J'étais inquiet quand j'ai
reçu la convocation de ma gouvernante. Elle savait que j'avais des
disponibilités, et donc que je n'aurais aucune excuse pour me défiler. En
prenant le train depuis ma bonne ville de Lyon où je me croyais assez loin pour
être l'abri (quelle illusion...), je serrais mon petit sac ou j'avais placé ma
tenue de
chenapan et les instruments de punition qu'elle m'avait ordonné d’acquérir.
Quand elle m’accueillit à la
gare, elle était charmante, comme elle sait l'être. Je suis à chaque fois
fasciné par le fait qu'une personne aussi agréable et chaleureuse, sache être
aussi une gouvernante sévère et si efficace, dont l'autorité me fait filer droit...
J'essayais timidement de faire la conversation, mais je ne pouvais pas oublier Ce
qui m'attendait...
Il faut dire que je m'étais
un peu... non beaucoup... relâché ces derniers mois, et je n'étais pas un modèle
d’obéissance, même si je cherchais bien sûr à prétendre le contraire. Je me
suis montré très paresseux, et ma gouvernante m'avait prévenu que si je ne
changeais pas d'attitude, je devrais m'attendre aux conséquences...
Une fois chez elle, nous
avons papoté de choses et d'autres autour d'un café réconfortant, dont j'aurais
voulu qu'il ne finisse jamais...
Mais ma gouvernante ne se
laisse pas mener en bateau aussi facilement. Aussi quand elle m'a déclaré qu'il
était le moment de "passer aux choses sérieuses", une boule dans le
ventre m'a ramené à la réalité.
Je suis monté à l'étage me
rafraîchir et revêtir ma tenue de petit garçon : une culotte blanche et un
short. Je me sentais déjà un peu honteux.
Je suis redescendu tête
baissée... Ma gouvernante était debout près du sofa, ses instruments
d'éducation déjà étalés sur la table. J'essayais de ne pas les regarder, fixant
mes pieds, pendant que ma gouvernante me grondait et me demandait pourquoi je
n'avais pas été obéissant, avant de me faire admettre que j'avais bien mérité
ce qui allait suivre... Bien sûr qu'au fond de moi, je savais qu'elle avait
parfaitement raison de me punir... Je pourrais même dire qu'elle avait été très
patiente avec moi. Mais le moment était venu de régler l'addition et de
remettre les choses en ordre.
Elle s'est assise sur le
sofa m'ordonnant de m'allonger en travers de ses genoux, comme un gamin. Elle
m'annonça que la punition serait très sévère, en conséquence de mon
comportement inacceptable et à hauteur de la patience qu'elle avait
eue...
J'essayais de ne pas penser,
regrettant mais trop tard, de ne pas avoir été bien obéissant quand il le
fallait. Elle a posé sa main sur mes fesses, pour me faire comprendre qui avait
l'autorité et qui devait la subir. Puis elle a commencé les
claques... J'étais protégé pour l'instant par le short, mais je savais bien que ça n'allait pas durer. J'étais partagé entre la peur de la punition et la conscience qu'elle était méritée.
claques... J'étais protégé pour l'instant par le short, mais je savais bien que ça n'allait pas durer. J'étais partagé entre la peur de la punition et la conscience qu'elle était méritée.
Au moment où elle a baissé ma culotte, j'ai été envahi par la honte et la
conscience de ma position humiliante. J'ai essayé de mettre ma main pour me
cacher, mais bien entendu ma gouvernante ne l'entendait pas ainsi. Elle m'a
pris la main pour me maintenir, et elle s'est lancée dans une fessée digne de
ce nom... Mon cul était déjà en feu et je commençais déjà à sangloter, mais
elle m'annonça que ce n'était juste
que le début, car j'avais bien besoin que cela me serve de leçon...
Elle m'ordonna de me lever
et d'aller au coin, culotte baissée... j'étais honteux. Je la suppliais de ne
pas regarder, mais bien au contraire, elle me dit avec gourmandise qu'elle
prenait grand plaisir à reluquer mes fesses déjà rouges ainsi exposées.
Au bout d'un long moment, je
reçu l'ordre de revenir sur ses genoux... Après quelques claques vives et bien
senties, j'ai ressenti une claque bien plus cuisante ! Elle était passée à la
brosse ! Oulah la la ! Vraiment, c'était le niveau au dessus... Je savais bien
que ma gouvernante ne plaisantait jamais et tenait toujours ses promesses, et je
n'avais qu’à m'en prendre qu'à moi ! J'avais mérité une fessée très
sévère, et c'est bien ce que j'allais avoir...
Avant de prendre le train,
elle m'avait prévenu que je devrais faire le voyage de retour débout, j'aurais
dû la prendre plus au sérieux...
