Chère Madame,
J’ai eu l’audace de me
moquer de vous sur ce blog. J’ai été convoqué hier soir pour expier mon
comportement. Selon vos exigences, voici le récit détaillé de la punition qui
m’a été infligée. Ceci afin que les lectrices et lecteurs du blog sachent que
j’ai reçu une bonne leçon.
A l’heure dite, j’ai dû
comparaître devant vous en chemise de nuit. Selon le règlement je dois me tenir
le dos bien droit et les cuisses ouvertes à l’équerre en signe de soumission
(l’oubli est sanctionné par des claques à l’intérieur des cuisses). A la longue
ça devrait devenir chez moi un réflexe. Mais il faut encore que je fasse des
efforts là-dessus.
C’est donc ainsi que j’ai dû
vous confesser mes fautes :
-
Paroles inappropriées : A plusieurs
reprises j’ai utilisé un ton familier à votre égard.
-
Oubli de la majuscule : oublier la
majuscule à Madame ou à Gouvernante est considéré comme un manque de respect
punissable.
-
Insolence sur le blog. Madame a été
scandalisée par mes moqueries au sujet de son récit où elle racontait une
fessée reçue par le professeur
Max
et où on voit ses fesses nues en photo après la correction.
Madame, vous m’avez passé un
sacré savon. En tant que votre soumis, je me dois de donner l’exemple. Vous
m’avez sévèrement puni.
Pour me mettre en condition,
Madame m’a déjà fait retirer ma chemise de nuit et retirer ma culotte. J’ai
voulu cacher mon sexe avec mes mains, mais Madame m’a voulu le « zizi à
l’air ». Un soumis n’a rien à cacher à sa Gouvernante m’avez vous dit. Ne
voulant pas aggraver mon cas déjà bien chargé et sentant que vous n’étiez pas
d’humeur à supporter mes caprices, je me suis soumis au traditionnel
« contrôle de propreté » qui cette fois n’a porté que sur la
blancheur de mon slip « devant et derrière ». Rien à me reprocher de
ce coté. Ouf !
Madame m’a demandé de lui
montrer les instruments prévus : la palette à fesser en bois, la brosse à
bain (affreusement douloureux), le martinet et enfin la tawse (atroce !).
La sentence est
tombée : dix coups sur chaque fesse avec chaque instrument et des lignes à
copier.
A genoux sur une chaise.
Pour commencer un petit « échauffement » à la main, de grosses
claques bien piquantes pour se mettre dans l’ambiance. Puis la palette en bois
est entrée dans la danse (c’est le cas de le dire) Puis l’horrible brosse. Une
petite pause pour récupérer. Mais pour cette fois pas au piquet, vous ne
vouliez sans doute pas laisser mes fesses refroidir. Le martinet m’a été administré. J’ai
amèrement regretté d’avoir pris celui qui a des nœuds au bout de chaque
lanière. Pour le bouquet final, j’ai reçu dix coups sur chaque fesse de cette
tawse en cuir dont on dit qu’elle servait autrefois sur le derrière des
écoliers anglais punis. Je les plains car ça fait un mal de chien.
Les fesses en feu (avec
stricte interdiction de les frotter avec les mains), je me suis installé au
bureau pour faire les lignes. Mais pas n’importe comment : assis sur le
paillasson ! et vous avez précisé : «le paillasson sur le
coussin, pas en dessous du coussin! » comme
si j’avais l’habitude de resquiller. Ca fait un sacré choc quand on pose son
derrière cramoisi par la fessée sur le piquants du paillasson. Au début c’est
presque supportable. Mais copier cinquante fois « Je ne dois pas oublier
le M majuscule par respect à ma
Gouvernante ni les bisous », ça prend du temps. Pas question de lambiner
parce que ça prolonge le supplice. Mais pas question non plus de bâcler sous
peine de voir la punition se prolonger de lignes supplémentaires. Au bout d’un
moment la punition devient vraiment douloureuse. Le summum c’est quand on doit
se lever. Les piquants restent comme imprimés un moment à l’épiderme. Un vrai
supplice. Madame m’a traité de douillet, mais ça m’a fait mal. C’est comme
quand je dois le mercredi midi mettre mes pinces à seins comme épreuve
d’obéissance et que le moment le plus douloureux c’est curieusement quand on
les retire.
Madame a contrôlé les
lignes. Il faut dire qu’avec un paillasson comme coussin on a du mal à
s’appliquer sur la calligraphie. Mais ce n’était pas trop mal écrit et vous ne
m’avez rajouté que dix coups de tawse sur chaque fesse pour sanctionner une
faute tellement bénigne que je ne m’en souviens plus. Donc retour sur la chaise
pour dix coups de plus sur un derrière déjà bien enflammé.
A genoux devant vous, j’ai
demandé pardon pour mes réflexions irrespectueuses sur son blog et promis de ne
plus recommencer.
hummmm j'adore voir des fesses bien rouge
RépondreSupprimerje suis sur chenapan que cela t'a fais le plus grand bien et je te rassure : ta gouvernante a très bien fait de te donner cette sévère fessée car tu la méritais
vg
juste à penser ce qui va t'arriver le we prochain, je me réjouis mon petit VG mouahahahahaha
SupprimerTu fayottes on dirait
RépondreSupprimeroui il a peur, il tremble même!!!! ahahah
SupprimerCher Chenapan,
RépondreSupprimerVoilà une imprudence qui vous coûte cher : se moquer des fesses de votre gouvernante sur son propre blog, c’était prendre d’énormes risques ! Vous m’auriez demandé, j’aurais pu vous conseiller un endroit plus discret : mon propre blog. En cherchant bien, vous y trouverez peu-être une magnifique paire de fesses qui pourrait bien appartenir à qui vous savez. Mais, chut, ça reste entre nous, bien sûr…
tiens donc, qui oserait pousser mon chenapan à aller sur d'autres horizons et aller voir des photos qui ne regardent absolument pas mon chenapan!! cela mérite une bonne fessée!! si si Anonymax!!
Supprimeril est ou ce blog que je puisse me délecter ?????
Supprimervg
tu connais le blog de notre ami Profanonymax, Vg, tu trouveras son lien dans mes liens favoris!! mais il n'y a pas une photo de ses fesses sur le sien, contrairement à ici!! hé hé!!
Supprimerhaaa mais c'est plutot tes fesses rouges que j'aimerais voir mouaaaaa
Supprimervg
Merci pour le conseil, j'y vais sans tarder
SupprimerChenapan, je te l'interdis!!
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