Pourtant je m'étais appliqué, mais c'était une punition prévue de
longue date sur le cahier. Pour la correction des cuisses, elle m'a fait mettre
mon short de puni, très court qui dénude les cuisses jusqu'à la culotte.
Madame
est déçue car mes cuisses rougissent difficilement.
Elle aurait préféré que
j'exhibe toute la journée des cuisses rougies.
Hier soir, donc, Madame excédée
par le fait que j'étais vautré sur le canapé est allée chercher la cravache.
Elle semblait très menaçante malgré que ma faute fût bien légère, mais je
reconnais que j'avais eu quelques réflexions déplaisantes dans la voiture. Du
bout de la cravache elle m'a donné quelques petites tapes sur les genoux pour
me faire écarter les cuisses (théoriquement, elle a établi qu'en sa présence je
devais toujours avoir les cuisses ouvertes quand j'étais assis. Mais elle
oublie souvent cette exigence et moi aussi). Mais là, elle avait trouvé une
raison valable pour affirmer son pouvoir. Bien ouvert, la cravache a tapoté mon
sexe à travers les vêtements. Madame a bien senti mon érection. Elle m'a
rappelé que depuis le matin, je devais avoir décalotté mon sexe. Les
frottements de mon gland tout nu provoquent toujours de la mouille qui humidifie
ma culotte.
-
Tu mouilles comme une fille, a dit Madame. La
prochaine fois je te mettrais un protège-slip.
Madame a déboutonné mon
bermuda et l'a baissé avec la culotte jusqu'aux pieds. En même temps elle m'a
fait remonter mon polo jusqu'en haut pour s'attaquer aux petites pointes avec
la cravache. C'était un peu douloureux, mais mon sexe à nu se dressait. Madame
alternait tapotement et caresses sur mon pénis et son extrémité qu'elle
retroussa amplement mettant à nu un gland écarlate et tout luisant de mouille.
J'avais interdiction de bouger. Madame n'ayant rien pour m'attacher, je suis
resté les bras en croix, offert, soumis, n'osant pas la contrarier de crainte
de sentir la cravache plus douloureusement. J'étais vraiment à sa merci et
Madame ne s'adressait plus à moi comme un chenapan, mais m'interpelait en
m'appelant "soumis".
-
Ne t'avise pas à serrer les cuisses, soumis,
tu le regretterais.... Tu es à moi, soumis... J'ai tous les droits....
-
Oui Madame je vous vous appartiens.
Elle
a pris le martinet et a commencé par me fouetter les cuisses, mais aussi le
torse et le pubis. Pas trop fort mais juste pour affirmer son pouvoir.
-
Debout ! Tout nu ! a t'elle exigé, ponctuant
son ordre d'un claquement de lanières.
Elle
m'a bandé les yeux. J'étais à sa merci.
-
Penche-toi, soumis! Mains au sol.
J'ai senti le froid du
rosebud sur mon anus. J'étais tellement bien dressé à son autorité, que
mon anus s'est lui aussi soumis à cette
humiliante pénétration.
-
Ton petit trou m'appartient soumis...
J'adorerai porter un gode-ceinture et te prendre comme ça. Tu aimerais, soumis?
-
Oui Madame, ai je soufflé, complètement
envoûté par cette soudaine autorité dont je rêvais depuis longtemps de sa part.
-
Tes tétons aussi m'appartiennent....
J'ai senti la morsure des
pinces. Elle a tiré la chaine vers le bas, m'obligeant à m'agenouiller à ses
pieds.
-
Embrasse les
pieds de ta maîtresse.
