Bonjour à vous qui pénétrez sur mon blog Mi-ange/Mi-démon. Tout d’abord, pour les personnes âgées de moins de 18 ans, merci de cliquer sur la petite croix rouge en haut à droite et BYE.

Bon maintenant que nous sommes entre adultes, je vous laisse découvrir ce blog. J’ai la chance de jouer dans le monde de la fessée, avec deux hommes, un que j’appelle « mon chenapan » et un autre qui est mon Educateur. Si j’ai fait ce blog, c’est pour vous faire partager la complicité que je vis avec l’un comme avec l’autre.

Vous trouverez donc des récits de l’éducation de mon chenapan, de mon éducation par mon Educateur, de fessées que j’ai reçues ou données avec d’autres personnes. Il y a aussi des récits tirés de mon imagination comme un long récit sur la vie au pensionnat, Aline et Thierry et d’autres.

J’ai essayé de classer cela par sujet et que j’alimenterai régulièrement. J’espère que vous vous y retrouverez et aurez plaisir à y revenir. Merci pour votre visite et n’oubliez pas les commentaires, cela fait toujours plaisir.

lundi 9 octobre 2017

La fessée de Lylye ... écrite par son fesseur


Ca faisait longtemps que Lylye avait ce projet : nous inviter, Mary et moi, pour voir si c’était une bonne idée. Il faut reconnaître qu’au cours de la soirée, les avis ont divergés. J’ai pour ma part, trouvé que l’idée était excellente, et je pense ne pas trop m’avancer en affirmant que Mary était plutôt d’accord avec moi. 
De façon surprenante, l’organisatrice de la soirée, Lylye, a par plusieurs moments regretté, pour des raisons inconnues, de nous avoir réunis.

Déjà dans les semaines qui ont précédé, j’ai été tout à fait surpris par certains messages :

Lylye : immunité immunité le 6 mai lol

Lylye : on a droit de rêver non ?

Moi : Tu peux toujours demander…

Lylye : Hein ?

Lylye :  Je sais que ze reve debout mon dieudinou

Moi : Tu nous formuleras une demande et nous te dirons si elle t'est accordée…

Lylye : Ahahahah

Lylye : Autant faire ...  Dans un violoncelle alors
Je n’en ai plus entendu parlé et j’ai été tout à fait interloqué à la fois par cette requête tout à fait inopportune, mais surtout par ce revirement final. Ceci en faisant abstraction d’une remarque tout à fait déplacée à propos d’un instrument de musique que j’affectionne particulièrement.

Pour avoir demandé l’immunité sans la moindre justification, j’ai présumé que Lylye avait fauté à de nombreuses reprises,  et je me suis pendant les semaines précédentes préparé psychologiquement à découvrir des bêtises effroyables.
Lorsque je suis arrivé, Mary était déjà là et Lylye s’est montré très accueillante. Ne voulant faire montre d’un excès de suspicion, j’ai mis cela sur le compte de l’hospitalité. La conversation était plutôt détendue et nous n’avons pas immédiatement abordé de sujets susceptibles de mettre notre hôte mal à l’aise. On concevra qu’une veille de deuxième tour, les sujets n’étaient pas difficiles à trouver.

Cependant, ce n’était qu’une question de temps avant que nous commencions, Mary et moi-même, à ouvrir dossiers méritant une certaine attention. Inutile donc de décrire notre surprise lorsque Lylye s’est empressée d’apporter le repas.

Mary et moi-même avons échangé des regards atterrés devant une stratégie si mesquine. Notre hôte tentait d’exploiter notre courtoisie et de nous prendre en otage. Nous nous sommes tacitement accordés pour couper court cette tentative et mettre les points sur les “i”.

Nous avons remis nous mêmes les entrées dans le réfrigérateur tant Lylye affichait une résistance dénotant sa volonté de gagner du temps. Une fois cela fait, une explication de texte s’imposait : Mary et moi nous sommes installés dans le canapé et nous avons demandé à Lylye de se placer devant nous pour un échange libre et constructif.