Elle alternait main et
brosse, et mon derrière était bien rougi j'imaginais... Parfois elle s'interrompait
pour caresser un peu les fesses et répartir la cuisson, mais aucune
d'indulgence : c'était juste pour que je continue à ressentir au mieux la suite
de la punition.
J'ai commencé à lâcher
prise, à ne plus rien vivre d'autre que cette punition bien méritée... Mais je
n'avais pas encore tout vu !
Après un nouveau tour au
coin, mains sur la tête et fesses à l'air pour le régal de ma gouvernante...
elle m'ordonna cette fois de lui donner un objet terriblement humiliant que
j'avais dû amener... J’espérais qu'elle n'oserait pas, ou bien qu'elle
oublierait... Mais ce serait bien mal la connaître ! Je me suis allongé sur ses
genoux, et je l'ai senti écarter mes fesses sans aucun égard pour ma dignité...
l'objet froid s'est présenté sur l'endroit le plus secret de mon anatomie, et
elle fit rentrer entièrement. Une fois le rosebud bien en place, elle a recommencé
la correction. J'étais mort de honte. Elle avait autorisé cette fois-ci un
rosebud tout petit, que je ne sentais presque pas, mais l'idée qu'il soit là
sous ses yeux, j'étais vraiment mort de honte. Je n'avais plus aucune fierté,
je me sentais vraiment remis à ma place de vilain garnement tout à la merci de
sa gouvernante juste mais sévère.
Après cette nouvelle fessée,
un nouveau tour au coin, toujours le rosebud en place, et toujours en bonne position
pour subir le poids de son regard... Je ne savais pas où me mettre, je n'avais
pas même le droit de frotter mes fesses punies... Déjà sentir son regard sur
mes fesses nues, mes fesses rouges... mais là, avec en plus le rosebud insolemment
visible... J'avais beau chouiner et pleurnicher, elle était intraitable, et je
devais assumer la honte jusqu'au bout.
J’espérais secrètement avoir
été assez puni, mais non, vraiment, elle m'avait promis une fessée sévère et
c'est ce que j'aurais... Elle m'a ordonné de me mettre à genoux sur le sofa,
appuyé sur le dossier, fesses bien disponibles... Car j'avais oublié les
instruments sur la table, mais évidemment pas elle ! Dans cette position, et le
rosebud toujours bien visible pour ma grande honte, le cordon de sécurité
pendouillant entre mes cuisses, j'ai dû subir en pleurnichant plusieurs
martinets, puis plusieurs verges, et peut être encore d'autres choses que je n'étais
pas en position de voir...
Je me sentais tout à fait
puni au plus profond de moi, tout à fait remis dans le droit chemin et à
nouveau très obéissant. Quand j'ai eu la permission de me relever, la
correction menée à bien et jusqu'au bout, c'est tout spontanément et sans
réfléchir que, la tête baissée, j'ai remercié du fond du cœur ma gouvernante
d'avoir pris la peine de s'occuper de moi et de me punir pour mon plus grand
bien, pour me faire mieux me comporter à l'avenir...
Ma gouvernante conclut en
m'annonçant que si je ne changeais pas radicalement d'attitude à l'avenir, elle
me réservait une forme de punition dont l'idée seule me fait rougir de honte.
Et je sais qu'elle tient toujours ses promesses...
Nous avons ensuite pris un
café, après que je me sois changé. Elle était redevenue une personne très
gentille et cordiale... difficile de réaliser qu'elle venait de me corriger cul
nu en travers de ses genoux comme un gamin de 10 ans et de me faire la honte de
ma vie.
Elle m'a ramené prendre mon
train pour Lyon. J'ai passé l'essentiel du voyage debout, elle n'avait pas
menti... Je me sentais bien, bien décidé à ne plus être paresseux à l'avenir,
et mon derrière en feu était là pour me rappeler de bien me comporter à
l'avenir. J'avais besoin de repères, et elle m'en a donné brillamment.
D'autant plus qu'elle m'a
ordonné de noter et d'afficher sur le mur en face de mon bureau la punition
spéciale dont elle m'a menacé... et je sais que si je ne me tiens pas à
carreau, elle le fera, et j'aurais beau chouiner, je ne pourrais pas l'attendrir...
Comme elle dit, "on ne négocie pas avec elle"...
Gentille, cordiale, et aux petits soins pour ses protégés... Je reconnais bien là les qualités de la douce Chipinette...
RépondreSupprimermerci Max, comme toujours je suis un amour angélique de fesseuse!! lol
Supprimersuper recit , c'est vrai qu'elle ne rigole pas notre chipinette adorée , c'est la meilleure des fesseuses ( après ma gouvernante adorée bien sur )
RépondreSupprimervg
meilleure je ne pense pas mais la tache est lourde!!
Supprimeron peut dire qu 'elle ne laisse rien passer, je compatis a ta douleur mais il faut savoir que lorsqu 'elle dit quelque chose cela se passe toujours comme elle l 'a dit !
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