Prosterné, le derrière
tendu, montrant mon rosebud qui pointait entre mes fesses ouvertes, je me suis
exécuté. Mon sexe était dur. Madame le gratifiait régulièrement de coups de
cravache qui résonnaient au fond de mon ventre, bien en profondeur. Les pinces
me provoquaient une douleur excitante qui ne parvenait pas à ramollir mon
érection, bien au contraire. Puis ce fut la "promenade du soumis" à
travers le salon. Tout d'abord debout, tiré par le sexe d'une poigne ferme par
Madame. Puis à quatre pattes, le nez collé à ses chevilles. Puis enfin, une
humiliante et douloureuse marche à genoux tractée par la chaine reliant les
pinces à seins. Dans cette situation, pas question de traîner et il faut suivre
le rythme de Madame sous peine d'avoir très mal. Mon supplice prit fin. Madame
m'a fait mettre debout, mais avant elle m'a infligé une torture douloureuse
puisqu'elle a tiré les pinces jusqu'à ce qu'elles lâchent. Je croyais que le
moment de la récompense était enfin arrivé, et puisque Madame m'avait demandé
d'aller chercher un morceau de Sopalin, j'ai cru qu'elle allait enfin
m'autoriser à me soulager. Mais Madame en a décidé autrement : j'étais puni,
donc aucune raison de me donner du plaisir.
-
Va chercher ta cage, soumis.
-
Bien Madame.
Déçu, mais obéissant, j'ai
installé ma cage, emprisonnant mon gland décalotté dans sa prison de silicone.
J'ai été mis au lit manu militari avec interdiction de lire. Inutile de dire
que je me suis bien gardé de désobéir et les fesses brûlantes, le sexe à vif,
j'ai caché ma frustration sous la couette et ai éteint la lumière.
Vous avez là un moment important où Madame devient Maîtresse. J'étais à cet instant comme dans un état second, comme dans un rêve. Je sais que cela va peut etre choquer certains (nes) de ses lecteurs et lectrices. Les jeux de fessée débordent souvent sur le BDSM. J'espère que la lecture de ces récits vous enchantera au contraire et vous donnera envie de vous aventurer sur le chemin sulfureux de la domination-soumission. N'oubliez jamais que tout est possible entre adultes complices et consentants. Merci Madame de m'y tenir compagnie
RépondreSupprimerce fut aussi un très grand moment, enfin se lacher!!!!
SupprimerMadame est devenue Maîtresse. Nos jeux ont évolué. J'espère que leus récits ne vous choquent pas. Ma Maîtresse avait reçu un témoignage concernant le short de punition d'un soumis qui était obligé d'en porter avant de reçevoir fessées et claques sur les cuisses. J'avais pour ma part lu un roman anglais au sujet de " punishment shorts" qui decouvrent largement les cuisses. Madame m'a obligé à quelques travaux de couture. Ce short très court procure des sensations très troublantes qui vous font ressentir votre vulnérablilité en offrant une large portion de cuisses nues. À essayer! Si quelqu'un a une expérience en ce domaine à partager qu'il laisse ici un petit mot. Je pense que les chipies soumises à la fessée doivent ressentir également la même chose en étant contraintes de porter une jupe très très courte ....
RépondreSupprimeret pouvoir claquer les cuisses sans tomber sur un tissu, claquer immédiatement sans devoir défaire le pantalon ou bermuda! c'est très éducatif!
Supprimerouch ah oui on mote carrément de deux crans là
RépondreSupprimerbravo à vous 2 si je puis dire :)
Merci Lylye!! et oui on joue dans la cour des grands lol!!
Supprimersuper pour vous
Supprimervg
merci VG
SupprimerMerci pour ces recits superbes !
RépondreSupprimerUn gode ceinture... wow... magnifique idee !
RépondreSupprimerUne idée qui, pour l'instant en reste au stade du fantasme..... Mais faut il toujours réaliser un fantasme ou au contraire le laisser se bonifier, comme le bon vin?
Supprimerje pense simplement que ta maitresse découvrira le bon moment et le bon objet pour passer à ce stade. Je trouve qu'elle a bien évoluée malgrés les mauvaises influences elle va finir par être réellement au point je vous souhaite de nombreux bon moments a tous deux
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