Quelle a été notre surprise lorsque nous l’avons vue tourner en rond, discuter de sujets sans rapport avec notre demande, et utiliser une foule de prétextes aussi peu convaincants les uns que les autres. Face à tant de mauvaise volonté, notre patience, pourtant légendaire, s’est rapidement épuisée. Avec la bénédiction de Mary, j’ai mis le chronomètre de ma montre en marche, et j’ai commencé à annoncer un compte à rebours partant de dix.

Mary ne s’est pas opposée, en effet le délai laissé était largement suffisant pour une personne se trouvant dans la même pièce. Nous avons été consternés en la voyant louvoyer et finalement arriver avec deux minutes de retard. Pour franchir une distance de quelques mètres, il lui avait fallu cent-trente longues secondes. Nous étions tous deux outrés par un tel étalage de mauvaise volonté.

Tandis que Lylye attendait devant nous, nous avons entrepris par souci de transparence  de nous montrer les messages qu’elle nous avait envoyé. En les voyant, nous avons compris pourquoi Lylye s’était bien gardée de nous en parler… Consternés par ces tentatives mesquines de négociations, nous avons décidé  d’entamer la punition.

Mary avant de procéder m’a révélé un ignoble forfait : Lylye avait osé la traiter d’ancêtre. Rien qu’écrire ce mot me rappelle le point auquel j’ai été horrifié par cet infâme manque d’égard. Il allait de soi qu’une faute aussi impardonnable ne pouvait pas rester impunie.

La galanterie étant une valeur que je défends, j’ai proposé à Mary de commencer. Elle a commencé la fessée avec une miséricorde flagrante et nous avons été atterrés par l’absence de reconnaissance avec laquelle Lylye recevait cette punition. Dans un autre élan de mansuétude, Mary a envoyé Lylye au coin pour qu’elle se ressource et nous avons supposé qu’en réponse à notre magnanimité, elle se montrerait reconnaissante en se comportant de façon recueillie.

Et pourtant, elle n’a pas cessé de se retourner, de parler et de couvrir ses fesses avec ses vêtements.

La situation était claire : nous n’avions pas été suffisamment sévères et Lylye tentait d’exploiter notre grandeur d’âme. Nous avons dû nous y mettre à deux pour qu’enfin elle se tienne tranquille au coin. Nous avons testé divers instruments, avec un succès tout à fait relatif, et c’est lorsque j’ai sorti la brosse de bain qu’un effet est devenu observable. Il a fallu lui mettre quelques claques avec soin pour qu’enfin elle se montre raisonnable en faisant preuve d’un minimum de docilité.

Après avoir laissé Lylye méditer quelques minutes au coin, Mary m’a invité à poursuivre la fessée. Par souci d’altruisme, j’ai mis de côté les instruments et me suis servi uniquement de ma main droite. Tandis que je martyrisais ma délicate main d’artiste en la rougissant sur un derrière qui me paraissait dur comme de la brique, je m’étonnais de n’observer aucun signe de compassion..

Une fois mes cent-vingt claques données, j’ai enfin pu reposer ma pauvre main et nous avons consacré quelques instants à nous sustenter. Il faut avouer que Lylye avait fait les choses en grand : nous avons eu le loisir d’apprécier une entrée faite maison et nous avons compris pourquoi Lylye avait essayé de nous mettre en bonne disposition en la servant avant la punition.

Toutefois, Lylye a trouvé le moyen de gâcher ce moment de dégustation en désobéissant de façon récurrente aux injonctions de Mary.

Ne pas dissimuler ses fesses après une punition est la moindre des façons de montrer sa reconnaissance, et nous avons été tout à fait déçus par la propension de Lylye à recouvrir ses fesses ou marcher dos au mur. Nous lui avons rappelé plusieurs fois que cette absence de coopération n’était pas tolérable, mais Lylye persistait dans sa désobéissance.

Il paraissait clair que nous avions fait preuve d’un excès de laxisme. Mais dans notre grande miséricorde, nous avons attendu la fin du plat de résistance pour lui laisser le temps de se raviser. C’était peine perdue, aucune remise de peine ne devenait envisageable face à un tel entêtement.

