
Vous faites ainsi monter la pression
et le chenapan n'a qu'à bien se tenir!Les illustrations sont tirées de l'excellent livre de J.Merryweather- academy club. PO box135, Hereford HR2 7PE, UK
Plus de précisions dans mon livre "l’Éducation Des Garçons" à paraître bientôt.