Mary lui devait encore des claques et reprit la punition. L’incorrection du comportement de la Chipie rendait l’utilisation du martinet nécessaire. J’ai pu admirer la noblesse du geste de Mary qui maniait cet instrument délicat avec habileté. Les lanières décrivaient un ballet gracieux que Lylye ne paraissait pas apprécier, tant elle gesticulait pour des raisons irrationnelles.

Et le compte n’y était pas du tout : l’imprécision des nombres qu’elle énonçait dénotait son manque d’application. Elle intercalait des onomatopées sans signification entre les nombres et arrivait à se tromper sur une séquence d’entiers inférieurs à cent-vingt. Lorsque l’idée qu’elle tentait de frauder ou de nous embrouiller nous a effleurés, nous n’avons pas eu d’autres choix que d’en ajouter à des fins de prévention.

Nous sommes arrivés, non sans difficulté, au bout des cent-vingt coups. Et fort heureusement la détermination de Mary était inversement proportionnelle à celle de Lylye, sinon nous y serions encore.

Il nous restait un ultime dossier à compléter : malgré mes rappels à l’ordre récurrents, Lylye a une fâcheuse tendance à rester scotché devant des écrans la nuit au lieu d’aller dormir. Les punitions précédentes n’ayant pas données de résultats probants, il était temps de faire preuve de persuasion.

Elle avait une cane modèle “junior”, un petit modèle qui me permettrait de lui communiquer toute ma miséricorde. Je lui ai effleuré la zone postérieure une vingtaine de fois tout en discutant technique avec Mary. Ce qui me surprenait le plus étaient les désaccords sur la définition de l’effleurement. La bonté dont je faisais preuve ne paraissait pas être appréciée à sa juste valeur. J’ai donc montré à Lylye la différence entre l’effleurement et l’absence d’effleurement, et Lylye a rapidement admis qu’il y avait une différence significative.

Nous avons fait un petit câlin à Lylye avant de revenir à table pour déguster le dessert.

A la fin du dîner, nous étions tous les trois d’accord sur le fait que cette réunion était une bonne idée. Une personne parmi nous avait changée d’avis plusieurs fois dans la soirée, et j’ai été rassuré en découvrant que si on lui exposait des arguments convaincants, une personne censée était toujours disposée à changer d’avis.

7 commentaires:

  1. Une pestouille sensée est-elle censée être convaincue si aisément?

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    1. il faut dire qu'elle était face à des arguments de choc! donc elle a été convaincue très rapidement!! ahahahahaha

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  2. lolll réfléchissez Max vous avez 3 h :p

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  3. Voilà à la fois une soirée tout à fait conviviale et hautement éducative.
    Voilà 6 mois qu'elle s'est déroulée : n'est-il pas temps de récidiver, compte-tenu de ses effets si positifs ?

    Il convient de saluer le dévouement et la mansuétude des deux éducateurs, ainsi que les efforts culinaires de Lylye, même si c'est en partie à des fins manipulatoires.

    Manquerait peut-être pour que notre bonheur soit complet quelques photos édifiantes pour faire réfléchir chipies et chenapans à ce qui les attend en cas d'abus de la patience de leurs éducateurs, ainsi que pour graver dans l'esprit de Lylye ce qui lui pend au nez si elle se livre encore à de telles effronteries vis-à-vis de Mme Mary dont le maniement expert du martinet est ici chaudement admiré.

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    1. je me montre depuis d 'une sagesse exemplaire et mon DLPFA et Mary sauront s 'en montré gré :B

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  4. Merci Richard pour ton post!
    Notre Lylye a pour l'instant tenu sa promesse et est presque sage!! Son fesseur sait récidiver régulièrement pour qu'elle n'ose plus un langage si déplacé et impertinent!
    Pour les photos, il n'y en a eu qu'une par respect de notre chipie qui n'a pas voulu qu'on en mette plus et nous avons respecté!!

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    1. merci ma biche j 'apprécie grandement ce respect à l 'égard de mes pauvres petites fesses maltraitées durant cette soirée mais qui se montrent reconnaissantes à ce jour ;)

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